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Wednesday, 17 July 2013

LÂCHÉ PAR SES ANCIENS PROTECTEURS, KAGAME AU BORD DU DÉSESPOIR


LÂCHÉ PAR SES ANCIENS PROTECTEURS, KAGAME AU BORD DU DÉSESPOIR


Lâché par ses anciens protecteurs, particulièrement les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, le président rwandais, Paul Kagame, est aux abois. Comme à l'accoutumée, il brandit son arme fatale, c'est-à-dire la menace FDLR, allant jusqu'à accuser la RDC et l'ONU de les soutenir.
Un faux-fuyant qui n'est autre qu'une diversion pour détourner l'attention de la communauté internationale sur le désastre – soit plus de six millions de morts – qu'il a déjà causé dans la partie Est de la RDC. C'est devant le Conseil de sécurité des Nations unies que son ambassadeur à l'ONU est allé porter ces accusations cousues à tout point de vue d'un fil rouge.
Des commandants de la Brigade d'intervention de la MONUSCO ont rencontré des rebelles des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR). C'est ce qu'a affirmé l'ambassadeur du Rwanda auprès de l'ONU, Eugène-Richard Gasana, dans une lettre adressée à l'ambassadeur américain Rosemary DiCarlo, dans son rôle de président du Conseil de sécurité des Nations unies pour le mois de juillet, annonce Reuters.
« Le Rwanda dispose d'informations crédibles, fiables et détaillées que diverses formes de collaboration tactique et stratégique avec les FDLR ont été discutées », a déclaré Eugène Richard Gasana dans sa lettre rendue publique le lundi 15 juillet 2013. Ces actes impliquent, selon le Rwanda, « des hauts commandants des Nations unies qui prennent partie parmi les groupes armés alors qu'ils sont censés dissuader ces derniers à continuer leurs activités militaires ».
Gasana a aussi soutenu l'allégation du dernier rapport du Groupes d'experts de l'ONU selon laquelle des unités de l'armée congolaise, les FARDC, ont coopéré avec les FDLR. Cette collaboration survient selon l'ambassadeur rwandais au su ou même, avec le soutien de la MONUSCO.
Dans sa lettre, il affirme par ailleurs que de grandes quantités d'armes et de munitions sont livrées par les FARDC aux FDLR, également au su, ainsi qu'avec le soutien des commandants de la Brigade d'intervention de la MONUSCO. Ceci constitue, selon lui, une menace sérieuse pour la sécurité du Rwanda et met également en doute la crédibilité de la MONUSCO ainsi que ses opérations de maintien de la paix.
Le département de maintien de la paix de l'ONU a refusé de commenter l'accusation.

KINSHASA REFUTE LES ACCUSATIONS
Selon le porte-parole du gouvernement de la RDC, Lambert Mende, aucunes preuves n'étayent ces allégations. Au contraire, toujours selon Lambert Mende, « le Rwanda fait des accusations gratuites afin de justifier les attaques qu'il mène en ce moment ».
D'après Lambert Mende, le Rwanda soutient les rebelles du Mouvement du 23 mars (M23) qui ont eu des affrontements avec l'armée congolaise le dimanche 14 juillet à Mutaho, à 12 km de Goma. Un major des FARDC a, selon l'agence Belga, déclaré que le M23 a débuté les hostilités. Le M23 a, pour sa part, affirmé que c'est l'armée loyaliste qui avait lancé l'attaque.
« Quelque 120 éléments des forces négatives assaillantes ont été tués lors des combats et une douzaine d'entre eux ont été capturés par les forces loyalistes », a déclaré le porte-parole du gouvernement congolais.
Amani Kabasha, le porte-parole intérimaire du M23 a avancé que « dans tous les cas, ce sont des Congolais qui meurent » et a ajouté : « nos positions ont été pilonnées toute la nuit depuis les collines de Mutaho par les éléments de l'armée régulière, avant qu'ils ne tentent une incursion vers 3 heures du matin, mais nous sommes en train de résister ».
Les autorités coutumières locales des groupements Rusayo et Kibati, ainsi que la Société civile du territoire de Nyiragongo ont le lundi 15 juillet annoncé que la ligne de front est désormais un peu plus au Nord de Mutaho, en groupement Kibati. Elles ont aussi confirmé les déclarations du porte-parole de l'armée congolaise au Nord-Kivu, selon lesquelles les FARDC contrôlent la situation à Mutaho.

DES BOMBES SERAIENT TOMBEES AU RWANDA
Les affrontements se sont poursuivis lundi 15 juillet et des bombes seraient même tombées à 15h05 à Kageshi et à Gasiza, dans le secteur de Busasamana, district de Rubavu, dans le Nord-ouest du Rwanda, a déclaré sur un site d'actualité Igihe.com, le brigadier général Joseph Nzabamwita. Selon ce dernier les bombes proviennent de la zone contrôlée par les FARDC et la MONUSCO, où les FDLR sont en train de combattre. Kigali a déclaré dans un communiqué publié le lundi 15 juillet, qu'il dispose « d'informations crédibles », selon lesquelles les FDLR sont intégrées dans l'armée congolaise.

L'ONU REITERE SES ACCUSATIONS
Quant au Groupe d'experts, qui veille au respect des sanctions de l'ONU pour la RDC, il a déclaré dans son rapport intérimaire que les rebelles du M23 continuent de recruter des combattants au Rwanda avec l'aide des officiers militaires rwandais. Le Rwanda a nié les allégations du groupe et l'a accusé de partialité.
Par ailleurs, le Rwanda aurait accordé l'asile à 682 ex-rebelles du M23, dont, entre autres, Bishop Jean-Marie Runiga et Baudouin Ngaruye, respectivement ex-leader politique de la rébellion et ex-haut commandant. Pourtant, ces derniers figurent sur la liste du comité des sanctions du Conseil de sécurité de l'ONU.
Ainsi le 30 novembre 2012, Baudouin Ngaruye a été inscrit sur la liste du comité des sanctions du Conseil de sécurité de l'ONU des personnes visées par l'interdiction de voyager ou par le gel des avoirs. Cette décision a été prise au motif que « Ngaruye a commis et est responsable de graves violations des droits de l'Homme et du Droit international humanitaire. Il a enrôlé et entraîné des centaines d'enfants pour le compte du M23 en 2008 et en 2009 puis vers la fin 2010.
Il s'est livré à des meurtres, à des mutilations et à des enlèvements, les victimes étant souvent des femmes. Il est responsable de l'exécution et de la torture de déserteurs du M23. En 2009, en tant que membre des FARDC, il a donné l'ordre de tuer tous les hommes du village de Shalio, dans le territoire de Walikale. Il a également procuré des armes et munitions et a exercé des exactions contre les civils dans les territoires de Masisi et de Walikale, sous les ordres directs de Ntaganda.
En 2010, il a orchestré le déplacement forcé et l'expropriation des populations de la zone de Lukopfu. Il est également très impliqué dans des réseaux criminels au sein des FARDC, qui tirent des bénéfices du commerce de minerais, à l'origine de tensions avec le colonel Innocent Zimurunda et d'actes de violence en 2011 ».
Quant à Jean-Marie Runiga, il figure sur cette liste depuis le 31 décembre 2012 en raison du fait qu'il était le coordinateur de la branche politique du M23.

JAMBONEWS.NET/LP

RDC: La coalition M23-RDF est en débandade


Pendant que la coalition M23-RDF est en débandade. La MONUSCO s'interpose. Elle a empêché les FARDC de poursuivre l'ennemi 
mercredi 17 juillet 2013
*Après d'intenses combats dimanche et lundi derniers, ayant débouché à la reprise par les FARDC des localités de Mutaho et Mujoga (en groupement de Kibati), puis de la colline stratégique de Bukanda (en groupement de Buvira), une autre correction a été infligée hier mardi à la coalition M23-RDF, non loin de 3 antennes (de Kibati)
*Selon notre source, les FARDC qui tentaient un débordement avec des chars à Kibati ont été surpris par l'interposition de la MONUSCO, provoquant la colère de la population qui suit les combats jusqu'aux environs de la ligne de front pour encourager les militaires congolais
Après d'intenses combats dimanche et lundi derniers, ayant débouché à la reprise par les FARDC des localités de Mutaho et Mujoga (en groupement de Kibati) puis de la colline stratégique de Bukanda (en groupement de Buvira), une autre correction a été infligée hier mardi à la coalition M23-RDF, non loin de 3 antennes (de Kibati).
Si déjà à la suite de précédents affrontements on a enregistré dans le rang du M23 au moins 123 combattants tués, 11 capturés et une vingtaine de blessés au nombre de ceux-ci des officiers hier mardi 16 juillet 2013, une autre leçon a été inculquée aux assaillants.
A en croire nos sources, au cours des combats de cette journée, 51 éléments-M23 ont été tués, un Officier (capitaine) du M23 blessé, a été capturé par la suite.
Parmi les 51 corps du M23, indique notre source, 15 étaient vêtus en uniforme-RDF (initiales anglaises de l'armée rwandaise) et identifiés comme de véritables sujets rwandais. A l'instant, la ceinture avancée des FARDC s'observe à 500 m de 3 antennes de Kibati pour ceux qui connaissent le territoire de Nyiragongo.
Au regard des ces avancées des forces loyalistes, une fois le groupement de Kibati entièrement libéré, il ne restera que le Groupement de Buhumba pour que le territoire de Nyiragongo soit complètement sous contrôle des FARDC. La Société Civile du Nord-Kivu, à travers son vice-président et porte-parole qui salue la bravoure de l'armée régulière, encourage le Gouvernement congolais à libérer définitivement les territoires de Nyiragongo et Rutshuru de l'administration criminelle M23-RDF.
Pourquoi s'interposer ?
Selon les dernières nouvelles, la ligne de front est désormais un peu plus au nord de Mutaho, en groupement Kibati. Comme il a été ci-haut indiqué, hier mardi matin les FARDC ont tenté un débordement avec des chars à Kibati. Mais la Monusco s'est interposée provoquant la colère de la population qui suit les combats jusqu'aux environs de la ligne de front pour encourager les militaires congolais. Le commandant des opérations des FARDC, le colonel Mustapha a affirmé sur une radio de Goma que ses militaires ont récupéré trois positions du M23 qui étaient dangereuses pour la ville de Goma.
Cette population du Nord-Kivu qui vit les affres de la guerre ne pouvait que manifester son mécontentement à l'endroit de la MONUSCO qui, elle, est préoccupée par le respect de l'Accord-cadre d'Addis-Abeba, ainsi que la résolution créant la Brigade internationale d'intervention largement violée par le Rwanda. Il revient donc au Gouvernement de la République de se prononcer pour savoir si les FARDC ne sont pas autorisées à se déployer partout où elles veulent pour non seulement protéger la population mais aussi sauvegarder l'intégrité du territoire congolais.
Car, selon nos sources, la situation humanitaire demeure très préoccupante dans la ville de Goma où plus de 5000 ménages ayant fui les derniers affrontements entre les FARDC et les rebelles du M23 occupent plusieurs salles de classes et églises autour de Goma. A cette occasion, le coordonnateur provincial de la protection civile sollicite non seulement une intervention urgente du gouvernement de la République, mais aussi demande au ministre de l'Intérieur et celui des Affaires sociales d'activer rapidement le plan national de contingence, l'unique moyen de répondre aux besoins urgents de cette population en détresse.
Il sied de rappeler que le lundi dernier, la Monusco a escorté des journalistes afin d'aller vivre l'évolution des combats. Le M23 est repoussé derrière Kilimanyoka, à une dizaine de kilomètre de Goma, selon les journalistes témoins de l'événement.
A Goma, au centre-ville, les militaires commandos ont traversé les rues pour aller se positionner le long de la frontière avec le Rwanda depuis la grande barrière jusqu'à la petite barrière et le long des cimetières, redoutant une incursion de l'armée rwandaise.
Des bombes seraient même tombées à 15h05 à Kageshi et à Gasiza au Rwanda, dans le secteur de Busasamana, district de Rubavu, a déclaré le brigadier général Joseph Nzabamwita. En réplique, le Rwanda aurait lancé des bombes vers Goma et deux sont tombées dans la bourgade de Rusayo au Nord de Goma.
Des accusations non fondées
Selon le général rwandais, les deux obus auraient été tirés d'une zone contrôlée par les forces armées congolaises et la Monusco. Et selon lui, cet événement ne serait en aucun cas un accident, car aucun combat n'aurait été signalé à proximité de la zone d'origine des tirs. Aucun blessé n'est à déplorer, selon le militaire rwandais.
Dans un communiqué publié dans la foulée, ce dernier a également affirmé que des rebelles rwandais des FDLR (Forces démocratiques de libération du Rwanda), considérés comme une menace par Kigali, étaient « intégrés » au sein d'unités de l'armée régulière congolaise combattant le M23.
Le gouvernement congolais et la Monusco trouvent en ces accusations une fuite en avant du régime de Paul Kagame qui soutient le M23 et dont les militaires ont été tués et capturés depuis dimanche à Mutaho.
Lambert Mende, porte-parole du Gouvernement a été le premier à dire à la face du monde que le Rwanda ne disposait d'aucune preuve pour étayer son argumentaire. En plus, il a démontré que le Rwanda a pendant longtemps utilisé le conflit identitaire, c'est-à-dire, la soi-disant traque des Tutsi pour justifier sa présence en Rd Congo. Maintenant que cette raison ne tient plus debout, il se permet de se moquer de la communauté internationale, soit du Conseil de sécurité qui a décidé de déployer la Brigade, en alléguant que des FDLR ont été formés pour l'attaquer.
Un peu comme le ministre en charge des Médias et de l'Initiation à la nouvelle citoyenneté l'a dit, les unités spéciales rwandaises sont étonnées de la montée en puissance des FARDC. Du coup, ils se rendent compte que la Rd Congo n'est plus comparable à un couteau dans du beurre. Mais que pour l'instant, quiconque osera défier les institutions du pays rencontrera sur son passage les vaillantes FARDC.
Les troupes de l'ONU en état d'alerte
En novembre 2012, le M23 avait occupé Goma pendant une dizaine de jours après avoir rapidement défait l'armée pourtant soutenue par les Casques bleus onusiens. Les rebelles s'étaient retirés de la ville sous la pression des pays de la région, en échange de l'ouverture de négociations avec le gouvernement de Joseph Kabila.
Mais ces discussions entamées en décembre à Kampala ont atteint leur vitesse de croisière et la balle est dans le camp du Facilitateur Chryspus Kiyonga, qui doit convoquer la plénière en vue de la signature de l'accord.
L'ONU qui entretient 17.000 Casques bleus en Rdc, avait été prise à partie fin 2012 pour son incapacité à protéger les populations du Nord-Kivu. Les Nations Unies ont, depuis, imposé un Accord-cadre signé à Addis-Abeba le 24 février ; tous les pays de la région se sont alors engagés à ne pas appuyer les mouvements rebelles agissant dans l'Est de la Rdc.
Lundi, le porte-parole de l'ONU Martin Nesirky a formulé une mise en garde, depuis New York : la Monusco a « placé ses troupes en état d'alerte. (Elle) se tient prête à prendre toutes les mesures nécessaires et cela comprend l'usage de la force armée dans le but de protéger les populations civiles », a-t-il dit. « Toute tentative du M23 de se diriger vers Goma sera considérée comme une menace directe contre les civils », a-t-il ajouté.
L'Avenir

INTAMBARA MURI CONGO KURI UYU WA GATATU TALIKI YA 17/07/2013


Mercredi 17 juillet 2013
http://www.groupelavenir.cd/local/cache-vignettes/L325xH181/arton51760-c05b5.jpgNi ngombwa gusura cyangwa gufungura incuro nyinshi iyi paji kuko turagenda dushyiraho incamake y'amakuru ajyanye n'intambara muri Congo uko arajya atugeraho uyu munsi, dukurikije amasaha twayaboneyeho!
 
12H47: Imirwana y'ejo kuwa kabiri yahuje ingabo za Congo na M23 yarangiye ihitanye abantu n'ibintu bitabarika, ingabo za Congo zishe abarwanyi ba M23 bagera kuri 51, hafashwe umusilikare umwe ufite ipeti rya Kapiteni yakomeretse, mu bishwe hagaragayemo imirambo 15 y'abarwanyi ba M23 bafite imyenda ya gisilikare y'ingabo z'u Rwanda bishoboka kuba ari abasilikare b'u Rwanda RDF bagiye gutera inkunga M23.Ingabo za Congo zafashe uduce turenga 5 twagenzurwaga na M23. Mu mirwano y'ejo abaturage ntabwo bahunze ahubwo bagendaga bakurikiye kurugamba ingabo za Congo bazivugiriza amashyi n'impundu! Byabaye ngombwa ko ingabo za ONU ziri muri Congo zihagarika igikorwa k'ingabo za Congo cyo gukurikirana abarwanyi ba M23 kuko bari bamaze gushyira mu maboko y'ingabo za ONU uduce 2 bagenzuraga , ingabo za ONU zikaba zishaka ko amasezerano yashyizweho umukono ku italiki ya 24/02/2013 Addis Abeba ariyo agomba gukurikizwa aho gushyira imbere intambara; icyo gikorwa cy'ingabo za ONU cyo guhagarika ingabo za Congo cyarakaje abaturage! (Kanda aha usome amakuru yose arambuye).
 
13H10:Ministre w'ububanyi n'amahanga w'u Rwanda Louise Mushikiwabo yandikiye umunyamabanga mukuru wa ONU Ban Ki moon ibaruwa ku italiki ya 08/07/2013 nk'uko bitangazwa na RFI; muri iyo baruwa Madame Mushikiwabo ararega umutwe w'ingabo za loni ugomba kurwanya imitwe yitwaje intwaro muri Congo (FIB) kuba ufitanye ubushuti budasanzwe n'umutwe wa FDLR, kuburyo FIB yagiranye ibiganiro na FDLR ku ngamba no kuri gahunda z'imirwano (! Ibi birego by'u Rwanda byiyongereye kubyo ruherutse kurega ingabo za Congo ko zifatanya na FDLR . (Kana aha usome inkuru irambuye).
 
13H55: Agasozi ka Mutaho kagenzurwaga na M23 kafashwe n'ingabo za Congo, ubu FARDC yagashyize mu maboko ya Munsco bakaba bagacunga bombi kuko kugira ibirindiro kuri ako gasozi bituma ugenzura umujyi wa Goma wose  utawukojejemo ikirenge! Kanda aha urebe uko ako gasozi kagenzurwa n'ingabo za Kongo gahanamiye Goma cyane!
 

14H10: Amakuru dukesha ingabo za Congo, iza ONU n'abaganga b'ibitaro by'i Goma ni uko hari umusilikare w'ingabo z'u Rwanda ufite ipeti rya Colonel wakomerekeye mu mirwano y'ejo kuwa kabiri arwanira umutwe wa M23 ubu akaba amaze kwitaba Imana mu bitaro by'i Goma nk'uko umwe mu bakozi b'ibitaro abitumenyesheje naho undi musilikare mukuru w'ingabo z'u Rwanda nawe ufite ipeti rya Capitaine ejo wafatiwe ku rugamba yakomeretse , ubu bari gutegura kumwohereza i Kinshasa kubera amakuru menshi afite yerekeranye n'inkunga u Rwanda rutera umutwe wa M23 mu mirwano!
 
 
Ubwanditsi

Rwanda: réforme de la loi controversée sur l'"idéologie du génocide"


Rwanda: réforme de la loi controversée sur l'"idéologie du génocide"

Le Vif

Source: Belga
mardi 16 juillet 2013 à 20h33

Le texte réformant la loi rwandaise controversée sur l'"idéologie du génocide", accusée de limiter la liberté d'expression, a été adopté par la Chambre des députés, a annoncé mardi à l'AFP un parlementaire.

© REUTERS

"Le projet de loi a été voté hier (lundi) à la Chambre des députés (...) à l'unanimité", a déclaré le président de la Commission des droits de la personne, de l'unité nationale et de la lutte contre le génocide, François Byabarumwanzi. Le gouvernement avait déposé en novembre au Parlement une série d'amendements à la loi controversée de 2008 punissant "l'idéologie de génocide", afin de répondre aux critiques selon lesquelles elle servait à museler la presse et l'opposition.

Pour le Rwanda, cette loi est destinée à éviter la réédition du génocide de 1994, qui, selon l'ONU, a fait environ 800.000 morts, essentiellement parmi les Tutsi. Mais en novembre, le ministre de la justice de l'époque, Tharcisse Karugarama, avait expliqué aux parlementaires vouloir nettoyer le texte de ses "excès". La loi de 2008, critiquée pour son caractère général, réprime les "propos, écrits et autres actes visant ou incitant les autres à exterminer des groupes humains". La nouvelle loi "relative à l'idéologie du génocide et infractions connexes", punit "un acte intentionnel, posé en public (...) qui peut signaler qu'une personne est caractérisée par des pensées basées sur l'ethnie, la religion, la nationalité ou la race et visant à fomenter la commission du génocide et/ou soutenir le génocide".

Selon M. Byabarumwanzi, il s'agissait principalement de "clarifier" les éléments constitutifs du crime d'idéologie de génocide: désormais, "pour qu'il y ait idéologie du génocide, il faut qu'il y ait l'intention coupable (de commettre le crime de génocide) et il faut aussi que tout cela soit fait en public". "En public", a-t-il précisé, signifie que les actes ou propos doivent se dérouler "en présence ou dans un lieu accessible par plus d'une personne" outre l'auteur des faits, c'est-à-dire non seulement la rue ou un lieu public, mais aussi notamment le cercle familial.

Les peines encourues ont également été réduites, conformément au nouveau Code pénal rwandais qui a abaissé l'ensemble des sanctions. Le crime "d'idéologie de génocide" est désormais passible de neuf ans d'emprisonnement maximum, contre 25 ans auparavant. Le texte va être soumis au Sénat "dans les prochains jours", selon M. Byabarumwanzi. Pour la responsable du programme Rwanda de l'association de défense des droits de l'Homme Human Right Watch (HRW), Carina Tertsakian, "cette nouvelle version de la loi contient des améliorations nettes par rapport à celle de 2008", dont "la nécessité de démontrer l'intention derrière le crime". Mais, estime-t-elle, la "version finale de la loi ferait bien de faire la distinction entre une conversation privée et un discours public". 

Tuesday, 16 July 2013

SPECIAL: INTAMBARA MURI CONGO kuri uyu wa kabiri taliki ya 16/07/2013 (garuka kuri iyi paji kenshi urebe amakuru agezweho)


http://www.leparisien.fr/images/2013/07/16/2986121_631536da8f23e6b2a613cb3202816477e6e04cb2_640x280.jpgKuri uyu munsi kuwa kabiri taliki ya 16/07/2013 imirwano hagati y'ingabo za Congo n'umutwe wa M23 yakomeje, veritasinfo ikaba yiyemeje kubafungurira iyi paji yo kubagezaho amakuru yose avugwa kuri iyo mirwano uko bishoboka byose mu buryo bw'incamake , turajya tubashyiriraho isaha kuri iburi nkuru duhereye kuyambere kugera ku makuru agezweho hasi:
 
14H40: Imirwano yakomeje hagati y'ingabo za Congo FARDC n'inyeshyamba za M23;uyu munsi ukaba ubaye uwa gatatu ; ubu imirwano iri kubera mu nkengero z'agace ka Mutaho na Kibati ku birometero 15 uvuye mu mujyi wa Goma. Nkuko tubikesha ikinyamakuru le parisien, umuvugizi w'ingabo za Congo Colonel Olivier Hamuli yavuze ko umugambi w'ingabo za Congo ari uwo gusenya burundu umutwe wa M23, naho colonel Youssouf Boneza uyoboye imirwano kuruhande rwa M23 akaba yemeza ko bakomeje kurinda ibirindiro byabo n'ubwo biri kuraswaho amasasu menshi kandi akomeye cyane n'ingabo za Congo! Twabibutsa ko mbere y'uko iyi mirwano itangira ku cyumweru nyuma ya saa site M23 yari ifite ibirindiro  kubirometero 10 uvuye mu mujyi wa Goma none ingabo za Congo zikaba zarayisubije inyumaikaba igeze kubirometero 15 uvuye mu mujyi wa Goma. Ingabo za Onu muri Congo ziryamiye amajanja( kanda aha usome inkuru irambuye)!
 
15H30: Ingabo zirwanira mu kirere za Congo zahagurukije indege za Kajugujugu zikaba ziri kurasa ibirindiro bya M23 biri ahitwa mu Kibati na Nyiragongo. Aya makuru akaba yemezwa n'abaturage ndetse n'ibiro ntaramakuru by'abongereza bya"Reuters"
 
17H45: Umuvugizi w'ingabo za Congo Olivier Hamuli aremeza ko uyu munsi igabo za Congo zashoboye kwigarurira neza uturere twa Kibati na Buvira, akaba yemeje ko muri Territoire yose ya Nyiragongo igizwe n'uturere 7 twari twarigaruriwe n'umutwe wa M23, ingabo za Congo zimaze kugaruzamo uturere 5; ayo makuru akaba yemezwa na radiyo Okapi! ( kanda aha usome inkuru yose)
 
18H40: Amakuru dukura mubasilikare bakuru b'u Rwanda bari kuyobora imirwano muri M23, aratumenyesha ko umugaba mukuru w'ingabo z'u Rwanda Gen. Nyamvumba yaraye ku Gisenyi, akaba yakoranye inama ikomeye n'abasilikare bakuru , akabamenyesha ko u Rwanda rugiye gutangariza amahanga n'abanyarwanda ko ruri kurwana muri Congo kubera ubushotoranyi bw'ingabo za ONU n'iza Congo zarashe kubutaka bw'u Rwanda kandi ingabo za Congo zikaba zirimo abarwanyi ba FDLR. Gen.Nyamvumba asanga gukomeza kurwana muri Congo mu izina rya M23 bibabuza gukoresha imbaraga zose bafite zirimo no kurwanisha indege z'intambara! Igihugu cy'u Rwanda kikaba gifite gahunda yo gucecekesha abantu bose basabo ko  u Rwanda rushyikirana na FDLR ahubwo rugashyikirana na leta ya Congo! Ikibazo ni ukumenya niba imishyikirano hagati y'ibyo bihugu byombi izakemura ikibazo cya FDLR n'amashyaka atavuga rumwe na leta y'u Rwanda.
 
19H35: Amakuru duhabwa n'ingabo za Congo ndetse n'abarwanyi ba M23 bari kurugamba, aratumenyesha ko Gen.Brig Emmanuel RUVUSHA w'ingabo z'u Rwanda yageze mu kigo cya Rumangabo kigenzurwa na M23 kugira ngo ayobore imirwano y'uwo mutwe; ubu ingabo z'u Rwanda zikaba ziri kugenda zambuka umupaka buri kanya, zikaza kurwana muri Congo zigahungira mu Rwanda , zikongera zikagaruka muri Congo zigasubira mu Rwanda gutyo gutyo! Ni ubwo u Rwanda ruri gukina uwo mukino bwose, umuvugizi w'ingabo za Congo Colonel Olivier Hamuli aremeza ko kuva ejo bafashe imisozi ihanamye ibafasha urugamba (stratégique) ikikije Mutaho, uyu munsi M23 ifashijwe n'u Rwanda yagerageje gushaka gusubirana iyo misozi ariko birayinanira; nk'uko byemezwa na radio y'abafaransa RFI, gufata iyo misozi n'ingabo za congo bituma M23 idakomeza kubangamira umujyi wa Goma. RFI kandi iramenyesha ko ingabo za ONU muri Congo nta gaciro ziha ikirego cy'u Rwanda cy'uko zaba zararashe kubutaka bw'u Rwanda ( Kanda aha usome inkuru yose) .
 
22H42: Amakuru dukura mu barwanyi ba M23 n'ingabo za Congo aratumenyesha ko imirwano yahagaze ku gicamunsi cy'uyu munsi , gusa mu misozi ya kure ya Mutaho hakomeje kumvikana amasasu yahagaze kumugoroba; kuruhande rwa Congo na M23 baremeranyako imirwano yahagaze inyeshyamba za M23 zigeze ahitwa Kilimanyoka ,ikibaya kinini kiri munsi y'ikirunga cya Nyiragongo.

 
Ubwanditsi

-“The root cause of the Rwandan tragedy of 1994 is the long and past historical ethnic dominance of one minority ethnic group to the other majority ethnic group. Ignoring this reality is giving a black cheque for the Rwandan people’s future and deepening resentment, hostility and hatred between the two groups.”

-« Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre ».

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

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