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Monday, 27 July 2020

Re: *DHR* Incendie de la cathédrale de Nantes : Emmanuel ABAYISENGA, bénévole impliqué au parcours cabossé


Il était l'un des sept gardiens des clés de la cathédrale. Emmanuel Abayisenga, 39 ans, était chargé de fermer les portes, la veille de l'incendie. Le lendemain, Saint-Pierre-et-Saint Paul partait en fumée. Pourtant, aucun signe d'effraction n'avait été constaté par les enquêteurs. Cette paroisse, il la fréquente depuis quatre à cinq ans et aide parfois à la liturgie. Cela fait huit ans que cet homme d'origine rwandaise serait arrivé en France. Il était hébergé par le diocèse, dans le couvent franciscain de Canclaux, dans le centre-ville de Nantes.
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Le bénévole du diocèse suspecté a finalement avoué être à l'origine de l'incendie de la cathédrale de Nantes. Cet homme de 39 ans a été mis en examen et placé en détention ...www.ouest-france.fr
Le bénévole du diocèse suspecté a finalement avoué être à l'origine de l'incendie de la cathédrale de Nantes. Cet homme de 39 ans a été mis en examen et placé en détention provisoire dans la nuit du samedi 25 au dimanche 26 juillet 2020.
https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/incendie-de-la-cathedrale-de-nantes-emmanuel-benevole-implique-au-parcours-cabosse-6919071 
Ouest-France
Julie ECHARD., Publié le 26/07/2020 à 22h04

Incendie à la cathédrale de Nantes: le procureur dévoile des détails de l'enquête
Après la mise en examen et le placement en détention provisoire d'Emmanuel Abayisenga, dans le cadre de l'enquête sur l'incendie de la cathédrale de Nantes, le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, a confié à Ouest-France de nouveaux éléments de l'investigation, ce dimanche 26 juillet.
Pierre Sennès, procureur de la République de Nantes. | ARCHIVES JÉRÔME FOUQUET/OUEST-FRANCE

Après la mise en examen et le placement en détention provisoire d'Emmanuel Abayisenga, dans le cadre de l'enquête sur l'incendie de la cathédrale de Nantes, le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, a confié à Ouest-France de nouveaux éléments de l'investigation, ce dimanche 26 juillet.

Cet homme de 39 ans était bénévole au sein du diocèse et avait déjà été placé une première fois en garde à vue le week-end dernier. Il a reconnu les faits.


Quels éléments de l'enquête vous ont finalement permis de relier le bénévole mis en examen cette nuit à l'incendie qui a frappé la cathédrale de Nantes ?

Sa première garde à vue, samedi 18 juillet 2020, avait permis de l'interroger sur un certain nombre de points, notamment son emploi du temps. Après ses déclarations, il y a eu un travail considérable de la police judiciaire pour les vérifier et les corroborer. On a constaté qu'il y avait un certain nombre d'éléments qui étaient divergents par rapport à ce qu'il nous avait déclaré.

À ceci, sont venus s'ajouter les premiers résultats du laboratoire de la préfecture de police de Paris, qui nous ont orientés de plus en plus vers une piste criminelle.

La conjonction de tous ces éléments, entre lundi 20 juillet et samedi 25 juillet 2020, a donné une nouvelle orientation à l'enquête.

On a pu déterminer qu'il était dans le secteur de la cathédrale, le matin, dans le créneau horaire où le feu s'est déclaré, grâce à des caméras installées aux alentours de l'édifice, celui-ci n'en étant pas doté.

On a constaté, sur deux des trois sites où ont eu lieu des départs de feu, des éléments troublants, qui pouvaient corroborer une intervention extérieure et un geste criminel. On a retrouvé, par exemple, un produit inflammable, qui pourrait avoir été utilisé pour allumer l'incendie.

Pourquoi avoir remis le suspect en liberté, le week-end dernier ?

Il a été remis en liberté car, au terme de cette première garde à vue, nous avions considéré qu'il n'y avait pas d'éléments à charge suffisants pour engager les poursuites. Ce n'était pas du tout une stratégie d'enquête.
Mais cela nous a permis de recueillir longuement ses explications et de pouvoir ensuite les vérifier. Puis, un travail a commencé pour s'assurer de la pertinence des éléments qu'il nous avait donnés.

Il était bien sous le coup d'une obligation de quitter le territoire français ?

Son obligation de quitter le territoire français était établie. Il avait également des problèmes de santé, d'ordre physique, et a essayé de faire régulariser sa situation en raison de cet état de santé.

Qu'en est-il des e-mails qu'il aurait envoyés concernant sa demande de nationalité française ?

Le suspect avait effectivement adressé un e-mail au diocèse, ainsi qu'aux autorités administratives, dans lequel il se plaignait fortement de sa situation administrative. Il y exprimait des reproches auprès de différentes personnalités, considérant qu'il n'était pas soutenu et qu'on ne l'aidait pas assez dans ses démarches administratives.

Comment un homme très impliqué dans la vie du diocèse aurait-il pu en arriver là ?

Comment on en arrive là, ce n'est pas tout à fait clarifié. Il est certain que le juge d'instruction devra ordonner une expertise psychiatrique. C'est une étape indispensable pour en savoir un peu plus sur ses motivations et son état d'esprit. Le résultat sera intéressant.

Concernant ses motivations, les explications ont pour l'instant été très superficielles et encore un peu confuses.

Quelle est la prochaine étape de la procédure ?

Le juge d'instruction va prendre la direction de l'enquête. Il va délivrer une commission rogatoire à la police judiciaire. Il y a encore du travail à accomplir, notamment au niveau de la police technique et scientifique. Dès qu'il le pourra, le laboratoire de la préfecture de police accédera à l'orgue. On va continuer un travail minutieux de constatations, de prélèvements et d'analyses en laboratoire, dès que l'on pourra le faire sur le secteur où se trouvait l'orgue.

Ensuite, il pourrait y avoir de nouvelles auditions et de nouvelles investigations faites par la police judiciaire, à la demande du juge d'instruction.

Je tiens à saluer le travail impressionnant de la police judiciaire. Ils ont mis de gros moyens et il y a eu un investissement très fort des enquêteurs, qui ont fait preuve d'un grand professionnalisme. Ils ont fait un travail considérable, dans un temps très réduit. C'est cela qui permet d'avoir une solution à cette affaire. Mais il faut encore attendre, la procédure n'est pas terminée.

Compte tenu de l'émotion suscitée par cet incendie, tout le monde était mobilisé et avait à cœur que l'enquête aboutisse.


https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/nantes-44000/info-ouest-france-incendie-a-la-cathedrale-de-nantes-le-procureur-devoile-des-details-de-l-enquete-6918750
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Pierre Sennès, procureur de la République de Nantes, donne à « Ouest-France » de nouveaux éléments de l'enquête sur l'incendie de la cathédrale de Nantes, après la mise en examen et ... www.ouest-france.fr
Après la mise en examen et le placement en détention provisoire d'Emmanuel Abayisenga, dans le cadre de l'enquête sur l'incendie de la cathédrale de Nantes, le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, a confié à Ouest-France de nouveaux éléments de l'investigation, ce dimanche 26 juillet.
Ouest-France
Estelle CHOTEAU et Julie ECHARD.
Publié le 26/07/2020 à 12h12
27.07.2020
Ildephonse Murayi-Habimana

Onderwerp: Incendie dans la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul de Nantes : le Rwandais bénévole, écroué, a reconnu les faits
 
Bene Kanyarwanda ( Ba Rwandais ! ) turarutanze !
Comme si ce dont on nous accuse ne suffisait pas, nous commençons maintenant à brûler les cathédrales en Europe ( i Burayi ) !
Ba Rwandais !
Mana y'u Rwanda wagiye he ?
L'homme âgé de 39 ans avait été placé en garde à vue une première fois quelques heures après l'ouverture de l'enquête, le 18 juillet 2020, puis remis en liberté le lendemain soir.
Faits divers. Incendie dans la cathédrale de Nantes : le bénévole, écroué, a reconnu les faits
Dimanche 26 juillet 2020 à 07:04 | mis à jour à 07:57 | Vu 6044 fois
Le feu avait notamment détruit un tableau d'Hippolyte Flandrin du XIXe siècle et le grand orgue. Photo Fanny ANDRE/AFP
Une semaine après l'incendie dans la cathédrale de Nantes, la piste criminelle est désormais privilégiée et un bénévole du diocèse, un temps interpellé puis relâché, a été mis en examen et placé en détention provisoire dans la nuit de samedi à dimanche pour destructions et dégradations par incendie.
L'homme "regrette amèrement les faits"
"Mon client a coopéré", a affirmé au quotidien Presse-Océan l'avocat du mis en examen, Me Quentin Chabert.

"Il regrette amèrement les faits et évoquer cela a été pour lui une libération. Mon client est aujourd'hui rongé par le remords et dépassé par l'ampleur qu'ont pris les événements", assure-t-il.

L"homme "a reconnu, lors de l'interrogatoire de première comparution devant le juge d'instruction, avoir allumé les trois feux dans la cathédrale: sur le grand orgue, le petit orgue et dans un panneau électrique", a précisé le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès, au quotidien.

Cet homme de 39 ans était chargé de fermer la cathédrale la veille de l'incendie. Il s'agit "d'un Rwandais, venu se réfugier en France il y a quelques années", avait expliqué la semaine dernière le recteur de la cathédrale de Nantes, le père Hubert Champenois.

Selon le recteur, le bénévole est "servant d'autel" et il le connaissait "depuis quatre ou cinq ans".
"J'ai confiance en lui"
"J'ai confiance en lui comme en tous les collaborateurs", avait-il expliqué.

Le bénévole avait été placé en garde à vue quelques heures après l'ouverture de l'enquête, le 18 juillet, puis remis en liberté le lendemain soir. Les enquêteurs souhaitaient l'interroger car après l'incendie aucune trace d'effraction n'avait été constatée sur les accès à l'édifice dans lequel trois points de départ de feu avaient été constatés.

Le feu avait notamment détruit un tableau d'Hippolyte Flandrin du XIXe siècle et le grand orgue.
Dans le cadre de cette enquête, "plus de trente personnes"ont été entendues et une vingtaine d'enquêteurs de la police judiciaire ont été mobilisés, avec notamment le renfort du laboratoire central de la préfecture de police de Paris, afin de déterminer la cause de l'incendie, a expliqué dans un communiqué samedi soir le procureur de la République de Nantes, Pierre Sennès ..
"Les premiers résultats communiqués par le laboratoire central de la préfecture de police de Paris amènent à privilégier la piste criminelle", a-t-il ajouté.
Le bénévole a été de nouveau interpellé et placé en garde à vue tôt ce samedi 25 juillet 2020 matin et présenté dans la soirée au parquet de Nantes qui a ouvert une information judiciaire. L'homme encourt une peine de 10 ans d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende.
Abatabizi bicwa no kutabimenya.
Nikozitambirwa
26.07.2020
Ildephonse Murayi-Habimana
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Envoyé par : Ildephonse MURAYI-HABIMANA <imurayi@yahoo..fr>



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Thursday, 9 July 2020

Fw: *DHR* Fw: Alliance de trahison Macron-Kagame








ISHAKWE-RWANDA FREEDOM MOVEMENT

www.ishakwe.org

rfmishakwe@gmail.com

 

ALLIANCE DE TRAHISON MACRON-KAGAME

 

4 juillet 2020

 

"Il est défendu de tuer; tout meurtrier est puni, à moins qu'il n'ait tué en grande compagnie, et au son des trompettes"."Ceux qui peuvent vous faire croire en des absurdités pourront vous faire commettre des atrocités." Voltaire Essai de 1765 "Questions sur les miracles." Ce sont les mots de François-Marie Arouet (Voltaire), le célèbre écrivain, historien et philosophe français (1694-1778).

Des centaines d'années plus tard, le président Paul Kagame confirme la première citation de Voltaire, en étant le plus grand meurtrier de masse vivant de l'histoire moderne, tandis que le président français Emmanuel Macron remplit la seconde en présidant pour la deuxième fois en 26 ans au déni de justice le plus perfide, en trahissant gravement le peuple Rwandais.

Une cour d'appel a rejeté une demande de réouverture de l'affaire qui a été classée sans suite, dans l'affaire de l'attentat en 1994 contre l'avion dans lequel ont péri le président Habyarimana du Rwanda, un Hutu, et le président Cyprien Ntaryamira du Burundi, également Hutu, et tout leur entourage qui comprenait des citoyens français. L'abattage de l'avion a été orchestré et exécuté par Paul Kagame, alors président du haut commandement de l'Armée patriotique rwandaise (branche militaire du Front patriotique rwandais), Kayumba Nyamwasa (alors directeur des renseignements militaires de Kagame), et d'autres officiers militaires tutsis sous leur commandement. Les architectes de l'attentat contre l'avion sont les mêmes auteurs de crimes de guerre, de crimes contre l'humanité et de génocide contre les Hutu en République démocratique du Congo et au Rwanda. Le fait qu'aucun d'entre eux n'a été traduit en justice pour ses crimes, entretient le cycle de l'impunité qui continue de ravager le Rwanda et la région des Grands Lacs.

L'attentat contre l'avion le 6 avril 1994, comme l'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand à Sarajevo le 28 juin 1914, a été un déclencheur puissant et historique. Le premier a coûté la vie, comme conséquence immédiate, à environ 1,5 million de Rwandais, tutsi et hutu, tués lors d'actes de génocides, de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité.

Ces crimes ont été commis par une élite génocidaire du régime MRND de Habyarimana (Hutu) et du régime du FPR de Kagame (Tutsi). La Première Guerre mondiale qui a suivi l'assassinat de Ferdinand a fait 50 à 80 millions de morts. Les griefs nés à la fin de la guerre en 1918, entre autres, ont conduit à la Seconde Guerre mondiale qui a coûté la vie à environ 70 à 85 millions de personnes. L'Holocauste juif, au cours duquel six millions de Juifs ont été tués, a été l'un des pires crimes commis pendant la Seconde Guerre mondiale par l'élite enragée, raciste et génocidaire du troisième Reich d'Adolf Hitler.. La France a eu la chance d'avoir des alliés qui l'ont aidée à son heure la plus périlleuse à surmonter l'occupation nazie. Le Rwanda n'a pas eu autant de chance. Deux fois en un quart de siècle, les puissances mondiales ont choisi de se rallier aux régimes génocidaires contre les intérêts du peuple rwandais.

L'holocauste juif et le génocide des Tutsi au Rwanda sont connus et ont été reconnus, enquêtés, poursuivis et punis. Le génocide, les crimes de guerre et les crimes commis par le régime du FPR de Kagame (Tutsi) contre le peuple hutu n'ont pas été reconnus. Les Hutu ne sont même pas autorisés à commémorer leurs morts. Ce n'est que récemment que les États-Unis et le Royaume-Uni, tous deux alliés du régime de Kagame, d'une manière plutôt timide et à demi mesure, ont publiquement exprimé que les Hutu devraient être inclus parmi les victimes du génocide, contredisant ainsi le récit fallacieux officiel du régime de Kagame lors de l'Assemblée générale des Nations Unies qui a qualifié le génocide commis au Rwanda de crime exclusivement contre les Tutsi.

La France était l'alliée du régime génocidaire Hutu du MRND de Habyarimana. C'est une erreur stratégique et historique que le régime de Kagame a su exploiter pour faire chanter l'élite dirigeante française. Kagame a insensiblement méprisé et brandi une sorte de culpabilité nationale de la France, a nargué tous les présidents français successifs depuis 1994 - François Mitterrand, Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron - jusqu'à pousser la France à commettre à nouveau une autre erreur historique et fatale en s'alliant au président Kagame et à son régime génocidaire composé d'une minorité Tutsi.

C'est une ironie de l'histoire que la même nation qui a offert au monde des idées suprêmes de liberté, d'égalité et de fraternité générerait également une mentalité raciste qui est au cœur de l'entreprise impériale de la France, puissamment exposée en Indochine, en Algérie et au Rwanda. Dans chacun de ces cas, une idéologie raciste et suprémaciste blanche, la poursuite du pouvoir, le pillage, la cupidité pure et les intérêts géopolitiques ont poussé l'élite dirigeante française à nier les principes mêmes sur lesquels la République française est fondée.

Le président Macron a entraîné la France dans le bourbier d'un acte honteux de l'histoire. Il se leurre s'il croit pouvoir réussir à faire admettre un déni de justice absurde au peuple rwandais et au reste de la communauté internationale. Il a même fait un pas supplémentaire en gratifiant avec un montant de près de 50 millions d'euros le régime de Kagame en guise de cadeau d'anniversaire culte du 4 juillet, officiellement "la date de la libération du pays", en fait la révolution ratée du FPR qui a dangereusement perdu son chemin, comme la Révolution française de 1789. Les deux cadeaux empoisonnés - la fermeture de l'affaire Habyarimana et l'argent de poche - sont des invitations à Kagame et à sa cohorte de meurtriers Tutsi à continuer de commettre des atrocités.. Voltaire était prémonitoire.

Le président Macron et l'élite dirigeante française ont de nouveau oublié l'histoire, trahi les Rwandais, abusé de la conscience légitime du peuple français et de la France, et rejoint les rangs des amis d'un régime génocidaire qui déforme l'histoire. La France a choisi de clore un dossier qui est absolument indispensable pour comprendre l'histoire tragique du Rwanda et construire un pont de vérité entre tous les Rwandais vers un cheminement partagé de justice réparatrice, de guérison et de réconciliation.

Le silence et le consentement de l'Afrique et de la communauté internationale sont scandaleusement troublants, rappelant leur comportement pendant le génocide en 1994.

Pour les Rwandais, l'affaire reste ouverte. La lutte continue jusqu'à ce que toute la vérité soit dite et que justice soit faite. C'est la tâche urgente et importante de tous les Rwandais, Africains, Français et la communauté internationale de s'opposer à l'alliance de trahison Macron-Kagame.

Nous ne devons pas permettre que l'assassinat de deux chefs d'État noirs et 1,5 million de morts noirs au Rwanda soient jetés dans les poubelles d'Emmanuel Macron et de l'élite dirigeante française.

L'histoire aura son temps de rendre son verdict véridique et sévère sur le président Emmanuel Macron et l'élite dirigeante française....

Dr. Theogene Rudasingwa

Président,

Rwanda Freedom Movement-ISHAKWE

Washington DC

Etats Unis d'Amerique

Contact: ngombwa@gmail.com



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Envoyé par : Nzi Nink <nzinink@yahoo.com>


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Tuesday, 7 July 2020

Fw: *DHR* Re: Lettre ouverte du CLIIR à Son Excellence Madame Jeannette Kagame.

Lettre ouverte à Son Excellence Madame Jeannette Kagame.

 

         En ma qualité de coordinateur du CLIIR, je me permets de vous adresser ce cri d'alarme pour vous demander de sauver notre maison, le Rwanda, car elle est en train de brûler. Et ce depuis les 26 ans de pouvoir du régime totalitaire mis en place par un petit noyau de chefs militaires regroupé autour de votre mari, Son Excellence le président Paul KAGAME. Je m'adresse à Vous parce que vous êtes une mère au même titre que Madame Victoire INGABIRE Umuhoza qui est rentrée au Rwanda le 16 janvier 2010. Cette femme, dont les qualités humaines et la compassion équivalent celle de Madame INYUMBA Aloysie,  a été accueillie par la violence de votre mari et a passé Huit en prison. Cette brutalité du régime ne l'a pas ébranlée. Au contraire, pendant son séjour dans les « quatre murs » des prisons 1930 et Mageragere, elle a même réussi à redonner l'espoir au peuple rwandais opprimé et terrassé par la terreur d'Etat et l'injustice entretenues par votre mari.

 

Si j'ai choisi de vous écrire aujourd'hui ce 05 juillet, c'est qu'il s'agit d'une date « maudite » à laquelle deux généraux ont pris le pouvoir par la force avant de le perdre pour le Général Habyarimana dont le régime dictatorial a perdu la guerre les 04 et 05 juillet 1994. Pour appuyer ma présente lettre, je vous transmets quelques extraits de deux livres écrits par des « êtres de lumière » issus de deux confessions religieuses différentes, mais dont le dénominateur commun est l'Amour de l'autre qui favorise le dialogue et la compassion envers tous les êtres humains. Il s'agit des livres suivants :

La Colère : Transformer son énergie en sagesse » écrit par le Vénérable Thich Nhat Hanh, un maître bouddhiste

«Ma religion, c'est l'amour » écrit par le prêtre catholique Guy Gilbert qui s'occupe des jeunes en difficulté en France.

 

Cette lettre m'a été surtout inspirée par le discours de votre mari prononcé le 10 décembre 2012 et dans lequel il a fait l'éloge de feu Honorable Aloysie INYUMBA née le 28 décembre 1964 et décédée le 06 décembre 2012. Cette  courageuse fondatrice et Trésorière de l'UMURYANGO du FPR-Inkotanyi a été terrassée et emportée par un cancer de la gorge à l'âge de 48 ans. En cette Journée mondiale des droits de l'homme du 10 décembre 2012, Madame INYUMBA a eu droit au plus grand éloge présidentiel au cours duquel votre mari a reconnu les nombreuses qualités humaines qui ont caractérisé cette «UMUKADA » (cadre politique) connue pour sa générosité, sa compassion, son esprit de sacrifice et ses talents de médiatrice hors du commun. Selon ceux  qui l'ont connue, Mme INYUMBA a toujours réussi à privilégier la tolérance et à rétablir le dialogue dans des situations les plus désespérées.

Je reviendrai sur ce discours très élogieux du président Kagame dans mes prochaines lettres que je vous adresserai en ma qualité de chrétien ordinaire.
A LIRE la lettre entière en PDF annexée à mon présent mail


Centre de Lutte contre l'Impunité et l'Injustice au Rwanda (CLIIR) Rue de la Colonne, n°54/4 1080 BRUXELLES Tél/Fax : +32.81.601.113 GSM : +32.487.616.651 (Base) & +32.476.701.569 (Proximus)
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Envoyé par : Vincent Ndacyayisenga <rugura@yahoo.com>


Fw: *DHR* Re: Deuxième Lettre ouverte à Madame Jeannette Kagame (envoyée mardi 07/07/2020

Lettre ouverte à Son Excellence Madame Jeannette KAGAME (envoyée mardi 07 juillet 2020):

 

         En tant que coordinateur du CLIIR, je suis dans l'obligation de vous envoyer ma seconde lettre sur la souffrance du peuple rwandais.

Un jour votre mari a fait un discours de mépris contre une de ses victimes, le défunt président Habyarimana. Il s'est exprimé en ces mots en kinyarwanda : « Bati dufite urutonde rw'abanyarwanda tugomba gucira urubanza bahanuye indege. Mu ndege harimo iki ? Muri iyo ndege harimo iki, kigomba kwica abanyarwanda miliyoni ? » Son discours, qui traduit également son mépris vis-à-vis de toutes les victimes du génocide rwandais, se résume en français comme suit : « ils nous ont dit qu'ils avaient une liste de rwandais à traduire en justice pour avoir abattu l'avion. Dans l'avion, il y avait quoi? Dans cet avion qu'est-ce qu'il y avait qui pouvait justifier le massacre d'un million de rwandais ? » Je vous demande d'aider votre mari à prendre conscience que c'est l'attentat terroriste du 06 avril 1994 et l'infiltration des commandos du FPR dans les milices Interahamwe et CDR qui ont déclenché le génocide de 1994. Ces commandos du FPR qui ont participé aux massacres avaient été formés par les meilleurs instructeurs militaires et cadres politiques du FPR-Inkotanyi. Ces infiltrés du FPR ont supervisé des massacres sur plusieurs barrières partout dans le pays. Le Sénateur Tito Rutaremara l'a confirmé à Kigali le 13/04/2020 et s'en vanté à la Rwanda TV. Le chiffre de plus de 3.500 cellules clandestines du FPR dispersées sur tout le territoire rwandais, a été cité le 02 mai 1997 par M. Tito RUTAREMARA, qui venait de reconnaître pour la première l'existence de ces infiltrés du FPR dans tous les milieux lors d'une conférence-débat organisée par le Parti du Travail Belge (PTB) à Bruxelles.

 Pour cacher la vérité sur cette participation des infiltrés du FPR au génocide, votre mari Kagame a mis en place un régime totalitaire de terreur qui contrôle et paralyse toutes les institutions officielles du Rwanda. Les spécialistes décrivent tout régime totalitaire comme suit :

 

« Les régimes totalitaires méprisent la raison et n'accordent aucune valeur à la vie humaine. Ils ne font aucun effort pour évaluer les conséquences de leur idéologie et de leurs activités. Ils méprisent également la liberté intellectuelle, l'essor des connaissances et le respect de la justice. Le mépris des dirigeants pour les individus au service d'un idéal aveugle conduit également à n'accorder aucune valeur à l'autre, et par extension à la vie humaine.

Ceux qui sont au service des dictateurs et en exécutent les ordres sont souvent frappés du même aveuglement et du même mépris de la vie humaine. Comme l'explique Todorov, tous les régimes extrémistes se servent du principe : « Qui n'est pas pour moi est contre moi », mais seuls les régimes totalitaires ajoutent : « Et qui est contre moi doit périr ». Ce qui caractérise plus spécifiquement le totalitarisme est que cet ennemi se trouve à l'intérieur même du pays, et que l'on étend le principe de guerre aux relations entre groupes de compatriotes.

Les systèmes totalitaires renoncent à l'universalité et divisent l'humanité en êtres supérieurs (leurs partisans) et en êtres inférieurs (leurs opposants qui doivent être punis, voire éliminés). C'est le régime qui détient la mesure du bien et du mal et décide de la direction dans laquelle la société doit évoluer.

L'Etat doit contrôler l'intégralité de la vie sociale d'un individu : son travail, son lieu d'habitation, ses biens, l'éducation de ses enfants, et même sa vie familiale et amoureuse. Cette totale mainmise lui permet d'obtenir la soumission de ses sujets : il n'y a plus de lieu où ils pourraient s'abriter et lui échapper ».

 C'est ce mépris de la raison, ci haut décrit, qui caractérise la plupart des discours de votre mari, le président Paul Kagame. Et c'est pour cette raison que personne dans l'assistance n'a répondu à sa question stupide de savoir « ce qu'il y avait dans l'avion ». Pourquoi n'ont-ils pas répondu ?

Tout d'abord, parce que Kagame savait très bien que dans l'avion présidentiel abattu, il y avait deux présidents de la République qui étaient tous deux Hutus. Il y avait aussi un bon nombre de leurs collaborateurs qui ont péri dans ce cet assassinat destiné à créer le chaos par l'écroulement de l'ordre public. Ensuite, c'est parce que les opprimés préfèrent garder le silence. Mais tout silence parle. Surtout le silence de l'offensé. Car ce silence a cette capacité insondable de pulvériser, ne serait-ce qu'un instant, la violence de l'offenseur. Devant l'injure, la calomnie, la médisance, le silence a valeur d'éternité.

Ce jour là, le silence des opprimés du Rwanda n'a pas attiré l'attention de votre  mari très arrogant. Ils ne pouvaient pas oser blesser son orgueil et son prestige d'avoir déclenché la descente aux enfers du peuple rwandais. Ce silence peut traduire soit le respect soit la crainte de l'agressé vis-à-vis de l'agresseur. Parce que ce dernier sait absolument qu'il écrase, piétine, flagelle… L'offensé, malgré l'affront qui lui est fait, en se taisant révèle, à celui qui le blesse sa propre blessure et peut le soigner mystérieusement.

Le silence de l'opprimé, alors, a cette vertu étrange de révéler la compassion insondable qu'on porte à un être profondément blessé. Car votre mari est un grand blessé de l'exil forcé qu'il a vécu. Mais aujourd'hui vous devez l'aider à dialoguer où alors à se suicider par le feu ou par un nouvel exil. A méditer !

 

L'histoire tragique de votre mari explique en partie ses profondes blessures. Comme il refuse tous les soins et les conseils dont il a besoin pour cesser d'humilier et de faire souffrir des millions de citoyens rwandais, je compte sur Vous, en tant que son épouse qui connaît le Rwanda d'avant 1990  pour l'aider à dialoguer d'urgence avec ses opposants avant qu'il ne soit trop tard.

(A LIRE TOUT le CONTENU de la LETTRE en fichier PDF attaché





Centre de Lutte contre l'Impunité et l'Injustice au Rwanda (CLIIR) Rue de la Colonne, n°54/4 1080 BRUXELLES Tél/Fax : +32.81.601.113 GSM : +32.487.616.651 (Base) & +32.476.701.569 (Proximus)
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-“The root cause of the Rwandan tragedy of 1994 is the long and past historical ethnic dominance of one minority ethnic group to the other majority ethnic group. Ignoring this reality is giving a black cheque for the Rwandan people’s future and deepening resentment, hostility and hatred between the two groups.”

-« Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre ».

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

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