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Thursday, 31 January 2013

HRW World Report 2013 Rwanda chapter / Rapport mondial 2013 chapitre Rwanda

Expéditeur: Carina Tertsakian <tertsac@hrw.org>
Date: 31 janvier 2013 15:26:17 UTC+01:00
Destinataire: Carina Tertsakian <tertsac@hrw.org>

Objet: HRW World Report 2013 Rwanda chapter / Rapport mondial 2013 chapitre Rwanda

Please find attached the chapter on Rwanda from Human Rights Watch's World Report 2013 published today.  The report provides an overview of the main human rights developments in 2012.

Veuillez trouver ci-joint le chapitre sur le Rwanda du Rapport Mondial 2013 de Human Rights Watch publié aujourd'hui.  Le rapport donne une vue d'ensemble des événements principaux en matière des droits humains en 2012.

HRW World Report 2013 Rwanda chapter / Rapport mondial 2013 chapitre Rwanda

Expéditeur: Carina Tertsakian <tertsac@hrw.org>
Date: 31 janvier 2013 15:26:17 UTC+01:00
Destinataire: Carina Tertsakian <tertsac@hrw.org>

Objet: HRW World Report 2013 Rwanda chapter / Rapport mondial 2013 chapitre Rwanda

Please find attached the chapter on Rwanda from Human Rights Watch's World Report 2013 published today.  The report provides an overview of the main human rights developments in 2012.

Veuillez trouver ci-joint le chapitre sur le Rwanda du Rapport Mondial 2013 de Human Rights Watch publié aujourd'hui.  Le rapport donne une vue d'ensemble des événements principaux en matière des droits humains en 2012.

SYFIA GRANDS LACS : Rwanda : Faible et divisée, la société civile est l'alliée du pouvoir

----- Forwarded Message -----
From: Gerard Semushi Karangwa <karangwasemushi_gerard@yahoo.fr>
To: "rwanda-l@yahoogroups.com" <rwanda-l@yahoogroups.com>; "rwandanet@yahoogroups.com" <rwandanet@yahoogroups.com>; "democracy_human_rights@yahoogroupes.fr" <democracy_human_rights@yahoogroupes.fr>
Sent: Thursday, January 31, 2013 8:22 AM
Subject: *DHR* SYFIA GRANDS LACS : Rwanda : Faible et divisée, la société civile est l'alliée du pouvoir

 



31-01-2013

Rwanda : Faible et divisée, la société civile est l'alliée du pouvoir

Une grande partie des organisations de la société civile rwandaise préfère être proches du pouvoir pour pouvoir survivre sans risques. Les autres, régulièrement combattues, ont du mal à faire entendre leur voix.
Au Rwanda, une partie de la société civile soutient le gouvernement en toutes circonstances. Début novembre 2012, quatre églises chrétiennes et l'association des Musulmans du Rwanda ont adressé une lettre au secrétaire général des Nations unies protestant contre le rapport du groupe d'experts onusiens accusant le Rwanda de soutenir le mouvement rebelle congolais dit M23. Elles remettent en question "l'intégrité de ces experts, la méthodologie employée et les conclusions de ces rapports basées sur des preuves insuffisantes" et tentent d'expliquer que les preuves d'implication du Rwanda ne sont pas entièrement fondées. En décembre dernier, la plateforme de la société civile s'est empressée de donner son avis sur la suspension des aides étrangères au gouvernement rwandais. L'organisation a condamné cette décision, brandissant qu'elle était basée sur les allégations non fondées. 
Au moment où une partie de la société civile est active et multiplie les déclarations de soutien au gouvernement, l'autre se contente de regretter que ses opinions ne soient pas prises en considération et dénonce, sans effet, les difficultés d'obtenir des documents administratifs pour pouvoir fonctionner.
Pour Épimaque Okwoko, secrétaire exécutif de la Ligue des droits de la personne dans la région des Grands lacs (LDGL), collectif régional basé à Kigali, "La société civile doit servir de contre-pouvoir pour éclairer les décideurs politiques. Ce qui la fragilise, c'est surtout le fait de toujours suivre ce que dit le gouvernement." "C'est ainsi, ajoute-t-il que celui qui ose donner un avis contradictoire est pris pour un opposant politique. Par peur de subir ce que subissent les opposants, on décide de se taire ou d'être partisan. 
Pour bon nombre de Rwandais, la société civile n'est autre qu'une caisse de résonnance du gouvernement. "Elle n'a pas de poids pour négocier avec le gouvernement. Ses plaidoyers ne changent rien aux décisions des autorités alors qu'elle devrait être la voix des sans voix", remarque un villageois de Gasabo. 

Peur de la solidarité
Au cours des deux dernières années, les secrétaires exécutifs de la ligue rwandaise pour la promotion et la défense des droits de l'homme (Liprodhor) et de la LDGL ont pris le chemin de l'exil. D'après leurs proches, ils ont quitté le pays car d'autres membres de la société civile les qualifiaient d'"ennemis du pays" suite à leurs prises de position sur les violations des droits de l'homme. 
"La solidarité au sein des organisations de la société civile laisse à désirer", note un journaliste de Kigali. Lors de l'élaboration du rapport de la société civile en marge de l'examen périodique universel du Rwanda en 2011, les organisations se sont désolidarisées. Certains ne voulaient pas ternir l'image du pays en dénonçant des violations des droits de l'homme commises par le pouvoir. "Lorsque les autorités s'en prennent au fonctionnement d'une organisation, les autres condamnent l'accusée au lieu d'apporter leur soutien", témoigne un membre de la LIPRODHOR. Pour Édouard Munyamariza, porte-parole de la plateforme de la société civile, la voix de la société civile se fait bien entendre : les plaidoyers sur la décentralisation du budget alloué à l'agriculture, sur la collecte des cotisations de la mutuelle de santé, ont été pris en considération par le gouvernement.
Lors de la célébration de la journée de la paix et de la démocratie mi-septembre 2012, le président du sénat, le docteur Jean Damascène Ntawukuriryayo, avait expliqué aux membres de la société civile qu'il "ne leur manque pas d'espace d'expression, mais de compétences pour exploiter les droits qu'ils ont". 

Encadré
Les Ong strictement encadrées 

Les autorités rwandaises encadrent de près le travail des Ong. La loi de février 2012 oblige toute Ong, qui veut se faire agréer, à fournir, chaque année, son plan d'action, son budget et ses sources de financement. Le gouvernement exige aussi que les actions de ces organisations s'inscrivent dans les plans de développement national et des districts. Mais, même si toutes les conditions sont respectées, certaines demandes peuvent être rejetées quand l'autorité juge avoir des preuves convaincantes que l'organisation requérante peut compromettre la sécurité, l'ordre public, la santé, la morale et les droits de la personne. "Ainsi certaines Ong "suspectes" passent de longs mois à chercher ces documents", constate un activiste des droits de l'homme de Kigali. Pour lui, "le pouvoir multiplie des tracasseries aux Ong pour les maintenir sous pression". 
En novembre 2011, le district de Nyarugenge a fermé les bureaux de la Liprodhor en application de la décision de la ville de faire respecter le plan directeur de l'urbanisation, avançant que sa maison qui l'hébergeait était dans un site résidentiel et non dans des logements destinés à être bureaux. "L'organisation est vouée à la disparition, car la location du bureau est très chère", note un activiste des droits de l'homme de Kigali qui ajoute que "compliquer le travail des Ong, ne pas leur faciliter l'obtention de documents administratifs pour chercher des fonds affaiblit la société civile. C'est un frein au développement du pays, dont la société civile est un acteur incontournable". Avis partagé par le secrétaire exécutif de la LDGL pour qui le processus d'enregistrement des Ong fait sentir le poids et le contrôle du gouvernement. "Celle qui n'accepte pas de s'allier au pouvoir risque de ne pas obtenir les documents administratifs reconnaissant son existence et d'être qualifiée de hors la loi". 
Albert-Baudoin Twizeyimana
__._,_.___
Activités récentes:
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Maître Innocent  TWAGIRAMUNGU
DHR FOUNDER&OWNER
Tél.mobile: 0032- 495 48 29 21


UT UNUM SINT

"L'extrémisme dans la défense de la liberté n'est pas un vice; La modération dans la poursuite de la justice n'est pas une vertu".

"Extremism in the defense of liberty is no vice; moderation in the pursuit of justice is no virtue." (USA,Republican Convention 1964,Barry Morris Goldwater (1909-1998)).

"Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal mais par ceux qui regardent et refusent d'agir", Albert EINSTEIN.

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Let's  rather prefer Peace, Love , Hope and Life, and get together as one!!! Inno TWAGIRA
.

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2013 World Press Freedom Index: Rwanda falls 5 places


2013 World Press Freedom Index: Rwanda falls 5 places

 
Jan 31st, 2013 | By  | Category: Top news
In its World Press Freedom Index that was released this Wednesday, January 30th 2013, Reporters without Borders (RSF) classified Rwanda, governed by Paul Kagame, among the group of 'Africa's predatory censors'. The country has sunk 5 places compared to the years 2011-2012 and is now on the 161st place out of 179.
The association also lists Paul Kagame next to other African heads of state such as those of Eritrea, Djibouti and Swaziland, describing them as 'members of an exclusive club of authoritarian African leaders, some eccentric others stern, who hold their countries in an iron grasp and keep a firm grip on news and information.'
According to RSF, in countries governed by these leaders, 'media pluralism has been whittled away and criticism of the head of state discouraged.'
Burundi fell slightly, ranking 132nd compared to 130th on the last index. RSF states that 'summonses of journalists declined but the case of Hassan Ruvakuki, given a life sentence reduced to three years on appeal, has created an atmosphere of fear among the media.'
In the Great Lakes Region, the Democratic Republic of Congo is the only country to have progressed on the Index. It is now on the 142nd place, 3 places above last year.
Finland, The Netherland and Norway still dominate the top-three of the Index. Turkmenistan, North Korea and Eritrea are at the bottom of the list as 'dictatorial countries' with the least press freedom.
Ruhumuza Mbonyumutwa
Translated from French by Jane Nishimwe

2013 World Press Freedom Index: Rwanda falls 5 places


2013 World Press Freedom Index: Rwanda falls 5 places

 
Jan 31st, 2013 | By  | Category: Top news
In its World Press Freedom Index that was released this Wednesday, January 30th 2013, Reporters without Borders (RSF) classified Rwanda, governed by Paul Kagame, among the group of 'Africa's predatory censors'. The country has sunk 5 places compared to the years 2011-2012 and is now on the 161st place out of 179.
The association also lists Paul Kagame next to other African heads of state such as those of Eritrea, Djibouti and Swaziland, describing them as 'members of an exclusive club of authoritarian African leaders, some eccentric others stern, who hold their countries in an iron grasp and keep a firm grip on news and information.'
According to RSF, in countries governed by these leaders, 'media pluralism has been whittled away and criticism of the head of state discouraged.'
Burundi fell slightly, ranking 132nd compared to 130th on the last index. RSF states that 'summonses of journalists declined but the case of Hassan Ruvakuki, given a life sentence reduced to three years on appeal, has created an atmosphere of fear among the media.'
In the Great Lakes Region, the Democratic Republic of Congo is the only country to have progressed on the Index. It is now on the 142nd place, 3 places above last year.
Finland, The Netherland and Norway still dominate the top-three of the Index. Turkmenistan, North Korea and Eritrea are at the bottom of the list as 'dictatorial countries' with the least press freedom.
Ruhumuza Mbonyumutwa
Translated from French by Jane Nishimwe

-“The root cause of the Rwandan tragedy of 1994 is the long and past historical ethnic dominance of one minority ethnic group to the other majority ethnic group. Ignoring this reality is giving a black cheque for the Rwandan people’s future and deepening resentment, hostility and hatred between the two groups.”

-« Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre ».

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

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