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Friday, 9 November 2012

Pétition pour la RDC

--- On Fri, 11/9/12, Célestin Karambizi <c.karambizi@yahoo.de> wrote:

From: Célestin Karambizi <c.karambizi@yahoo.de>
Subject: *DHR* WG: petition
To: "Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr" <Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr>
Date: Friday, November 9, 2012, 4:21 AM

 

Veuillez signer la pétition pour la RDC, svp


Parlement Allemand, Union Européenne, Nations Unies, UA, SADC: Reconnaître et sanctionner les crimes contre l'humanité en R.D. Congo

Parlement Allemand, Union Européenne, Nations Unies, UA, SADC: Reconnaître et sanctionner les crimes contre l'humanité en R.D. Congo

Jentzsch Marco

Petition von

Jentzsch Marco

Deutschland

Pétition pour la reconnaissance des crimes contre l'humanité au sujet des massacres perpétrés depuis 1994 dans l'Est de la République Démocratique du Congo

A l'adresse 
du Parlement fédéral Allemand, 
du Parlement de l'Union européenne, 
à Madame Catherine Ashton, Vice-Présidente et Commissaire en charge des Affaires étrangères de l'Union européenne, 
à Madame Viviane Reding , Commissaire à la Justice de l'Union européenne 
au Conseil de sécurité des Nations unies 
a L'Union Africaine UA 
a SADC

Selon plusieurs sources d'informations dont entre autres le „Mapping Report", panel des Nations unies publié en 2010, plus de huit millions des personnes ont péri dans l'Est de la République Démocratique du Congo, suite aux multiples conflits ou leurs corollaires qui y sévissent. Bien que les causes de cette macabre situation soient connues de tous, les institutions internationales appropriées semblent n'y prêter aucune attention. Tout reste au stade de constat et reportage. 
Hormis une certaine attention accordée à quelconques crimes du vingtième siècle tels ceux commis aux Arméniens en 1915 jusqu'à ceux du Rwanda en 1994, il est effrayant de constater que l'opinion internationale semble ne pas s'émouvoir pour les millions des victimes tombés dans l'Est de la République Démocratique du Congo. 
Le Potentiel, un journal congolais a essayé de réveiller l'attention internationale en publiant un article le 29 juin 2012, dans lequel il plaidait pour que les cruels évènements qui se déroulent dans la partie orientale de la République Démocratique du Congo soient reconnus comme un génocide oublié. Nous autres, nous croyons qu'il est maintenant grand temps de parler à haute voix et reconnaître clairement que les massacres perpétrés constituent bien un Crime contre l'humanité.

Pour cela nous exigeons: 
1. La Reconnaissance des pertes de plus de huit millions des vies humaines dans l'Est de la République Démocratique du Congo comme Crime contre l'Humanité; 
2. de s'approprier et analyser les expertises existantes et plus spécialement celle de „Mapping report" de 2010 afin de formuler des recommandations applicables à toutes les parties concernées; 
3. de cataloguer les responsables et auteurs des conflits dans l'Est de la RDC pour les traduire en justice et au besoin, les sanctionner; 
4. de créer des mécanismes de prévention pour prévenir la résurgence des conflits; 
5. de compenser les victimes.

Ainsi fait à Berlin, le 04 octobre 2012 
Action pour L'Afrique centrale à Berlin

Pour plus d'informations, contacter Facebook"Liberated Congo", chez Twitter"Liberated Congo", chez „Friends of the Congo", et sur l'autre site: www.a-za-b.de

C/O: Grégoire Mukengechay, Berlin, info@a-za-b.de

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    "L'extrémisme dans la défense de la liberté n'est pas un vice; La modération dans la poursuite de la justice n'est pas une vertu".

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    Que peut-faire l’Afrique pour Obama ?

    http://nkbnkb.wordpress.com/2012/11/08/que-peut-faire-lafrique-pour-obama/

    Que peut-faire l'Afrique pour Obama ?

     
     
     
     
     
     
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    Pour  paraphraser John Fitzgerald Kennedy, qui invitait les jeunes à se demander ce qu'ils peuvent faire pour leur pays plutôt que l'inverse, nous les Africains devrions arrêter de faire la liste de ce qu'Obama n'a pas fait pour l'Afrique et à la place nous demander ce que nous pouvons faire pour nous même qui irait dans le sens de ce qu'Obama souhaite pour notre continent.

    Un seul mot résume tout ce nous devons faire pour sortir de notre situation peu enviable de dernier de la classe mondiale : organisation. Les quelques pays du continent qui se démarquent des autres en terme de développement réel autrement que par de la croissance en terme des pourcentage dans des statistiques aussi virtuelles que globalisantes n'ont fait ça que par s'ORGANISER. Qu'il s'agissent du Ghana, du Rwanda, de l'Ouganda, de l'Île Maurice et du Cap Vert, leur démarrage n'a pas été rendu possible par l'exploitation effrénée de ressources naturelles massives mais par la gestion rigoureuse de ce qui était disponible, à savoir les femmes et les hommes et leur environnement.

    Deux d'entre ces pays, à savoir le Ghana et l'Ouganda ont maintenant aussi découvert du pétrole dans leur sous-sol et il faut espérer que cette manne ne pourrira pas ce qui a été déjà été réalisé. Si il y a bien quelque chose dont l'Afrique ne manque pas ce sont des ressources naturelles en abondance  et  à haute sur le marché international. Nos sociétés doivent s'organiser pour mieux gérer toute cette abondance qui est actuellement pillée et/ou gaspillée par d'autres ou par nous mêmes.

    Nos cousins américains, asiatiques, européens, et autres ne naissent pas avec des idées claires de l'organisation, de la gestion, de la discipline et de la rigueur; ils ne les ont pas dans leur gênes et ne les sucent pas du sein de leurs mères. Ils les apprennent en famille, puis à l'école maternelle et dans la suite dans les autres regroupements humains.

    Quand Barack Obama, l'Africain malgré lui,  avait critiqué les hommes noirs irresponsables, il ne disait pas autre chose. Ça commence par soi-même, à la maison sinon ça finit en prison.

    Mais il est vrai que la tentation est forte de se laisser aller au népotisme, au tribalisme, au régionalisme ou au … laisser aller tout simplement pour ne pas s'attirer des ennuis, pour faire plaisir à la famille ou pour se faire plaisir à soi-même ! Et alors à demain la rigueur, l'éthique, la justice, l'équité, la discipline, etc. Ou à après demain !

    Ne demandons plus rien rien à Obama, nous avons déjà tout ce qu'il nous faut !

    NKB 09/11/2012

    « Barack Obama est un Président Blanc en qui vous pouvez avoir confiance » (Message de Chris Rock aux électeurs Blancs)

    De Washington à Obama : ces présidents qui ont marqué les Etats-Unis

    http://www.planet.fr/international-de-washington-a-obama-ces-presidents-qui-ont-marque-les-etats-unis.266304.29335.html?overview=1

    International


    De Washington à Obama : ces présidents qui ont marqué les Etats-Unis

    Le 07/11/2012 - La rédaction
    Réagissez !

    Si le mandat présidentiel dure "seulement" 4 ans aux Etats-Unis, il n'est pas rare en revanche, voire fréquent, que celui-ci soit renouvellé par le peuple.

    A l'instar de Barack Obama, qui vient d'être réélu, nombre de ses prédécesseurs ont ainsi dirigé et marqué les Etats-Unis pendant huit ans.

    1 - Barack Obama : 2009 à aujourd'hui

    Sénateur de l'Illinois (2004-2009), il est le premier président noir (en fait métisse) des États-Unis et le premier à obtenir un prix nobel de la paix en cours de mandat. En politique internationale, le début de sa présidence est marquée, par l'assouplissement de l'Embargo des États-Unis contre Cuba, par la main tendue à l'Iran, le retrait progressif des troupes américaines d'Irak, et l'élimination d'Oussama Ben Laden.
     
    En politique interne, sa présidence est marquée par la loi dite Obamacare sur l'assurance maladie, par une réforme du système financier suite à la crise des subprimes, par un plan de relance de l'économie américaine de 787 milliards de dollars, par le maintien jusqu'à leur terme des exonérations fiscales des ménages les plus aisés, par le réaménagement des programmes d'armement, par la non fermeture du camp de Guantanamo, par la levée de l'interdiction du financement public de la recherche sur les cellules souches embryonnaires23 (financement public suspendu à ce jour), par le soutien au mariage homosexuel, par l'annonce d'une nouvelle politique de l'environnement, etc.
     
    Il est réélu le 6 novembre 2012, face au républicain Mitt Romney, pour un second mandat présidentiel
    • 2 - George W. Bush : 2001-2009

       
      Fils du 41e président et ancien gouverneur du Texas, il est, en 2000, le 3e candidat à la présidence à accéder à la Maison-Blanche en étant minoritaire en voixnote 8. Son premier mandat est marqué par les attentats du 11 septembre 2001, la guerre contre le terrorisme, le Patriot Act, le développement du Bouclier antimissile, les guerres d'Afghanistan et d'Irak et l'ouverture du camp de Guantanamo. Réélu en 2004, cette fois avec la majorité absolue des suffrages populaires, son second mandat est marqué par les conséquences de la Guerre en Irak, la gestion controversée du cyclone Katrina en Louisiane en 2005, la gestion difficile du conflit israélo-palestinien et par l'adoption du plan Paulson pour relancer l'économie américaine suite à une crise financière débutée par la crise des subprimes en 2007. Après avoir atteint les sommets de la popularité à la fin de l'année 2001, il a atteint les profondeurs inverses à la fin de son mandat.

      3 - Bill Clinton : 1993-2001

       
      Ancien gouverneur de l'Arkansas. Élu en 1992 avec une majorité relative des suffrages, sa promesse de réformer le système de santé et de couverture médicale se heurte à l'hostilité du Congrès et se solde par un échec, en partie en raison de sa complexité et de son aspect institutionnel14. Les accords d'Oslo (accords de Washington signés le 13 septembre 1993), l'intervention de l'armée américaine en Haïti. Clinton est réélu en 1996. Au cours de son 2e mandat, des scandales politiques sont révélés tels le Whitewater, le travelgate, le filegate, le scandale sur le financement de sa campagne présidentielle et d'autres liés à des affaires privées (le bimbogate : affaires Paula Jones, Kathleen Willey, Monica Lewinsky, etc). Suite à l'affaire Lewinsky, il est l'objet devant le Congrès d'une procédure d'impeachment qui n'aboutit pas (vote du Sénat). Son deuxième mandat est également marqué par les attentats contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie en 1998, l'opération "Renard du désert" en Irak fin 1998 (sans mandat de l'ONU), l'intervention des troupes de l'OTAN dans la guerre du Kosovo. Durant son mandat, les États-Unis bénéficient d'une embellie économique marquée par un excédent budgétaire et un taux de chômage au plus bas en 30 ans.

      4 - George H.W. Bush : 1981-1993

       
      Vice-président de Ronald Reagan, élu en 1988, George Bush est rapidement témoin de la chute du mur de Berlin (1989), de l'effondrement des régimes des pays de l'Est (1989) suivi par celui de l'URSS (1990-1991) et de la réunification allemande (1990), marquant l'émergence d'un nouvel ordre mondial. Sous son mandat, les États-Unis assument leur rôle de « gendarme du monde » en dépêchant un corps expéditionnaire au Panama pour y arrêter le général Noriega, coupable de trafic de drogue. En 1991, les États-Unis dirigent une coalition internationale pour libérer le Koweït qui avait été envahi par l'Irak (Première guerre du Golfe). Fort de ses succès internationaux, Bush néglige la politique intérieure. L'économie entre en récession, le chômage augmente, l'insécurité progresse, les prestations sociales diminuent, et des émeutes raciales éclatent à Los Angeles13. Manquant à sa promesse électorale de ne pas augmenter les impôts, George Bush n'est pas réélu en 1992, notamment à cause de la candidature populiste de Ross Perot. Avant son départ de la Maison-Blanche, il lance les forces armées américaines, sous l'égide des Nations unies, dans l'opération Restore Hope en Somalie.

    5 - Ronald Reagan : 1981-1989

     
    Ancien acteur de cinéma et gouverneur de Californie, il est le plus âgé des présidents des États-Unis (presque 70 ans) lorsqu'il accède à la Maison-Blanche. Élu en 1980, il est réélu en 1984 avec le chiffre record de 525 grands électeursnote 6. Sa présidence, entamée au début de son mandat par un attentat contre lui, marque le début de la Révolution conservatrice consistant en une baisse de la fiscalité et un néolibéralisme sans faille10 connue sous le nom de Reaganomics, une politique de relance basée sur l'économie de l'offre. En politique internationale, sa première mandature est marquée par la crise des euromissiles, la relance de la course aux armements, l'invasion de la Grenade et la hausse du budget militaire, pour notamment financer le projet d'Initiative de défense stratégiquenote 7. Son second mandat est marqué par une croissance économique soutenue, ébranlée brièvement par le krach d'octobre 1987, par une inflation jugulée, un taux de chômage divisé par deux et un taux de change du dollar au plus haut niveau. Sur le plan international, outre le scandale de l'affaire Iran-Contra qui ébranle la présidence, le bombardement de la Libye du Colonel Kadhafi11 et la ratification du traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire, la course aux armements entamé au début des années 80 a accéléré la décomposition de l'URSS. Lors d'un discours à Berlin, Ronald Reagan y appelle symboliquement Mikhaïl Gorbatchev à faire tomber le rideau de fer. Ronald Reagan est ainsi perçu par certains comme le grand vainqueur de la guerre froide12. Selon une enquête nationale réalisée pour la télévision en 2005, un an après sa mort, il est pour les Américains leur personnalité publique préférée, toutes catégories confondues.

    6 - Jimmi Carter : 1977-1981

     
    Ancien gouverneur de Géorgie, il rompt avec la Realpolitik de ses prédécesseurs, voulant mettre l'accent sur les performances économiques internes et le respect des droits de l'homme à l'étranger. Sa médiation qui a permis d'aboutir à la signature des accords de Camp David entre Anouar el-Sadate et Menahem Begin, traduisait cette nouvelle orientation basée sur le multilatéralisme et la non-intervention. Il privilégie également les relations avec les pays du tiers monde. Il tend la main à Fidel Castro sans résultat. Il suspend également l'aide militaire au régime de Somoza au Nicaragua et, à la chute de ce dernier, favorise la formation d'un gouvernement comprenant les sandinistes. Mais la prise de la totalité du pouvoir par ces derniers et leur rapprochement avec Cuba est une humiliation pour la diplomatie américaine. Au Moyen-Orient, il désavoue le shah d'Iran, mais se retrouve aux prises avec un régime islamique hostile qui débouche sur la crise iranienne des otages. Enfin, le non-respect des accords SALT par l'URSS et l'invasion de l'Afghanistan par les troupes soviétiques, l'amenant à boycotter les jeux olympiques de Moscou ainsi qu'à supprimer des exportations de denrées alimentaires vers l'URSS, minent sa politique étrangère alors que l'hégémonie économique américaine est contestée par le Japon. En 1980, l'inflation galopante tout comme la hausse du prix du carburant à la pompe et le chômage contribuent à le priver d'un second mandat. Carter reçoit le prix Nobel de la paix en 2002.


    7 - Richard Nixon : 1969-1974

     
    Ancien vice-président de Dwight Eisenhower, il développe la législation sur l'affirmative action (plan de Philadelphie en 1969), retire les troupes américaines du Viêt Nam et reconnaît la République populaire de Chine. Réélu en 1972 en remportant 49 des 50 États américains. En 1974, il démissionne à la suite du début d'une procédure d'impeachment, consécutive à l'affaire du Watergate dans laquelle il est accusé d'entrave à la justice. Un mois après sa démission, son successeur, Gerald Ford, lui accorde "un pardon sans réserve pour toutes les fautes qu'il a commises ou a pu commettre", mettant un terme aux procédures judiciaires en cours.

    8 - Lindon B. Johnson : 1963-1969

     
    Vice-président de John F. Kennedy, il devient président à l'assassinat de ce dernier et obtient en 1964 la plus grande victoire de l'histoire des États-Unis aux suffrages populaires (61,1 %), mais perd le Sud qui s'oppose à son programme sur les droits civiques et à l'affirmative action qui lui permettent de mettre fin à la ségrégation raciale. Son mandat est aussi marqué par son discours sur la "Grande Société" promettant l'effacement des clivages sociaux, raciaux et culturels devant l'intérêt collectif, par l'adoption du Medicare et du Medicaid, mais aussi par les émeutes raciales dans le ghetto de Watts (1965). Il devient impopulaire à cause de la guerre du Vietnam et de l'offensive du Têt. Il renonce alors à se représenter en 1968.

    9 - John F. Kennedy : 1961-1963

     
    Ancien représentant et sénateur du Massachusetts, il est élu face au vice-président sortant Richard Nixon. Premier président catholique, il est également le plus jeune président élu des États-Unisnote 5. Entamé par le discours sur la Nouvelle Frontière, son mandat est marqué sur le plan international par le débarquement de la baie des Cochons (1961), la crise des missiles de Cuba (1962), la création des Corps de la Paix et le doublement du nombre de ISBM Polaris. Sur le plan intérieur, il lance le programme Apollo et entame le processus d'abolition législative de la ségrégation raciale dans les États du Sud qui se heurte à l'opposition des Démocrates sudistes du Congrès. Il a été assassiné le 22 novembre 1963 à Dallas, à l'âge de 46 ans par Lee Harvey Oswald.

    10 - Dwight D. Eisenhower : 1953-1961

     
     
    Il a été le général en chef du SHAEF, le commandement allié en Europe pendant la Seconde Guerre mondiale qui a organisé les débarquements. Il met fin à 20 ans de présidence démocrate et au maccarthysme, supervise le cessez-le-feu en Corée, lance la course à l'espace, crée la NASA, développe le système des autoroutes inter États, étend l'assurance-maladie et fait du développement de l'armement nucléaire une priorité dans le cadre de la guerre froide.
    Son mandat est marqué notamment par l'arrêt de la Cour Suprême déclarant la ségrégation scolaire illégale dans le sud des États-Unis (arrêt Brown v. Board of Education) qui l'amène notamment à envoyer en Arkansas 1 000 hommes de la 101e division aéroportée et faire passer la garde nationale de l'Arkansas sous contrôle fédéral pour permettre à neuf élèves noirs d'entrer en sécurité et poursuivre leur scolarité dans le lycée central de Little Rock.

    11 -  Harry S. Truman : 1945-1953

     
     
    Originaire du Missouri et vice-président de Franklin D. Roosevelt (depuis le 20 janvier 1945 seulement, il ne l'était pas sous les trois précédents mandats), il accède à la présidence en avril 1945 à la mort de celui-ci. Il prend la décision d'utiliser deux fois la bombe atomique contre le Japon pour terminer la Seconde Guerre mondiale. Instigateur du Plan Marshall, son mandat est marqué par le début de la guerre froide. Après avoir remporté l'élection présidentielle américaine de 1948, sa politique est marquée par l'apogée du maccarthysme. Son mandat est aussi marqué par l'envoi de troupes américaines en Chine et en Corée dans le cadre de la politique de containment face à l'extension mondiale du communisme. Il signe un traité de paix avec le Japon en 1951, qui entre en vigueur en 1952.
     

    12 - Franklin D. Roosevelt : 1933-1945

     
    Ancien gouverneur de l'État de New York, atteint de ce que l'on croit être une poliomyélite, il est élu pour résoudre la crise économique et sociale de 1929. Sa politique de "New deal" est fondée sur une intervention massive de l'État dans l'économie, par la prise de contrôle du système bancaire, par une politique de grands travaux publics, comme la construction de barrages, la réfection des routes ou l'entretien des parcs pour lutter contre le chômage, l'abandon de l'étalon-or et l'instauration d'un régime de retraite doublé d'une assurance chômage (Social Security Act du 14 août 1935). Les résultats de cette politique sont mitigés, mais Roosevelt parvient à redonner confiance aux Américains et est réélu en 1936, en remportant 46 États sur les 48 de l'époque. Son second mandat est marqué par le "second New Deal" avec la fixation d'un salaire minimal, la limitation du temps de travail à 40 h et l'interdiction de travail des enfants... Réélu en 1940, il est le seul président à se représenter après deux mandats complets.
     

    13 - J. Calvin Coolidge : 1923-1929

     
     
    Vice-président de Warren Harding, il accède à la présidence à la mort de ce dernier et est élu pour un mandat complet en 1924. Il est très critiqué après la crue du Mississippi de 1927 qui avait provoqué 246 morts et plus de 400 millions de dollars de dégâts. Sous son mandat, les Indiens d'Amérique se voient reconnaître la nationalité américaine.

    14 - Theodore Roosevelt : 1901-1909

     
    Ancien chef de la police de New York, officier des Rough Riders à la bataille de San Juan à Cuba, vice-président de McKinley, il succède à ce dernier après son assassinat, devenant à 42 ans le plus jeune président américain, puis est à son tour élu en 1904. Il applique une politique progressiste et sociale (politique anti-trust contre les big corporations) et étend les prérogatives présidentielles et fédérales. En politique internationale, il révise la doctrine Monroe en accordant aux États-Unis la possibilité d'exercer un pouvoir international de police, ce qui lui permet de se poser en protecteur de l'ensemble latino-américain. Il reçoit le prix Nobel de la paix pour son rôle de médiateur dans le conflit entre le Japon et la Russie. Écologiste mais aussi chasseur et admirateur du milieu vivant, il multiplie les actions en faveur de la protection des espaces naturels, de la création des parcs nationaux à la lutte contre le gaspillage.

    15 - Abraham Lincoln : 1861-1865

     
    Premier président républicain, son élection déclenche la sécession des états esclavagistes et débouche sur la guerre de Sécession et la proclamation de l'abolition de l'esclavage (1863). Réélu en 1864 , il est assassiné quelques jours après la victoire des nordistes par John Wilkes Booth au théâtre Ford de Washington.

    16 - Andrew Jackson : 1829-1837

     
    Premier président démocrate, il a renforcé la démocratie aux États-Unis. Sa mémoire est cependant ternie par son soutien très actif à la déportation des Amérindiens à l'ouest du Mississippi et à l'esclavage des Noirs.

    17 - James Monroe :1817-1825

     
    Triomphe définitif du Parti républicain-démocrate : sans opposant, il est réélu en 1820 à l'unanimité moins une voix du collège des grands électeurs. Il est le concepteur de la doctrine Monroe, à l'origine de l'isolationnisme américain et de la réduction de l'influence politique des puissances européennes (Grande-Bretagne, Espagne, France...) sur le continent américain.

    18 - James Madison : 1809-1817

     
    Un des auteurs de la Constitution, Secrétaire d'État sous Jefferson, il est élu en 1808 en partie sur son habileté diplomatique à une période où la France et le Royaume-Uni sont prêts à faire la guerre aux États-Unis. Il fut réélu en 1812 contre le candidat républicain démocrate dissident DeWitt Clinton alors que le pays est en guerre avec le Royaume-Uni, guerre qui dura de 1812 à 1815, soldée par un statu quo ante bellum.

    19 - Thomas Jefferson : 1801-1809

     
    C'est l'un des Pères de l'indépendance et le principal rédacteur de la Déclaration d'indépendance. Il fut pendant plusieurs années ambassadeur des États-Unis auprès de la France. Membre du Parti républicain-démocrate, vice-président de John Adams, il est élu contre Aaron Burr au 36e tour de scrutin à la Chambre des représentants, réalisant la première alternance de l'histoire des États-Unis. Achat de la Louisiane à la France en 1803. Il entretient une relation ambigüe avec l'esclavage (il possède des esclaves dans sa propriété de Monticello en Virginie).

    20 - George Washington : 1789 - 1797

     
    Premier président des États-Unis, c'est le général vainqueur des Britanniques et héros de l'Indépendance. Très populaire, il est le seul président ayant été élu deux fois à l'unanimité (il n'avait pas d'opposant), en 1789 et 1792. Sous son mandat, un Bill of rights comprenant 10 amendements à la Constitution est ratifié, garantissant un certain nombre de droits individuels comme la liberté du culte, d'expression, de la presse, de port d'armes (amendements interprétables de différentes façons) ou encore un certain nombre de protections judiciaires. Cependant, l'esclavage reste permis (il possédait lui-même des esclaves dans sa propriété de Mount Vernon en Virginie).

    Thursday, 8 November 2012

    UK: Relations with Rwanda must be urgently reviewed

    http://www.guardian.co.uk/commentisfree/2012/nov/08/relations-rwanda-andrew-mitchell?INTCMP=SRCH
     
     

    Relations with Rwanda must be urgently reviewed

    Andrew Mitchell is being questioned after giving £8m to a state with rebel links. UK silence on human rights abuses must end

     
    Andrew Mitchell, ex-development secretary is today questioned by the Commons IDC on aid to Rwanda.
    Andrew Mitchell, ex-development secretary is being questioned on UK aid to Rwanda. Photograph: Reuters/Toru Hanai

    The international development select committee (IDC) is today questioning Andrew Mitchell on his controversial decision to disburse £8m of UK budget support to the government of Rwanda, in his final hours as international development secretary and just six weeks after deciding to withhold this support, following allegations of Rwandan military backing for the M23 rebel group in the Democratic Republic of Congo (DRC).

    Human Rights Watch has documented egregious and systematic human rights abuses by the M23 rebels in DRC over the last six months. The group is largely made up of soldiers who mutinied from the Congolese national army in late March and May 2012. Its senior commanders have a well-known history of serious abuses. They include General Bosco Ntaganda, who is wanted on two arrest warrants by the international criminal court for war crimes and crimes against humanity, and several other individuals involved in massacres and the recruitment of children to fight in eastern Congo.

    Recent M23 abuses in eastern Congo include the deliberate killing of civilians, summary executions and rape. Among the cases we documented was that of an eight-year-old girl raped by M23 fighters. In another sickening case, a 32-year old woman in the village of Chengerero was gang raped by M23 fighters, who then poured fuel between her legs and set the fuel on fire. The M23 have also forcibly recruited civilians into their ranks and executed some who tried to flee. These abuses and those of other armed groups have contributed to the quickly deteriorating humanitarian situation in the region, with tens of thousands of people displaced by violence and fear.

    Despite the Rwandan government's flat denials, Rwandan military support for the M23 has been significant throughout this period. During a visit toKigali at the end of last month, I raised the issue of Rwanda's role with the main donors and embassies. Not one of them disputed the Rwandan army's direct involvement. Human Rights Watch's research shows clearly that Rwandan troops have been deployed in support of M23 operations, that ordinary Rwandans, including children, have been forcibly recruited and sent to Congo to fight with the M23, and that Rwandan military officials have supplied them with arms and ammunition. These findings match those of the UN Group of Experts on Congo, as detailed in their June interim report and in their final report, which has yet to be published but whose conclusions have been extensively leaked.

    This is the backdrop to Mitchell's announcement of 4 September that he would release half the delayed £16m of general budget support. He justified this on the basis that "Rwanda has engaged constructively with the peace process initiated through the International Conference on the Great Lakes region". But Human Rights Watch sees no evidence to support this positive assessment of Rwanda's role in eastern DRC or of its constructive engagement to resolve the regional crisis. On the contrary, Rwandan military support to the M23 was ongoing from late July to early September – that is throughout the period in which UK aid was withheld and then disbursed.

    The decision to resume half the delayed UK aid to Rwanda appears to have been taken hurriedly, with limited internal discussion across Whitehall or with high commission and Department for International Development (DfID) staff in Rwanda. It may also have been taken against the advice of some UK officials, though publication of the advice could easily resolve that issue. From recent discussions with major donor governments to Rwanda, including embassies in Kigali, it is further apparent that there was little if any consultation with other governments in advance of this decision. Mitchell's decision is at odds with the position of the UK's main partners: none of the other European governments that suspended aid to Rwanda around the same time, and for the same reasons, have since chosen to resume it.

    While the focus of the IDC inquiry is UK aid and Rwanda's role in DRC, there are wider questions to be asked about UK policy towards Rwanda. Since the genocide of 1994, Rwanda has made very substantial and welcome progress economically and against some key development indicators. But this cannot excuse or justify the highly repressive nature of the Rwandan government, its attacks on members of Rwandan opposition parties, the politicisation of the judiciary, the emasculation of Rwandan NGOs, civil society and independent journalists, or the use of ill-treatment and torture in unlawful detention centres. In their eagerness to celebrate Rwanda's "development success" UK ministers have been shamefully silent about these persistent human rights abuses.

    This neglect of rights concerns is no longer tenable. The new international development secretary, Justine Greening, should make the protection and advancement of human rights a much more central focus of DfID policy towards Rwanda. Human rights do feature in the text of a recently revised Memorandum of Understanding (MoU) signed by DfID and the Rwandan government. But rights principles in previous MoUs have been largely ignored. This needs to change. DfID should also do more to support Rwandan civil society – those courageous Rwandan men and women pressing for reform and respect for basic freedoms from within the country, often at great personal risk to themselves. It should also reassess the appropriateness of general budget support for Rwanda and ensure that aid for Rwanda's poorest citizens and support for poverty reduction and development does not inadvertently entrench authoritarianism or repression.





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    -“The root cause of the Rwandan tragedy of 1994 is the long and past historical ethnic dominance of one minority ethnic group to the other majority ethnic group. Ignoring this reality is giving a black cheque for the Rwandan people’s future and deepening resentment, hostility and hatred between the two groups.”

    -« Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre ».

    -“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

    -“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.

    -“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

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