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Monday, 19 November 2012

Journée de lutte contre le mensonge et l’impunité au Rwanda

Journée de lutte contre le mensonge et l'impunité au Rwanda


Mercredi le 21 novembre 2012, première

« Journée de lutte contre le mensonge et l'impunité au Rwanda » :

Mardi 20 novembre 2012 de 18h à 21h au n°25, Rue Marcq à 1000 Bruxelles (métro Sainte Catherine «Mu gisaza»), vous êtes invités dans une conférence réservée aux débats et aux stratégies de lutte contre le mensonge. Jeunes et moins jeunes vous êtes concernés et vos suggestions sont attendues.

En tant que survivants des crimes de masses commis au Rwanda et en République Démocratique du Congo (RDC), nous avons le DROIT et le DEVOIR de lutter contre la culture de l'Impunité et du Mensonge. Les chefs des principaux partis politiques de l'opposition rwandais et des journalistes indépendants sont emprisonnés grâce à cette culture du mensonge qui permet d'instaurer un système d'apartheid et d'injustice au Rwanda.

Le régime du président rwandais, le général Paul KAGAME, fonctionne grâce à deux puissants moteurs : la terreur et le mensonge. Ces deux outils ont rendu possible tous les crimes de sang et tous les emprisonnements arbitraires.

Considérant que la culture du MENSONGE est imposée au peuple rwandais comme un « nouveau mode de vie » notamment dans les procès GACACA où des milliers d'innocents sont condamnés arbitrairement, et sans aucune chance de se défendre, à des peines très lourdes pouvant atteindre 30 ans de prison ou la prison à vie avec ou sans isolement ;

Considérant que tous les rwandais de l'intérieur et ceux de la diaspora doivent être sensibilisés à la lutte permanente contre la culture du mensonge qui consolide l'impunité et l'injustice dans  la société rwandaise ;

Le Centre de Lutte contre l'Impunité et l'Injustice au Rwanda (CLIIR)* propose à tous les leaders de la Société Civile Rwandaise de l'intérieur et de la Diaspora, à ceux de toutes les confessions religieuses et à tous les leaders des partis politiques rwandais de mettre dans leurs programmes prioritaires, un volet de sensibilisation à la lutte contre la culture de l'impunité et du mensonge. Deux fléaux qui gangrènent et paralysent la société rwandaise.

Le CLIIR propose que le 21 novembre de chaque année soit célébrée comme une journée nationale de lutte contre la Culture de l'impunité et du mensonge.

Fait à Bruxelles, le 11 novembre 2012.

Pour le Centre, MATATA Joseph, Coordinateur.

Le Centre de Lutte contre l'Impunité et l'Injustice au Rwanda est une association de défense des droits humains basée en Belgique, créée le 18août 1995. Ses membres sont des militants des droits humains de longue date. Certains ont été actifs au sein d'associations rwandaises de défense des droits humains et ont participé à l'enquête CLADHO/Kanyarwanda sur le génocide de 1994. Lorsqu'ils ont commencé à enquêter sur les crimes du régime rwandais actuel, ils ont subi des menaces et ont été contraints de s'exiler à l'étranger où ils poursuivent leur engagement en faveur des droits humains.
 

RDC: le Rwanda pris la main dans le sac !

D'après une Déclaration du gouvernement - Confusion à Goma : le Rwanda pris la main dans le sac !

Lundi, 19 Novembre 2012 15:08


Après une première attaque menée le 15 novembre 2012 par le M23 contre la localité de Kibumba au nord de Goma, le Gouvernement de la RDC informe l'opinion publique et internationale que les Rwanda Defense Forces (RDF), forces armées gouvernementales du Rwanda, ont à nouveau assailli cette localité située à une trentaine de kilomètres du chef-lieu de la province du Nord-Kivu.
Jeudi 15 novembre2012 à 05h du matin, un millier d'éléments armés du M23 ont fait incursion dans la localité de Kibumba en lançant une attaque contre les militaires des Forces Armées de la République démocratique du Congo. Ceux-ci ont opposé aux assaillants u n e résistance farouche qui a causé plus de 150 morts dans le camp ennemi.
Les sources concordantes se trouvant à Rushuru ont confirmé que toutes forces à la disposition du M23 se situant à Kiwanja, Rutshuru, Rubare, Rumangabo avaient été déployées pour appuyer l'attaque sur Kibumba. Le débat consistant à savoir qui a été tiré le premier est élucidé puisqu'il est établi que c'est le M23 qui a lancé l'attaque sur les FARDC sur la base des indices d'une préparation préalable attestés notamment par le pillage à Rugari le 14 novembre, la ville de j'attaque, d'un centre de santé par des hommes de la bande à Ntaganda et Makenga. Ce pillage était destiné vraisemblablement à approvisionner en médicaments les éléments impliqués dans l'attaque programmée pour le lendemain.
Défaits à Gikeri par où ils avaient lancé leur attaque, ès assaillants ont tenté de contourner la localité de Kibumba. La manoeuvre a été stoppée par les FARDC qui ont ainsi fait preuve, une fois encore, de bravoure, démontrant de ce fait l'issue qu'aurait depuis longtemps connu cette guerre si elle n'avait pas impliqué massivement une armée étrangère, en Ops de récupération des corps.
Ce samedi 17 novembre 2012 au petit matin, après une longue préparation d'artillerie en provenance du territoire rwandais, quelques 4.000 hommes en colonnes motorisées et à pied ont à nouveau convergé vers Kibumba en contournant par le territoire rwandais mitoyen les FARDC déployés sur la route Rugari-Rutshuru.
Après d'intenses combats, les FARDC se sont repliées en bon ordre dans les environs de Kibumba.
Plusieurs preuves attestent de la participation directe des Rwanda Défense Forces aux hostilités, particulièrement ce 17 novembre 2012. Des uniformes appartenant aux Rwanda Défense Forces (RDF) ont été trouvées sur certains assaillants.
En outre, un sergent des RDF du nom de Rugamba Claude se trouve parmi les éléments capturés. Il a lui-même confirmé son appartenance à l'armée rwandaise, entre autres révélations.
Sur la dépouille mortelle du lieutenant-colonel Maombi, un officier connu des RDF tombé le 15 novembre, a été retrouvé un appareil de communication avec un SMS rédigé comme suit: "Ce plana échoué. Repliez-vous avec vos hommes. On va monter un autre plan ».
Les appareils de communication (talky-walky) pris sur les assaillants étaient configurés pour communiquer avec des centrales des RDF
Bien plus, les derniers renseignements indiquent qu'après Leur débâcle à Kibumba, es rescapés du fameux M23 s'étaient repliés à Gasizi, une localité frontalière par où ils ont reçu aide et assistance des RDF.
Toutes ces preuves seront mises à la disposition de la Commission Militaire Mixte qui siège actuellement a Goma dans le cadre du mécanisme de vérification mis en place par la CIRGL.
Tout se passe comme si la fermeture de la frontière avec l'Ouganda à Bunagana qu'ils contrôlaient et l'imminence de la mise en oeuvre de la Force Internationale Neutre avaient créé cette fièvre dans la pseudo-rebellion et chez ses commanditaires rwandais. L'agitation ainsi créée vise à terroriser les décideurs de la CIRGL ainsi que les Etats.

Fait à Kinshasa, le 17 nombre 2012
Lambert MENDE OMALANGA

Sunday, 18 November 2012

L’étau se resserre autour de Kagamé


 

COOPERATION ENTRE LE RWANDA ET LES OCCIDENTAUX: L'étau se resserre autour de Kagamé
(Le Pays 15/11/2012) 


Le Rwanda se met à dos les pays occidentaux. Il n'y a pas si longtemps, en effet, l'ex-puissance coloniale, la Belgique, avait suspendu sa coopération militaire avec ce pays situé aux confins des Grands Lacs. Sans compter que, tel un pestiféré, les ONG américaines ont commencé à le déserter. 

Cet abandon, les Occidentaux le justifient par le présumé soutien du Rwanda au mouvement du M23, du nom de ce groupe rebelle qui fait la pluie et le beau temps au Nord-Kivu et menace de faire vaciller le pouvoir de Kabila. Au fait, on s'en prendrait moins à Paul Kagamé si cet abandon des puissances occidentales était dû à son refus de se vassaliser, de s'assujettir. 

Beaucoup, sous les tropiques africains, avaient d'ailleurs applaudi sa témérité et son hardiesse lorsqu'il avait définitivement boudé la Francophonie pour le Commonwealth, sous le regard impuissant de la France. Mais, toutes proportions gardées, les raisons de ces récentes ruptures de coopération ne militent pas en faveur d'un Kagamé que beaucoup d'Africains ont jusqu'ici considéré comme le modèle réussi de l'anti-impérialisme. L'on sait que l'Occident a longtemps chouchouté ce pays du fait de sa vulnérabilité consécutive au drame génocidaire de 1994. Il a donc fini par se lasser de l'attitude de son président qui en a d'ailleurs utilisé comme un chantage bien indécent. En effet, comment continuer d'amadouer un Kagamé qui, non seulement, ruse avec les principes élémentaires de la démocratie dans son propre pays, mais soutient une rébellion déstabilisatrice du pays voisin et frère ainsi que l'indiquent les différents rapports de l'ONU ? Mais, maintenant qu'un à un les robinets de l'aide et de la coopération se ferment, que fera donc Kagamé ? On est loin de sous-estimer la capacité de l'homme à s'auto-suffire. Mais, il reste entendu que ces apports extérieurs boostaient une économie rwandaise qui négocie sa place dans le concert des économies émergentes. Sans doute que les secteurs socio-économiques ressentiront, immédiatement ou à long terme, les effets fâcheux d'une telle rupture de coopération. Il est alors à craindre que le Rwanda dont on dit qu'il soutient les rébellions pour faire main-basse sur les richesses minières de son voisin congolais, ne durcisse sa position et prenne son cachet officiel de prédateur. On peut tout reprocher à Joseph Kabila, notamment pour ses entorses aux droits humains et à la démocratie dans son pays. Mais l'homme est cette fois-ci dans son bon droit. Il appartient donc à la communauté internationale de s'impliquer davantage pour faire barrière aux prédateurs des ressources minières de ce pays. Des prédateurs qui font feu de tout bois pour que la RDC ne retrouve guère sa stabilité.

Boulkindi COULDIATI
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"L'extrémisme dans la défense de la liberté n'est pas un vice; La modération dans la poursuite de la justice n'est pas une vertu".

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Nord-Kivu : Goma toujours sous contrôle des FARDC et de la Monusco, assure Julien Paluku

Nord-Kivu : Goma toujours sous contrôle des FARDC et de la Monusco, assure Julien Paluku

publié il y a 1 heure, 28 minutes, | Denière mise à jour le 18 novembre, 2012 à 7:48 | sous ActualitéNord KivuRégionsSécurité. Mots clés: 
Les casques bleus protergant la zone de Munigi/Photos LORRILLARD JONATHAN/PIO MONUSCOLes casques bleus protergant la zone de Munigi/Photos LORRILLARD JONATHAN/PIO MONUSCO
Contrairement aux rumeurs, la ville de Goma est toujours sous contrôle des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC), a assuré dimanche 18 novembre le gouverneur de la province du Nord-Kivu, Julien Paluku qui indique que lui-même séjourne aussi à Goma. Certaines rumeurs l'ont annoncé en fuite à Bukavu au Sud-Kivu à l'approche des combats à Munigi, à 12 km du chef-lieu de la province.
« Comme vous le savez, la cité de Kibati et celle de Kilimanyoka ont été sous les tirs croisés des éléments du M23 mais ils sont été arrêtés au niveau de Munigi où les forces régulières et les forces de la Monusco travaillent ensembles. Vous le savez les Nations unies avaient affirmé clairement qu'elles ne toléreraient pas que la ville tombe sous les mains des rebelles », a déclaré Julien Paluku.
La porte-parole militaire de la Monusco, le lieutenant colonel Félix Basse, avait annoncé mercredi 24 août au cours d'une conférence de presse à Kinshasa que «la  sécurité à Goma est bel et bien maitrisée quand bien même les éléments du M23 seraient à une quarantaine de kilomètres de la ville de Goma. »
Julien qui dit être à Goma appelle la population au calme en attendant de trouver une solution à la crise qui sévit la province.
« Moi-même j'y suis encore pour essayer de rassurer la population que la ville de Goma est tenue par les forces régulières. Je voudrais donc adresser à la population un message de paix et d'espoir parce que comme tout le monde le sait, il avait été dit que la solution à la crise serait soit militaire, soit diplomatique soit politique ou alors les trois à la fois, il appartient donc à la population d'attendre ce que sera la solution à cette crise », a affirmé le gouverneur du Nord-Kivu.
Le président de la RDC, Joseph Kabila, avait promis de miser sur « toutes options » pour le retour de la paix dans l'Est de la RDC, évoquant des solutions diplomatique, militaire et politique.
Pour sa part, Mike Mikombe, commandant de la Task force/ Garde républicaine promet de « mourir avec la population » afin de les sécuriser pour ne pas les laisse entre les mains des rebelles.
« Les missions qui me sont assignées c'est de protéger d'abord la population. Si l'ennemi s'hasarder à attaquer, il va aussi trouver une résistance farouche. Et je n'accepterai jamais de laisser cette population aux mains des ennemis du peuple », a indiqué Mike Mikombe.
Il demande à la population à ne pas se fier à la guerre médiatique auxquels les rebelles se livrent.
« Nous demandons à la population de ne pas se donner aux guerres médiatiques. Parce qu'ne ce moment, l'ennemi est en train d'utiliser toutes les options par exemple en envoyant des SMS à la population. Nous disons à cette même population que nous allons mourir avec eux et nous ne la laisserons pas », a-t-il ajouté.
http://radiookapi.net/actualite/2012/11/18/nord-kivu-goma-est-toujours-sous-controle-des-fardc-assure-le-gouverneur-julien-paluku/
Lire aussi sur radiookapi.net:
 

Well-equipped rebels advance in eastern Congo: U.N

Well-equipped rebels advance in eastern Congo: U.N

KINSHASA/UNITED NATIONS | Sat Nov 17, 2012 6:42pm EST
(Reuters) - U.N. attack helicopters hit rebel positions in eastern Congo on Saturday after insurgents equipped with sophisticated night-vision equipment and mortars gained ground in heavy clashes with government troops and took control of a town, the U.N. said.
The clashes to the south of the town Kibumba meant the rebels have advanced to within 30 km (18 miles) of Goma, the closest they have been to North Kivu's provincial capital since a rebellion exploded in the eastern provinces eight months ago.
North Kivu Governor Julien Paluku said the army retreated to the southern outskirts of the town after M23 rebels - a group of soldiers who mutinied in April - advanced with support from neighbouring Rwanda. A Congolese government statement said 4,000 Rwandans had crossed the border, although Kinshasa later reduced that estimate to 3,500.
Rwanda rejected the accusations, the latest in a string of charges by the Congolese government in Kinshasa. The Rwandan government called on Congo's army and the rebels to halt the fighting as shells were landing in its territory.
"Kibumba has fallen into the hands of the M23," a spokesman for the U.N. Department of Peacekeeping Operations said in an email. "Latest reports indicate that the FARDC (Congo's army) and MONUSCO (U.N.) forces are attempting to hold off a possible M23 advance toward Goma at Kibati, some 20 km north of Goma."
"We are not in a position to confirm direct Rwandan involvement in the M23 attacks," the spokesman said. "However, we are very concerned by reports that the M23 attacking forces appear to be well-equipped and supplied."
U.N. peacekeeping chief Herve Ladsous told reporters that the M23 rebels have sophisticated equipment.
"They have night vision equipment which is precisely what allowed them to launch their offensive at 4 a.m. this morning against the FARDC," he said. "They also have ... 120 mm mortars, which they did not have no so long ago."
The peacekeeping spokesman said U.N. Secretary-General Ban Ki-moon called Congo's foreign minister, Raymond Tshibanda, to voice support for Kinshasa, and Rwandan President Paul Kagame to urge him to "use his influence on the M23 to help calm the situation and restrain the M23 from continuing their attack."
SECURITY COUNCIL URGES M23 TO HALT ADVANCE
French Ambassador Gerard Araud called for an emergency meeting the U.N. Security Council in New York. The council issued a unanimous statement that condemned the M23 attacks and demanded an end to "all outside support and supply of equipment to the M23."
The statement said the 15 council members "express their intention to apply additional targeted sanctions against the leadership of the M23 and those acting in violation of the sanctions regime and the arms embargo."
The council also called on M23 to halt "any further advances towards the city of Goma."
U.N. experts have said in reports they have evidence that Rwanda has supported the M23 rebels in mineral-rich eastern Congo. They have called on the Security Council to impose sanctions on Rwandan officials in response.
Earlier this week the council's Congo sanctions committee add M23 leader Sultani Makenga to its sanctions list.
The council statement did not explicitly name Rwanda as a supplier of M23.
More than 5 million people are estimated to have died from violence, hunger and disease in wars in Congo since 1998, which would make it the deadliest conflict since World War Two.
The peacekeeping spokesman said the humanitarian impact of the fighting was devastating. He added that U.N. troops in Goma and at its airport were on high alert.
The United Nations has about 6,700 MONUSCO forces in North Kivu, with about 1,400 troops in Goma and the surrounding area.
"The Rwandan army came across the border behind our troops, that's why our troops withdrew," Paluku told Reuters by telephone.
"The (rebels) are just a few kilometers away, so of course Goma is under threat, we can't hide that," he said, adding that government troops were regrouping at Kilimanyoka, 12 km (7 miles) north of the city. Rebels said they had no immediate plans to attack Goma.
The U.N. peacekeeping mission in Congo said army units had come under heavy weapons fire since early on Saturday morning, forcing civilians to flee. U.N. attack helicopters were dispatched to strike rebel positions south of Kibumba.
"So far ten missions have been carried out by our attack helicopters," a U.N. statement said. The United Nations has a mandate to protect civilians and support government troops when they need it.
No casualty figures have been given by any force.
Rwanda's army has repeatedly sent soldiers into Congo during nearly two decades of conflict in Africa's Great Lakes region, but Kigali has strongly denied Congolese and U.N. accusations of support for the M23.
"These are absolutely false allegations. They are very tired, and very old. Whenever DRC (the Democratic Republic of Congo) is defeated on the battlefield, it's meant to be (Rwanda's army)," Rwandan army spokesman Brigadier General Joseph Nzabamwita told Reuters.
"Rwanda has called on (Congo's army) and M23 to stop this useless war ... Rwanda is being violated by constant bomb shells on our territory," he added.
More than three-quarters of a million people have fled their homes since the fighting began, and regional efforts to find a solution have so far failed.
M23 spokesman Vianney Kazarama told Reuters the rebels would not advance past Kibumba to Goma.
(Additional reporting by Jenny Clover in Kigali, Louis Charbonneau in New York; Writing by David Lewis and Louis Charbonneau; Editing by Rosalind Russell and Doina Chiacu)

-“The root cause of the Rwandan tragedy of 1994 is the long and past historical ethnic dominance of one minority ethnic group to the other majority ethnic group. Ignoring this reality is giving a black cheque for the Rwandan people’s future and deepening resentment, hostility and hatred between the two groups.”

-« Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre ».

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

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