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Thursday, 10 January 2013

US ready to send surveillance drones to DR Congo


US ready to send surveillance drones to DR Congo
An M23 rebel walks down a street in Goma as an armored personnel carrier of the UN drives past on the edge of Lake Kivu in eastern Democratic Republic of Congo on November 20, 2012.
An M23 rebel walks down a street in Goma as an armored personnel carrier of the UN drives past on the edge of Lake Kivu in eastern Democratic Republic of Congo on November 20, 2012.
Wed Jan 9, 2013 11:16PM
The United States says it is ready to send surveillance drones to the Democratic Republic of Congo (DRC) to help the United Nations peacekeeping mission in the African state despite opposition from Rwanda and other neighbors.


"The United States does support the UN's proposal to use unarmed, unmanned aerial vehicles, for example, in the Democratic Republic of Congo, to increase the surveillance capacity of the UN peacekeeping operation," State Department spokeswoman Victoria Nuland said on Wednesday. 

She also said that Washington supports plans to extend the use of drones equipped purely with photographic equipment to other countries. 

"This would only happen with the consent of the country or the countries where the mission would operate, and their use would not impact in any way on sovereignty," she stressed. 

The comment came one day after UN peacekeeping chief Herve Ladsous said that he had called on the UN Security Council to expand DRC operation by using more helicopters and surveillance drones.

19,000 UN peacekeepers are stationed in the DRC to restore stability in the eastern part of the country. 

In late December 2012, the Security Council imposed sanctions on two rebel groups fighting in the east of the DRC. 

The council unanimously agreed to impose an arms embargo on the March 23 movement (M23) rebels and the Democratic Forces for the Liberation of Rwanda. 

The UN has accused neighboring Rwanda and Uganda of helping rebels in the eastern Congo, an accusation both countries vehemently deny. 

Since early May 2012, over 900,000 people have fled their homes in the eastern Congo. Most of them have resettled in Congo, but tens of thousands have crossed into Rwanda and Uganda. 

Congo has faced numerous problems over the past few decades, such as grinding poverty, crumbling infrastructure, and a war in the east of the country that has dragged on since 1998 and left over 5.5 million people dead. 

DB/MHB
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An M23 rebel walks down a street in Goma as an armored personnel carrier of the UN drives past on the edge of Lake Kivu in eastern Democratic Republic of Congo on November 20, 2012.
Wed Jan 9, 2013 11:16PM
The United States says it is ready to send surveillance drones to the Democratic Republic of Congo (DRC) to help the United Nations peacekeeping mission in the African state despite opposition from Rwanda and other neighbors.


"The United States does support the UN's proposal to use unarmed, unmanned aerial vehicles, for example, in the Democratic Republic of Congo, to increase the surveillance capacity of the UN peacekeeping operation," State Department spokeswoman Victoria Nuland said on Wednesday. 

She also said that Washington supports plans to extend the use of drones equipped purely with photographic equipment to other countries. 

"This would only happen with the consent of the country or the countries where the mission would operate, and their use would not impact in any way on sovereignty," she stressed. 

The comment came one day after UN peacekeeping chief Herve Ladsous said that he had called on the UN Security Council to expand DRC operation by using more helicopters and surveillance drones.

19,000 UN peacekeepers are stationed in the DRC to restore stability in the eastern part of the country. 

In late December 2012, the Security Council imposed sanctions on two rebel groups fighting in the east of the DRC. 

The council unanimously agreed to impose an arms embargo on the March 23 movement (M23) rebels and the Democratic Forces for the Liberation of Rwanda. 

The UN has accused neighboring Rwanda and Uganda of helping rebels in the eastern Congo, an accusation both countries vehemently deny. 

Since early May 2012, over 900,000 people have fled their homes in the eastern Congo. Most of them have resettled in Congo, but tens of thousands have crossed into Rwanda and Uganda. 

Congo has faced numerous problems over the past few decades, such as grinding poverty, crumbling infrastructure, and a war in the east of the country that has dragged on since 1998 and left over 5.5 million people dead. 

DB/MHB
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RDC: Le M23 n'est pas différent des FDLR et des Maï Maï selon la MONUSCO


RDC: Le M23 n'est pas différent des FDLR et des Maï Maï selon la MONUSCO

( Xinhua )

10.01.2013 à 13h11

Le Mouvement du 23 mars (M23) est comme tous les autres groupes armés, et la Mission de l'Organisation des Nations Unies pour la Stabilisation du Congo ( MONUSCO) ne peut pas les informer de ses opérations, a déclaré Madnodje Mounoubai, porte-parole civil de la MONUSCO lors d'une conférence de presse de la MONUSCO, tenue mercredi à Kinshasa.

"Les seules forces en RDC avec lesquelles nous travaillons et que nous devons informer des nos opérations sont les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC)", a poursuivi M. Mounoubai, ajoutant que les rebelles du M23 "ne sont pas différents des Forces démocratique pour la Libération du Rwanda ( FDLR), des Maï Maï et des autres groupes armés".

Selon le porte-parole civil de cette mission onusienne, "ça serait ironique que, pour conduire nos opération, nous devons maintenant demander une autorisation à ces forces rebelles, à ces forces hors la loi pour lesquelles le Conseil de Sécurité nous demande de mettre fin à l'existence afin de permettre à la RDC de retrouver son plein droit sur son territoire".

M. Mounoubai a réagi contre un communiqué du M23 qui a indiqué que l'espace survolé par les deux engins est considéré comme opérationnelle, aucune mention sur ces appareils volants n'était visible pour faciliter leur identification, aucune signalement n'avait été porté à la connaissance de leur force par la MONUSCO concernant les vols nocturnes à effectuer à cette date là.

Le 28 décembre 2012, la MONUSCO a mis en garde les rebelles du M23 contre les attaques répétées sur ses hélicoptères, l'un à partir de Kibumba et l'autre à partir de Kanyamahoro, zones sous- contrôle du M23. 

Wednesday, 9 January 2013

Lalibre.be - Des documents accablent la Belgique dans la mort du "Lumumba burundais"


Des documents accablent la Belgique dans la mort du "Lumumba burundais"

Belga

Mis en ligne le 09/01/2013

Ludo De Witte avait déjà accusé la Belgique de porter "la plus grande responsabilité"dans l'assassinat de Patrice Emery Lumumba.

Des documents du Foreign Office (le ministère britannique des Affaires étrangères) révèlent le rôle de la Belgique dans l'assassinat du prince Rwasagore, le "Lumumba burundais", rapporte Le Vif/L'Express sur son site internet mercredi. "Des fonctionnaires belges hauts placés ont joué un rôle dans l'assassinat", explique le sociologue Ludo De Witte. Les documents en question sont des télex échangés entre James Muray, ambassadeur britannique à Bujumbura à l'époque, et le Foreign Office et un rapport resté confidentiel du parquet de Bruxelles. Ils indiquent que le résident Regnier, chef de tutelle, a évoqué à plusieurs reprises "la nécessité de tuer Rwagasore".

Le prince Rwagasore, héraut de l'indépendance burundaise et Premier ministre du pays avant son émancipation de la Belgique, a été assassiné le 13 octobre 1961 par un Grec, Jean Kageorgis. Celui-ci agissait pour le compte du PDC, le parti démocrate-chrétien burundais qui était soutenu par Bruxelles.

Les documents évoquent également une conversation entre James Murray et Raymond Charles, alors procureur du roi de Bruxelles. Ce dernier voulait éviter que Kageorgis soit exécuté mais a ensuite "été informé que son avis n'avait pas été retenu, et cela pour des raisons politiques". Le tireur est exécuté le 30 juin 1962. "Il reste à déterminer à quel point la tutelle belge se sentait soutenue, dans sa lutte contre Rwagasore", explique Ludo De Witte.

Le Rwanda hostile à des drones de l'Onu dans l'Est du Congo | Reuters


Le Rwanda hostile à des drones de l'Onu dans l'Est du Congo

mercredi 9 janvier 2013 02h41
 

par Louis Charbonneau

NATIONS UNIES, 9 janvier (Reuters) - Le Rwanda s'est opposé mardi au projet des Nations unies d'utiliser des drones de surveillance dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) afin de renforcer les moyens d'action des casques bleus de la Monusco.

Kigali dit ne pas vouloir que l'Afrique devienne le laboratoire d'équipements pour des services de renseignement étrangers.

Le recours à ces appareils sans pilote a été exposé par Hervé Ladsous, secrétaire général adjoint de l'Onu chargé des opérations de maintien de la paix, lors d'une session à huis clos du Conseil de sécurité, a-t-on appris de sources diplomatiques.

L'idée n'est pas nouvelle: l'Onu demande de tels drones de surveillance depuis 2008.

La requête n'a jamais été acceptée, mais a été relancée ces dernières semaines avec la progression des rebelles du M23 dans la province du Nord-Kivu, dont les casques bleus de la mission de stabilisation de l'Onu au Congo n'ont pu enrayer l'avancée.

Le Rwanda, qui doit se défendre des accusations lancées par des experts de l'Onu selon lesquels les rebelles du M23 bénéficient de son soutien, a clairement estimé que la demande d'Hervé Ladsous était prématurée.

"Il n'est pas avisé d'utiliser un équipement sur lequel nous n'avons pas suffisamment d'informations", a dit à Reuters le numéro deux de la délégation rwandaise à l'Onu, Olivier Nduhungirehe.

"L'Afrique ne deviendra pas un laboratoire pour du matériel de surveillance étranger", a-t-il ajouté.

Le secrétaire général de l'Onu, Ban Ki-moon, doit remettre dans les prochaines semaines au Conseil de sécurité un rapport sur les moyens de renforcer la Monusco, dont les insuffisances ont été mises en lumière par la prise de Goma en novembre.

Les rebelles du M23 ont tenu la capitale du Nord-Kivu, à la frontière avec le Rwanda, pendant onze jours avant de s'en retirer.

De source diplomatique, on rapporte que les Rwandais ont prévenu le Conseil de sécurité que les casques bleus de la Monusco seraient considérés comme des "belligérants" s'ils déploient des drones dans l'Est congolais.

Olivier Nduhungirehe a précisé qu'il était vital de faire le jour sur les implications que de tels moyens aériens auraient sur la souveraineté territoriale des Etats de la région. (Henri-Pierre André pour le service français)

-“The root cause of the Rwandan tragedy of 1994 is the long and past historical ethnic dominance of one minority ethnic group to the other majority ethnic group. Ignoring this reality is giving a black cheque for the Rwandan people’s future and deepening resentment, hostility and hatred between the two groups.”

-« Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre ».

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

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