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Friday, 5 April 2013

RDC : les préparatifs du déploiement de la brigade d’intervention sont très avancés, selon Roger Meece


RDC : les préparatifs du déploiement de la brigade d'intervention sont très avancés, selon Roger Meece

Roger Meece, représentant spécial du secrétaire général des Nations unies, lors de la journée internationale des casques bleus à Kinshasa le 29 mai 2012Roger Meece, représentant spécial du secrétaire général des Nations unies, lors de la journée internationale des casques bleus à Kinshasa le 29 mai 2012
Le représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies en RDC, Roger Meece a indiqué, ce vendredi 5 avril à Goma, que les préparatifs du déploiement de la Brigade d'intervention au Nord-Kivu sont très avancés. Dotée d'un mandat offensif par la résolution 2098 du Conseil de sécurité, cette brigade devra neutraliser les groupes armés dans l'Est de la RDC. Mais le chef de la Monusco a précisé que le volet politique n'a pas été négligé pour résoudre durablement le conflit dans l'Est du pays.

«Cela se trouve même dans le texte de la résolution : ils [les soldats de la Brigade d'intervention, ndlr] ont cette autorité. Ils ont la capacité de lancer des opérations même offensives selon la situation tactique sur le terrain. Mais bien sûr, toujours en collaboration avec les FARDC, les institutions politiques et la Monusco », a rappelé Roger Meece.

Le diplomate onusien a indiqué que le secrétaire général de l'Onu et le Conseil de sécurité ont mis «un fort accent sur ce volet politique» pour résoudre les conflits armés dans l'Est de la RDC. Une région en proie à des milices depuis près de deux décennies.

«Bien entendu il y a des pourparlers à Kampala, mais il y a aussi l'accord qui a été signé à Addis-Abeba par tous les pays de la région ainsi que d'autres [personnalités de la Communauté internationale] », a précisé Roger Meece.

Onze pays africains ont signé, le 24 février à Kampala, sous l'égide de l'Onu un accord-cadre pour le rétablissement de la paix dans l'est de la RDC. Ils se sont engagés à ne pas soutenir les groupes armés. Le Rwanda et l'Ouganda, deux signataires de cet accord-cadre, ont été accusés dans un rapport d'experts de l'Onu d'avoir soutenu les rebelles du M23 qui occupé brièvement Goma en novembre 2012. Ces deux pays ont toujours nié ces accusations.

Après cette occupation, Kinshasa a accepté de dialoguer avec le M23. Les pourparlers suspendus entre les deux parties à la mi-mars ont débuté depuis décembre 2012 à Kampala. Les rebelles réclament la pleine application d'un accord de paix signé avec le gouvernement en 2009 alors qu'ils faisaient partie d'un autre mouvement rebelle dénommé CNDP (Congrès national pour la défense du peuple).

Le secrétaire général de l'Onu a récemment nommé Mme Mary Robinson en qualité d'envoyée spéciale dans la région des Grands Lacs pour faire le suivi de l'application de l'accord-cadre signé à Addis-Abeba.

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Nord-Kivu : le président de l’assemblée provinciale dénonce le renforcement des troupes du M23 | Radio Okapi


Nord-Kivu : le président de l'assemblée provinciale dénonce le renforcement des troupes du M23

Les rebelles du M23Les rebelles du M23
Plusieurs dizaine de militaires en provenance du Rwanda ont traversé la frontière ces trois derniers jours pour renforcer les troupes du Mouvement du 23 mars au Nord-Kivu, a dénoncé jeudi 4 avril, le président de l'assemblée provinciale du Nord-Kivu au cours d'une conférence de presse tenue à Goma. Selon lui, ces renforts viseraient une nouvelle attaque de la ville de Goma pour obliger le gouvernement à céder aux revendications du M23.

 « Les mêmes militaires qui sont allés au Rwanda sont en train d'être ramenés discrètement pour appuyer ceux qui sont à Rutshuru. Des informations vraiment concordantes font état d'une concentration des hommes et des armes sur l'axe Rumangabo-Kibumba, justement dans l'unique but de faire un assaut sur la ville de Goma », a affirmé Jules Hakizimwami sans préciser s'il s'agit de militaires congolais ou rwandais.

Cette dénonciation intervient après que le gouvernement rwandais a annoncé, mercredi, avoir relocalisé à plus de 100 km de la frontière congolaise les rebelles du M23 qui ont été défaits à Kibumba par une faction rivale de cette rébellion le 16 mars dernier. La ministre rwandaise des réfugiés avait déclaré que son pays avait accueilli ses hommes pour des raisons humanitaires et que ces derniers devaient entre choisir entre le statut des réfugiés et leurs activités militaires.

 « Nous sommes fatigués. La population de Rutshuru, de Nyiragongo, de Goma, de Masisi et de partout ailleurs ne sont pas de cobayes sur lesquels il faut expérimenter la performance des armes, la performance des militaires qui sont aguerris dans le domaine des combats », a déploré Jules Hakizimwami.

Selon lui, la tentative des rebelles du M23 d'occuper de nouveau Goma est orchestré par des pays voisins de la RDC.

« Nous pensons que trop c'est trop et nous sommes en train de porter à haute voix notre dénonciation contre justement cette tentative d'occupation, la énième, surtout que c'est toujours avec l'aide des pays voisins!  Et nous savons des sources concordantes qu'ils se font aider par les pays voisins », a-t-il assuré.

Le président de l'assemblée provinciale du Nord-Kivu a demandé aux Forces armées de la RDC et à la Monusco de prendre les dispositions qui s'imposent pour éviter que la population de Goma revive ce qu'elle a vécu en novembre dernier lorsque le M23 a occupé cette ville stratégique du Nord-Kivu pendant plus d'une semaine.

Créé au mois de mai, les rebelles du M23 sont issus du CNDP de Bosco Ntaganda. Ils exigent la pleine application des accords signés entre le gouvernement et le CNDP le 23 mars 2009, qui prévoyait notamment la reconnaissance des grades des rebelles, l'amnistie et la transformation de ce mouvement en parti politique, le retour des réfugiés.

Après avoir occupé brièvement Goma, fin novembre 2012, les rebelles s'en sont retirés en échange des négociations ouvertes à Kampala depuis décembre et qui sont suspendues à l'heure actuelle.

Le 24 février dernier, onze pays africains ont signé un accord-cadre pour le rétablissement de la paix dans l'est de la RDC sous l'égide des Nations unies. Ils se sont engagés à ne pas soutenir les criminels et les groupes armés qui déstabilisent la région. Ces chefs d'Etat ont imaginé une force d'intervention que l'Onu a créée au sein de la Monusco pour combattre les groupes armés.

Après la création de cette force dotée d'un mandat offensif que l'Onu appelle « brigade d'intervention », Kinshasa a appelé le M23 à cesser d'exister. Le M23 a pour sa partdésapprouvé la création de cette brigade, accusant l'Onu d'avoir lever l'option de guerre non celle de la paix.

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RDC: Pour défier la Brigade d’intervention, le Rwanda et l’Ouganda préparent un assaut sur Goma


L'Avenir : «Pour défier la Brigade d'intervention, le Rwanda et l'Ouganda préparent un assaut sur Goma»

Une vue aérienne de la ville de Goma, 26/06/2009.Une vue aérienne de la ville de Goma, 26/06/2009.
Revue de presse du vendredi 5 avril 2013

L'Avenir rapporte en une détenir des informations selon lesquelles le Rwanda et l'Ouganda préparent un assaut contre la ville de Goma pour défier la Brigade d'intervention de la Monusco qui va être déployée prochainement. Dans sa résolution 2098 du 28 mars dernier, l'Onu a créé cette brigade pour neutraliser les groupes armés dans l'est.

L'Avenir fait état de « 2800 militaires ougandais qui ont traversé la frontière dans la nuit de lundi à mardi pour aider le M23 à combattre les FARDC dans l'axe Rwindi jusqu'à Kanyabayonga. De même, il y aurait plus de 1500 militaires rwandais avec armes et munitions qui ont traversé pour prendre Goma jusqu'au territoire de Kalehe afin d'empêcher tout renfort des FARDC et rendre difficile la mission de la Brigade internationale d'intervention ».

Le journal estime que « l'action de ces deux pays rentre dans leur volonté d'obliger le Gouvernement de la RDC à signer un accord avec le M23, une force négative composée des terroristes ».

Dans ces circonstances, la population ne peut qu'avoir peur, commente L'Avenir d'autant que selon des informations recueillies par ce journal, l'Etat-major de Makenga, le chef rebelle du M23, s'est réuni et a déclaré « qu'à défaut de prendre la ville de Goma, ils massacreraient la population de Rutshuru pour montrer à la Communauté internationale, aux Nations Unies et au Gouvernement qu'ils ont tort de n'avoir pas signé un accord avec eux ».

Sur un autre chapitre, beaucoup de journaux sont revenus sur ce qui va désormais devenir l'affaire Denis Lessie. La Tempête des tropiques titre en une : « Denis présenté hier comme un malfaiteur ». Conduit auprès du ministre de l'Intérieur, sécurité, décentralisation et Affaires coutumières avant sa mise en disposition de la police, le pasteur doublé de télévangéliste est accusé d'être à la tête d'un réseau maffieux en se faisant passer pour le conseil spirituel du Chef de l'Etat.

L'homme des « miracles », par le simple toucher de l'écran de télévision, opérait avec deux autres complices dont l'un se faisait même passer pour un membre de famille biologique du président de la République Joseph Kabila, précise Forum des As. Il s'agit de Kasongo Ngoie, alias Bisimwa et  Thierry Okinino Mabusa. Une bande bien organisée où chacun avait un rôle à jouer.

Dans le lot des victimes de Denis Lessie, rapporteLe Phare, un ministre honoraire et pasteur de son état, Jean-Baptiste Ntahwakuderwa responsable de l'église Mont Carmel. Il se raconte, écrit Le Phare, que Jean-Baptiste Ntahwakuderwa s'est fait escroquer près de 150 000 dollars américains par son collègue qui se faisait passer pour un conseil spirituel du Chef de l'Etat.

« Les soit disant hommes de Dieu de ce genre, ils sont nombreux dans notre pays. S'ils continuent à faire fortune, c'est parce qu'ils exploiteraient la naïveté à outrance de leurs fidèles dépourvus de tout esprit critique », commente pour sa part

L'Avenir.

Thursday, 4 April 2013

KABILA REVOQUE LES OFFICIERS MUTINS DU M23 MAIS IL EPARGNE AMISI TANGO FOUR


KABILA REVOQUE LES OFFICIERS MUTINS DU M23 MAIS IL EPARGNE AMISI TANGO FOUR

AMISI TANGO FOUR, CHEF D'ETAT MAJOR DES FORCES TERRESTRES SUSPENDUS APRES AVOIR ETE ACCUSE PAR UN GROUPE DES EXPERTS DE L ONU SUR LE COMMERCES D ARMES EN RDC D AVOIR ARME LES MUTINS DU M23

Joseph Kabila révoque 15 officiers des FARDC, dont Bosco Ntaganda


Publié le jeudi 4 avril 2013 16:35
Écrit par Angelo Mobateli
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Quinze officiers des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), dont le général renégat Bosco Ntaganda en prison à la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye (Pays-Bas) viennent d'être révoquées par une ordonnance du président Joseph Kabila Kabange évoquant « l'urgence et la nécessité » et publiée jeudi 4 avril à la télévision publique.

La révocation de Bosco Ntaganda s'inscrit dans la perspective de son procès à la CPI qui le poursuit depuis 2006 pour des crimes commis pendant la période allant de juillet 2002 à décembre 2003.

Aux termes du premier mandat d'arrêt délivré le 22 août 2006, ces crimes de guerre  consistaient à « procéder à l'enrôlement et à la conscription d'enfants de moins de 15 ans, et à les faire participer activement à des hostilités en Ituri (République démocratique du Congo) ».

En effet, la Chambre préliminaire I avait estimé qu'« il existe des motifs raisonnables de croire que de juillet 2002 à décembre 2003, des membres des Forces patriotiques pour la libération du Congo (FPLC) ont commis des actes répétés d'enrôlement et de conscription et de participation active à des hostilités, d'enfants de moins de 15 ans formés dans les camps d'entraînement de Bule, Centrale, Mandro, Rwampara, Irumu, Bogoro et Sota ».

Pour les 14 autres officiers « révoqués de leurs fonctions et grades respectifs au sein des FARDC », l'ordonnance n°13 portant leur révocation ne fournit aucune explication.

Il s'agit de 7 colonels, 3 lieutenants-colonels, 1 major et de 3 commandants.

ORDONNANCE N° 13 PORTANT REVOCATION DE CERTAINS OFFICIERS DE L'ARMEE

Le Président de la République ; Vu la Constitution, telle que modifiée par la loi n° 11/002 du 20 janvier 2011 portant révision de certains articles de la Constitution de la République Démocratique du Congo du 18 février 2006, spécialement en ses articles 79, 81, 187, 188 et 221 ;

Vu la loi organique n°12/001 du 27 juin 2012 portant organisation, composition, attributions et fonctionnement du Conseil Supérieur de a Défense, spécialement en son article 3 ;

Vu la loi n°04/023 du 12 novembre 2004 portant organisation générale de la Défense et des Forces Armées, spécialement en son article 20 ; Vu, telle que modifiée à ce jour, la loi n°81-003 du 17 juillet 1981 portant statut du personnel de carrière des services publics de l'Etat, spécialement en ses articles 1, 4 et 70 ;

Vu l'urgence et la nécessité ;

Sur proposition du Gouvernement délibérée en Conseil des Ministres ; Le Conseil Supérieur de la Défense entendu ;

ORDONNE

Article 1er : Est révoqué de ses fonctions et grade au sein des Forces Armées de la République Démocratique du Congo, l'Officier Général Bosco NTAGANDA, Général de Brigade, matricule : 1-73-96-36190-69

Article 2 : Sont révoqués de leurs fonctions et grades respectifs au sein des Forces Armées de la République Démocratique du Congo, les Officiers Supérieurs ci-après :

N° SERIE     Nom     Postnom     Prénom     Grade     Matricule 01     BIYOYI     KARHANGA     JOSUE     Colonel     1-74-09-34489-23 02     BYAMUNGU     MAHESHE     BERNARD     Colonel     1-74-07-23462-68 03     KAHASHA     MURULA     ALBERT     Colonel    1-69-96-87143-84 04     KAYINAMURA           INNOCENT     Colonel     1-72-09-47437-15 05     NGARUYE     MPUMURO     BAUDOUIN     Colonel     1-78-09-44621-80 06     NSABIMANA     MWENDANGABO     SAMUEL     Colonel     1-76-09-44908-21 07     NZIRAMAKENGA     RUZANDIZA     EMMANUEL SULTAN     Colonel     1-73-09-34329-78 08     KAZARAMA     KANYAMUHANDA     VIANNEY     Lieutenant-Colonel     1-70-00-36351-92 09     NGABO     KARIHUNGU     ERICK     Lieutenant-Colonel     1-76-96-38628-19 10     NGABO     MASHAGO     ALPHONSE     Lieutenant-Colonel     1-73-96-43864-80 11     SADDAM     EDMOND     RINGO     Major     1-71-07-35480-24 12     MBONEZA     YUSUFU     ERICK     Commandant     1-73-96-49914-19 13     NSABIMANA     NGABO     PATRICK     Commandant     1-80-09-40331-16 14     ZIMURINDA     KATUSI     INNOCENT     Commandant     1-72-92-51001-88

Article 3 :

Le Premier Ministre et le Vice-Premier Ministre, Ministre de la Défense Nationale et des Anciens Combattants sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution de la présente Ordonnance, qui entre en vigueur à la date de sa signature. Fait à Kinshasa, le
Joseph KABILA KABANGE
Augustin MATATA PONYO MAPON Premier Ministre                Pour copie certifiée conforme à l'original
Le 06 juillet 2012
Le Cabinet du Président de la République
Gustave BEYA SIKU

RWANDA – Appel urgent : Torture et détention illégale de M. Sylvain Sibomana, Secrétaire Général intérimaire des FDU-Inkingi


RWANDA – Appel urgent : Torture et détention illégale de M. Sylvain Sibomana, Secrétaire Général intérimaire des FDU-Inkingi

Le 2 avril 2013
Le 25 Mars 2013, M. Sylvain Sibomana, Secrétaire Général intérimaire des FDU-Inkingi a été arrêté par la police dans les locaux de la Cour Suprême à l'ouverture de l'audience de l'appel interjeté par la prisonnière politique Madame Victoire Ingabire Umuhoza.
La police a sévèrement battu M. Sylvain Sibomana et l'a laissé avec une dent cassée, une mâchoire traumatisée, la tête meurtrie et le corps et les membres tuméfies.
A notre connaissance, aucune mesure n'a été prise contre les policiers impliqués dans cette torture privative de liberté. Un autre baromètre de l'état de droit dans le pays.
Dans la nuit du 25 Mars dernier, M. Sylvain Sibomana a été admis au service des urgences à l'Hôpital de la Police Nationale de Kacyiru à cause d'une hémorragie et d'essoufflement. Il a été renvoyé au poste de police de Kicukiro le lendemain matin où il est resté jusqu'à son transfert par la police à la station judiciaire de Kabuga le 28 Mars. Les policiers de garde ont empêché l'approvisionnement alimentaire de M. Sylvain Sibomana et d'un autre membre de l'opposition, M. Dominique Shyirambere, qui a été arrêté dans les mêmes conditions que M. Sylvain Sibomana.
Le 2 Avril, le procureur a prolongé son mandat d'arrêt dans l'attente d'une audience sur l'inculpation sous les chefs d'accusation suivants: manifestation illégale, des réunions illégales, subversion, tentative de déstabilisation du gouvernement et l'agression des policiers.
Le 25 Mars 2013, M. Sylvain Sibomana a été brutalement battu au moment de l'arrestation et par après il a subi de graves tortures alors qu'il était en garde à vue au poste de police de Kicukiro. Il n'a pas été autorisé à être vu par un médecin indépendant. Il a besoin d'appareil dentaire pour réduire le mouvement des dents et permettre la mastication des aliments.
ACTION PROPOSEE:
Envoyer s'il vous plaît une lettre au Président Paul Kagame, au Ministre de la Justice Tharcisse Karugarama, au Procureur Général Martin Ngoga et à l' Inspecteur Général de la Police Emmanuel Gasana exprimant votre inquiétude au sujet de cette affaire et demandant une enquête immédiate sur les allégations d'arrestations illégales, la détention illégale et la torture sévère vis à vis de la figure de l'opposition, M. Sylvain Sibomana.
Demander s'il vous plaît que soient poursuivis ceux qui sont avérés être responsables en vertu de la loi criminelle rwandaise pour abus criminels du pouvoir. Les agents concernés doivent également être soumis à des enquêtes internes pour violation des lois. De plus, demander également s'il vous plaît au ministère public et à l'inspection générale de la Police de mener une enquête spéciale sur les agissements des officiers de police qui violent les lois qui prohibent les abus criminels du pouvoir.
FDU-Inkingi
Sixbert Musangamfura
Conseiller aux Relations Extérieures

-“The root cause of the Rwandan tragedy of 1994 is the long and past historical ethnic dominance of one minority ethnic group to the other majority ethnic group. Ignoring this reality is giving a black cheque for the Rwandan people’s future and deepening resentment, hostility and hatred between the two groups.”

-« Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre ».

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

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