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Monday 3 September 2012

Fw: *DHR* La RDC accuse à nouveau le Rwanda d'avoir soutenu le M23

From: agnesmurebwayire <agnesmurebwayire@yahoo.fr>
To: Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr
Sent: Monday, 3 September 2012, 19:00


une dépêche AFP de ce 3 septembre 2012

http://www.romandie.com/news/n/_La_RDC_accuse_a_nouveau_le_Rwanda_d_avoir_soutenu_le_M2361030920121951.asp

La République démocratique du Congo (RDC) a accusé lundi Kigali d'avoir profité d'une opération de retrait de militaires rwandais de l'est congolais pour exfiltrer des hommes qui, selon Kinshasa, ont attaqué l'armée congolaise avec la rébellion du Mouvement du 23 mars (M23).

Vendredi, quelques centaines de militaires rwandais ont quitté le territoire de Rutshuru (est de la RDC) -en partie contrôlé par les dissidents congolais du M23- pour rentrer chez eux. Ils faisaient partie d'un bataillon congolo-rwandais déployé après l'opération militaire de 2009 des deux pays, destinée à combattre la rébellion hutu des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR).

L'armée rwandaise a profité du retrait de ses officiers de renseignement (...) pour exfiltrer quelques-uns de ses élements entrés en RDC pour attaquer les FARDC (Forces armées de la RDC) aux côtés du groupe pro-rwandais M23, a déclaré à la presse le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende.

Selon le ministère rwandais de la Défense, 357 hommes ont quitté la zone et ont traversé la frontière au niveau de la localité de Kibumba, en présence d'un haut responsable militaire congolais, pour se rendre à Kabuhanga, au Rwanda, où ils sont arrivés vendredi.

Moins de 100 personnes ont été autorisées à venir, mais presque 300 sortent: comprenez qu'il y a un gap (...) qui nous pousse à croire qu'il y a une exfiltration déguisée, visant probablemement à effacer les traces alors que l'ONU pourrait prendre des sanctions contre Kigali, a souligné Lambert Mende.

L'armée congolaise affronte depuis mai le M23, positionné près des frontières rwandaise et ougandaise. Ce mouvement est né d'une mutinerie de soldats congolais, qui sont en majorité issus de l'ex-rébellion du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP). Les combattants du CNDP, eux aussi accusés d'être soutenus par le Rwanda, avaient été intégrés dans l'armée congolaise en 2009.

Les FDLR sont actives dans l'est de la RDC, où elles commettent des exactions contre la population. Certains membres de cette rébellion sont recherchés par Kigali pour leur participation présumée au génocide de 1994 contre les Tutsi, qui a fait 800.000 morts, selon l'ONU.



Rwanda: The imprisoned opposition leader Victoire Ingabire again in the Supreme court


  *DHR* Rwanda: The imprisoned opposition leader Victoire Ingabire again in the Supreme court

 
http://www.fdu-rwanda.com/en/english-rwanda-the-imprisoned-opposition-leader-victoire-ingabire-again-in-the-supreme-court#more-1783 

Rwanda: The imprisoned opposition leader Victoire Ingabire again in the Supreme court.

SEPTEMBER 03, 2012  
Kigali, 03 September 2012
 
Today, despite an impressive deployment of heavily armed anti-protest units, in and outside the Supreme Court, near 200 people observed as the incarcerated opposition leader Madame Victoire Ingabire made a new appearance in front of the Supreme Court to hear the status of the filed constitutional review on contentious genocide ideology laws. She has already spent near 2 years in maximum security prison on politically motivated charges concocted by the Paul Kagame's regime  to stifle any dissenting voices. The supreme court verdict is due on 05 October 2012. Ingabire is expecting  this Friday 07 September another High court verdict on charges relating to acts of terrorism, genocide ideology and divisionism.
On 19 July 2012, the Supreme court postponed the hearing in order to allow the defendant to respond to the government submission on the lack of merit of the constitutional review of genocide laws.
The LAW N° 33 BIS/2003 REPRESSING THE CRIME OF GENOCIDE, CRIMES AGAINST HUMANITY AND WAR CRIMES has been repealed in the ORGANIC LAW N° 01/2012/OL OF 02/05/2012 INSTITUTING THE PENAL CODE published in the Official Gazette nº Special of 14 June 2012 (art.765). The controversial aspects of the genocide ideology laws are still intact.
Rwanda seems to be again at crossroads as its current leaders supporting the M23 rebels in North Kivu are expecting tougher sanctions including international criminal charges, freezing of their foreign assets and the country's aid disbursements. Rwandans are forced to contribute their salaries and money to  the newly created "anti-donors" solidarity  fund AGACIRO DEVELOPMENT FUND", which in the eyes of the regime will allow the country to do away without international aid. This illusive concept to extort money from the population will bleed to death the already poor Rwandans instead of giving the dictatorship any meaningful financial independence it's pretending to achieve.
FDU-Inkingi is encouraging the international community to maintain hot pressure on the regime to halt its support to the M23 rebellion in the DRC North Kivu, and to respect the sovereignty of the neighboring states.
FDU-Inkingi
Boniface Twagirimana
Interim Vice President.
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L'opposant rwandais Frank Ntwali, sauvagement agressé à Johannesburg, accuse Paul Kagamé


 
http://www.rfi.fr/afrique/20120903-opposant-rwandais-frank-ntwali-sauvagement-agresse-johannesburg 

AFRIQUE DU SUD / RWANDA - 
Article publié le : lundi 03 septembre 2012 - Dernière modification le : lundi 03 septembre 2012

L'opposant rwandais Frank Ntwali, sauvagement agressé à Johannesburg, accuse Paul Kagamé

Le président rwandais Paul Kagame.
Le président rwandais Paul Kagame.
Reuters

Par RFI
En Afrique du Sud, Frank Ntwali, le président du parti d'opposition rwandais pour l'Afrique, le Congrès national rwandais (RNC), a été poignardé et blessé par neuf coups de couteau le 22 août à Johannesburg. Frank Ntwali est le beau-frère du général Kayumba Nyamwasa, ex-chef d'état-major de l'armée rwandaise (qui s'est réfugié en Afrique du Sud). Nyamwasa a échappé à une tentative d'assassinat en juin 2010. Le procès de trois Rwandais et trois Tanzaniens accusés d'avoir organisé cette tentative d'assassinat doit reprendre ce mercredi. Frank Ntwali doit être prochainement appelé à témoigner dans cette affaire par le juge. Il accuse Kigali de mener une chasse aux opposants.

Encore affaibli et choqué, tout juste sorti de l'hôpital, Frank Ntwali raconte son agression. Il a été frappé de neuf couteaux. Le 22 août dernier, il voyageait dans sa voiture près de l'aéroport de Johannesburg. Trois personnes se faisant passer pour des policiers ont suivi son véhicule, avant de faire signe au chauffeur de s'arrêter et de le poignarder.
« Regardez, ils m'ont poignardé trois fois dans l'épaule, ici aussi dans le coude, et quand j'ai réussi à sortir de la voiture, ils m'ont poignardé juste à côté d'un rein et dans la hanche. Ils m'ont laissé sanguinolant. Tout ce qu'ils ont pris, ce sont les clés de la voiture, alors qu'il y avait mon ordinateur portable à l'arrière. Cela fait 13 ans que je vis en Afrique du Sud, et je me fais agresser quand je commence à m'exprimer contre le régime de Kagamé. Je pense que ça n'a rien à voir avec une coïncidence. »
Le leader du Congrès national rwandais en Afrique est aussi le beau-frère du général Kayumba Nyamwasa, qui a échappé à une tentative d'assassinat en 2010. Frank Ntwali doit témoigner devant le tribunal à ce propos. Comme le général Nyamwasa, il accuse le président Kagamé de vouloir l'éliminer.
« On a tiré sur le général Nyamwasa parce qu'il avait donné l'ordre de l'abattre. Les gens sont emprisonnés quand Kagamé le décide et il donne des ordres pour éliminer tous ses opposants, les gens qui dénoncent son régime. Je pense que cette tentative de meurtre ne peut être que l'exécution d'un ordre donné par le leader suprême, comme il se surnomme maintenant. »
Franck Ntwali
Opposant rwandais
L'ambassade rwandaise ici a bien fait comprendre qu'elle chasse les leaders de l'opposition du RNC
 
03/09/2012 par Sophie Ribstein
Frank Ntwali assure se sentir menacer en permanence. Mais il appelle les membres de son parti à continuer la lutte contre le régime de Paul Kagamé.
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27th March 2012 – Victoire Ingabire before the Supreme Court for a review of genocide ideology laws



 
http://www.victoire-ingabire.com/Eng/victoire-ingabire-at-the-supreme-court-for-constitutional-review-of-genocide-ideology-laws/ 

27th March 2012 – Victoire Ingabire before the Supreme Court for a review of genocide ideology laws

March 27, 2012
The Supreme Court introduced the case on constitutional review filed by the opposition leader Madame Victoire Ingabire Umuhoza against genocide ideology laws threatening freedom of expression and the rule of law. In this case the respondent is the government of Rwanda represented by a legal team from the Ministry of justice. On foot of specific application to the Supreme Court, the parties having carriage of proceedings before the court were informed that only lodged written submissions will be considered and that there will be no hearing. The ruling is due on 13 April 2012.
However the court complained that the appellant did not append to the petition some copies of books of authorities such as statutory instruments, treaties, international conventions, decided cases, etc. and copies of laws to be relied upon. The Court will examine the request by the appellant to lodge additional copies of books of authorities before the ruling.
Legal observers in this case were surprised by this obligation to submit copies of Rwandan laws and even international regulations in support of well established principles of law which are not in dispute between the parties. This seems to be a shortcut to dismiss the case on grounds of merit without even considering the constitutionality of some aspects of the controversial genocide laws.
In May 2010, during a presidential conference, Justice Minister Tharcisse Karugarama revealed that "Cabinet is discussing the law internally to see if there can be "room for improvement" as a result of a cabinet directive". But since then, those laws are still used to keep a curtain on free speech and oppress the opposition.
Last week, the High court has postponed the proceedings on allegations relating to acts of terrorism to 02 April 2012.
 
FDU-INKINGI
Boniface Twagirimana
Interim Vice President
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Lambert Mende dénonce le «mensonge» de Kigali | Radio Okapi


From: Nzinink <nzinink@yahoo.com>
To: Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr
Sent: Monday, 3 September 2012, 17:47
Subject: Re: *DHR* Re: [Nzinink] RDC: Lambert Mende dénonce le «mensonge» de Kigali | Radio Okapi

 
Pour ton info Olivier:

Selon Jason Luneno, député national à Goma, capitale du Nord-Kivu, "ces militaires rwandais (qui participaient aux opérations de début 2009, ndlr), beaucoup d'entre eux étaient restés, s'étaient enrôlés dans les FARDC", et "très, très vite" ont soutenu le M23 quand les combats avec l'armée ont commencé -faisant quelque 250.000 déplacés et réfugiés.
http://mobile.liberation.fr/depeches/2012/09/01/rdc-le-depart-des-forces-rwandaises-de-l-est-du-pays-souleve-des-questions_843331 

--- On Mon, 9/3/12, Olivier Nduhungirehe <oliviernduhungirehe@yahoo.fr> wrote:

From: Olivier Nduhungirehe <oliviernduhungirehe@yahoo.fr>
Subject: *DHR* Re: [Nzinink] RDC: Lambert Mende dénonce le «mensonge» de Kigali | Radio Okapi
To: Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr
Date: Monday, September 3, 2012, 9:23 AM

 
Bonjour Monsieur Nzinink,
 
Merci infiniment de nous faire partager cet article! Car le plus intéressant, ce ne sont pas tant les déclarations de Lambert Mende, mais les commentaires des lecteurs qui, à 99%, ne gobent pas les mensonges de l'inénarrable Lambert Mende et tirent à boulets rouges sur le Porte-parole du Gouvernement!
 
Récapitulons :
 
Acte I : le vendredi 31 août 2012, lorsque le retrait des forces spéciales rwandaises a été annoncé par le Gouvernement rwandais, Lambert Mende a déclaré ignorer la présence de ces  forces sur le sol congolais et a conclu qu'il doive s'agir de forces « non-autorisées » soutenant les M23 ! 
 
Acte II : le même jour, le Vice-Premier Ministre et Ministre congolais de la Défense, Alexandre Luba Ntambo, reconnaissait l'existence de cette opération conjointe et ajoutait que le contingent rwandais était « public » et « officiel ».
 
Acte III : le samedi 1er septembre 2012, 357 forces spéciales rwandaises, vêtues en uniformes congolais et accompagnées de leurs camarades FARDC, traversent le poste frontière de Kabuhanda. Plusieurs dignitaires assistent à la cérémonie,  y compris le Brigadier Général Bauma Lucien Abamba, Commandant FARDC de la 8ème région militaire, le Colonel Jean-Claude Yav, Adjoint J2 des FARDC à Kinshasa. Les attachés militaires des Etats-Unis et de l'Uganda étaient également présents.
 
Prenant la parole, le Brigadier Général Abamba a même remercié les forces spéciales rwandaises pour leur collaboration avec les FARDC, dans la lutte contre les forces négatives et le rétablissement de la sécurité à l'est du Congo. Après la cérémonie, ces forces ont remis, à leurs accompagnateurs congolais, les 357 uniformes congolais qu'ils portaient!
 
Acte IV : le dimanche 2 septembre 2012, Alléluia ! Lambert Mende recouvre la mémoire. Il reconnaît enfin l'existence de forces rwandaises sur le sol congolais, fait qu'il avait nié deux jours auparavant ! Cependant, pour ne pas perdre la face, il ajoute quand même ceci : «Le Rwanda déclare qu'ils sont 240. Nous, nous savons que, dans les discussions que nous avons eues avec eux pour cette surveillance commune, il ne devrait pas y avoir plus de 100 officiers de chaque côté».
 
Premièrement, le Rwanda n'a jamais déclaré que ces forces étaient 240 ou 280, il ne s'agit ici que des spéculations de journalistes. Le chiffre annoncé par le Gouvernement rwandais étant précisément de 357. Deuxièmement, si Lambert Mende, après avoir subitement recouvré sa mémoire durant le weekend, affirme maintenant que les forces rwandaises étaient au maximum de 100, j'ai donc trois questions simples  à lui poser :
 
1. Comment diable les forces spéciales congolaises ont-elles pu accompagner 357 soldats rwandais, jusqu'à Kibumba et Kabuhanga, alors qu'elles ne collaboraient qu'avec 100 officiers rwandais ? Comment n'ont-elles pas pu remarquer qu'il y avait 257 forces rwandaises de trop ?
 
2. Comment diable ces 257 forces clandestines rwandaises ont-elles pu se retrouver avec des uniformes congolais ? Question subsidiaire : comment les FARDC ont-elles pu hier accepter de se faire remettre 357 uniformes congolais, alors qu'elles n'en avait donné que 100 ?
 
3. Comment diable le Brigadier Général Bauma Abamba et le Colonel Jean-Claude Yav n'ont-ils rien dit quand ils ont vu défiler 357 soldats rwandais en uniformes congolais, alors qu'ils ne reconnaissaient que 100 forces spéciales opérant sur le territoire congolais ?
 
Manifestement, le vieux Lambert Mende est usé et fatigué ! Non seulement perd-il la mémoire avant de se faire taper sur les doigts par le Vice-Premier Ministre et le Ministre de la Défense, mais surtout, il nous raconte, embarrassé, une histoire abracadabrantesque que même les officiers supérieurs FARDC, présents au poste frontière de Kabuhanga, n'ont pas constaté sur le terrain !
 
Heureusement que le ridicule ne tue pas !
 
Rwemalika Théoneste
 
 
De : Nzinink <nzinink@yahoo.com>
À : Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr; "uRwanda_rwacu@yahoogroups.com" <uRwanda_rwacu@yahoogroups.com>; "fondationbanyarwanda@yahoogroupes.fr" <fondationbanyarwanda@yahoogroupes.fr>; "YouthDemocrats@yahoogroups.com" <YouthDemocrats@yahoogroups.com>; RAYA-Network Group <RAYA-Network@yahoogroups.com>; Ibukabose Group <ibukabose_rengerabose@yahoogroupes.fr>
Envoyé le : Lundi 3 septembre 2012 8h32
Objet : *DHR* RDC: Lambert Mende dénonce le «mensonge» de Kigali | Radio Okapi
 
 
 
 
 
 
 
Lambert Mende Omalanga, ministre de la Communications et médias de la RDC ce 28/07/2011 à Kinshasa, lors d'un point de presse. Radio Okapi/ Ph. John Bompengo
Le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende, a démenti, ce dimanche 2 septembre, l'information selon laquelle deux compagnies de militaires rwandais se sont retirés de la RDC vendredi 31 août. Selon lui, le nombre de ces militaires «ne pouvait pas dépasser cinquante». Il s'agit, a-t-il poursuivi, des officiers rwandais qui participaient avec un nombre similaire de leurs homologues congolais à la surveillance conjointe de la frontière commune de deux pays. 
 
Lambert Mende a souligné que l'annonce du retrait des militaires rwandais, telle que rapportée par les médias, constituait une diversion du régime de Kigali :
«Une fois de plus, par le mensonge et la dissimulation, nos amis rwandais essaient de distraire l'opinion, d'opposer la République démocratique du Congo à son propre peuple, pour faire oublier des crimes graves qu'ils sont en train de commettre au Kivu
Le nombre exact des militaires qui se sont retirés vendredi de villages de Katwiguru, Kiseguro et Kaunga dans le territoire de Rutshuru au Nord-Kivu n'a pas été précisé. Il s'agit, selon des témoins, des militaires des forces spéciales du Rwanda et de la RDC déployés, depuis février 2011, pour traquer des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR).
Mais, les mêmes sources, citées par différents médias, ont fait état des deux compagnies. Le nombre des Rwandais avoisinerait donc les 280 hommes, une compagnie étant constituée d'environ 140 hommes en général.
Lambert Mende a confirmé le retrait des Rwandais, mais pas les chiifres annoncés. «Le Rwanda déclare qu'ils sont 240. Nous, nous savons que, dans les discussions que nous avons eues avec eux pour cette surveillance commune, il ne devrait pas y avoir plus de 100 officiers de chaque côté», a-t-il affirmé.
En outre, le ministre Mende a souligné que leur retrait a été initié par Kinshasa:
«Il y a eu des contingents d'officiers de renseignements. Et c'est la République démocratique du Congo – contrairement à ce que le Rwanda a débité comme mensonge – qui a demandé le démantèlement de ce mécanisme de surveillance, depuis que les preuves se sont accumulées que le Rwanda agressait la République démocratique du Congo
Selon lui, le déploiement de ces «officiers de renseignements» est intervenu «bien avantUmoja wetu», cette opération conjointe lancée par les armées de deux pays pour traquer les FDLR, début 2009.
Cependant, Kigali a refusé que le retrait de ses troupes soit encadré par les FARDC. «Ils sont passés par des espaces qu'ils ont donnés à leur propre armée qui soutient le M23», a indiqué Lambert Mende.
Kinshasa accuse Kigali de soutenir la rébellion du M23 qui contrôle une partie du territoire de Rutshuru.
 
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-“The root cause of the Rwandan tragedy of 1994 is the long and past historical ethnic dominance of one minority ethnic group to the other majority ethnic group. Ignoring this reality is giving a black cheque for the Rwandan people’s future and deepening resentment, hostility and hatred between the two groups.”

-« Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre ».

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

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