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Tuesday, 4 September 2012

New International Development Secretary: Justine Greening



The Rt Hon Justine Greening MP has been appointed by the Prime Minister as Secretary of State for International Development, it was announced today.



L'Afrique du Sud et l'Angola vont déployer des troupes à l'Est du Congo!


 

L'Afrique du Sud et l'Angola vont déployer des troupes à l'Est du Congo!

Dimanche, 02 Septembre 2012 21:02 SOUTHERN AFRICAN TIMES
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sadefenseD'après le Southern Times, journal sud africain,  La SADC va faire partie de la "force neutre d'interposition" dans l'Est de la RDC. Le Bloc d'Afrique Australe aurait décidé de  prendre des mesures audacieuses pour résoudre durablement les conflits armés dans cette  région devenue instable depuis près de 15 ans.

Le Southern Times est sûre que le bloc régional a décidé lors de son récent Sommet à Maputo, au Mozambique, que la situation dans l'Est de la RDC exige la présence physique des troupes mandatées par la SADC.

Ces dernières seraient déployées en RDC pour neutraliser les rebelles de l'armée congolaise se faisant appeler M23, un groupe que les  experts des Nations Unies et le Gouvernement dit soutenu par le Rwanda.

En 1998, la SADC était déjà intervenue en RDC en  chargeant l' Angola, la Namibie et le Zimbabwe pour se déployer en RDC contre les groupes rebelles soutenus par le Rwanda et l'Ouganda tacitement soutenu par les Etats-Unis et la France.

Ce déploiement de la SAADC en 1998 a conduit à la réalisation d'une paix fragile via un accord politique entre les différentes rébellions et le retrait des forces étrangères.

Les chefs d'Etat du bloc régional, à la suite des recommandations de l'organe de la Troïka SADC chargé de la politique et de la défense, a accepté il y a deux semaines,le déploiement d'une force d'interposition afin de contrôler la frontière entre la RDC et ses voisins de l'est.

L'effectif de la SADC dans la force neutre serait composée de troupes d'Angola et d'Afrique du Sud, tandis que d'autres membres de la SADC se limiterait à apporter un soutien matériel et technique.

L'Angola aurait accepté d'aider la RDC après que les deux gouvernements soient parvenus à un accord sur le partage des revenus pétroliers pour mettre fin à un différend de longue date sur leur frontière maritime, selon les sources.

Les mêmes sources ont dit au journal que Kinshasa a accepté de souscrire aux dépenses pour la force d'interposition, bien que certaines sources sont sceptiques sur la capacité financière de la RDC, citant les précédentes obligations financières non remplies relatives au déploiement en 1998.

La SADC a également accepté de collaborer avec la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (CIGRL), dont l'Angola, la RDC, la Tanzanie et la Zambie sont les membres pour sécuriser la région frontalière orientale agitée.

Le bloc régional a ainsi envoyé une mission d'experts de la défense et de la sécurité  en RDC le mois dernier.

L'équipe a ensuite informé les ministres de la Défense de la région à Maputo le 15 Août.

Le rapport des experts de la défense et de la sécurité a été adopté par les ministres SADC et par la Troika Politique, Défense et Sécurité, qui s'est réuni le 18 Août, selon les  sources du Southern Times. C'est cette information qui a motivé le prochain déploiement.

Le directeur de l'Organe Politique, le lieutenant-colonel Tanki Mothae, a confirmé au journal que le bloc était à la recherche de solutions pour "aider la RDC en collaboration avec la Conférence internationale des Grands Lacs".

«Afin d'assurer que la paix et la sécurité reviennent à l'Est de la RDC, une force pour surveiller la frontière entre la RDC et ses voisins de l'Est a été décidée», d'après le lieutenant-colonel Mothae.

"Il a également été convenu d'aider la RDC à renforcer les capacités de ses forces armées, afin d'aider à la formation des forces armées de la RDC pour qu'elles soient en mesure d'établir le contrôle et l'autorité en zones de conflits dans le pays »

"Les Etats membres devront envoyer des experts de la défense et de l'assistance technique pour les aider dans ces domaines. L'objectif principal est d'assurer la sécurité le long de la frontière, ce qui renforcera les efforts déployés par les Grands Lacs. "

La position de la SADC a été encouragé par des rapports d'experts de l'ONU, qui «soulignent le rôle exact joué par le Rwanda dans la meme ligne suivie par  la SADC" d'après le lieutenant-colonel Mothae.

"Nous sommes également tenus par le Traité et le Protocole sur la défense et de la sécurité (la SADC)  afin d'aider la RDC en tant que membre de la SADC.

"Notre intention est de mettre fin au conflit. Notre travail ne consiste pas à prendre part au conflit mais à arrêter le conflit et agir pour la stabilisation de la RDC, nous appuyons les efforts congolais à apporter une paix durable », a-t-il expliqué.



 Condamnation du  Rwanda



A la fin du sommet de Maputo, la SADC a aussi fermement condamné l'implication du Rwanda dans le conflit en RDC et a signalé son intention de mettre des troupes militaires sur le terrain.

Le Premier ministre du Lesotho Thomas Thabane a donné le ton dans son discours inaugural au Sommet, déclarant que « la situation en RDC est devenu un sujet de grave préoccupation", tout en appelant à une «stratégie claire pour trouver une solution durable en RDC".

La ligne dure de la SADC était également pérceptible dans un communiqué publié à l'issue du sommet de deux jours.

«Le Sommet a également noté que la détérioration de la sécurité en RDC est perpétrée par des groupes rebelles, avec l'aide du Rwanda, et a exhorté ces derniers à cesser immédiatement son ingérence qui constitue une menace pour la paix et la stabilité, non seulement pour la RDC, mais aussi  la région de la SADC.

«Cette situation a appelé à une attention renouvelée et urgente par le Sommet, qui a envoyé une mission d'évaluation en RDC.

«Le Sommet a approuvé un rapport de la Mission, qui a recommandé les mesures appropriées pour remédier à la situation de sécurité dans la partie orientale de la RDC.

"Le Sommet a en outre chargé le Président de la SADC (Armando Guebuza, Président du Mozambique) d'entreprendre une mission au Rwanda dans le but d'exhorter le Rwanda à cesser le soutien militaire aux rebelles armés en RDC, les soit-disants  M23, » comme on peut lire dans une partie du communiqué.

Le Président tanzanien Jakaya Kikwete, qui préside l'Organe de politique, de défense et de sécurité, a dit que la SADC ferait tout son possible pour apporter une paix durable en RDC.

«La situation dans l'Est de la RDC est très inquiétante et inacceptable. Les habitants de la région orientale de la RDC ont souffert pendant longtemps, ils méritent une vie meilleure », a déclaré le président Kikwete.

«Il est grand temps que la crise se termine - pour toujours" a précisé le président Kikwete qui a  déclaré que "la SADC a un rôle à jouer dans cette situation".

Les Nations Unies ont pointé du doigt le Rwanda comme l'argentier  et le cerveau derrière le mouvement rebelle M23 dirigé par général dissident, le Rwandais  Bosco Ntaganda.

Ntaganda, notoirement appelé «Terminator», a fait défection de l'armée de RDC au début de cette année, après des démêlés avec le président congolais, Joseph Kabila, sur l'intégration d'anciens rebelles et les conditions militaires, selon certaines sources.

On le croit maintenant à la tête du mouvement rebelle M 23 composé de mutins de l'armée congolaise et d'une cohorte d'anciens rebelles.

Les indications sont qu'ils opèrent à partir du Rwanda avec l'appui du président Paul Kagame.



La SADC n'aura pas la tache facile




La tâche qui attend la SADC n'est pas facile.

Le M23 qui contrôle le Nord et le Sud Kivu et pille quelques-uns des minéraux les plus recherchés au monde tels que l'or, les diamants, le coltan et la cassitérite, entre autres.

Il est à craindre que la rébellion M23 soit un précurseur à une guerre sécessionniste qui verra la balkanisation de la région riche en minéraux.

On pense que cela fait partie d'un complot visant à assurer la richesse minérale stratégique pour le Rwanda, qui  soi-disant, agit comme un agent-pilote pour la France et les États-Unis pour diluer les activités extractives chinoises au Congo.

En Juillet, quand la ville de Rutshuru est tombée aux mains du M23, des rapports non vérifiés faisaient état de la présence des troupes ougandaises sur le théâtre des opérations pour soutenir les rebelles.

Les observateurs disent que la force d'interposition de la SADC n'aura pas la tache facile.

Outre les progrès du M23, d'autres groupes armés sont en agitation dans le territoire de Beni et de l'Ituri.

Selon certaines sources, le président Kabila cherchait désespérément un soutien militaire pour la RDC et a fait appel à la MONUSCO (Force de maintien de la paix des Nations Unies en vigueur dans le pays) afin d'étendre son mandat à la chasse les rebelles, mais ses efforts sont restés vains jusqu'à présent.

Les efforts visant à obtenir également du Rwanda et de l'Ouganda leur engagement pour la paix et la non-implication dans la rébellion en contribuant à la neutre force de paix ont également été vaines.

Des sources indiquent que le président Kabila s'était rendu à Maputo demander un mandat de soutien militaire, et il l'a eu.

«C'est aussi une victoire diplomatique pour Kabila", a déclaré une source qui a malgré cela ironiquement observé que "les délégations congolaises aux sommets restent rarement jusqu'à la cérémonie de clôture officielle».

«Il est de notre devoir d'aider un pays de la SADC mais le seul problème est leur incapacité à remplir leurs obligations antérieures et à souscrire aux engagements comme lors de l'intervention précédente de la SADC".

«Quand la précédente armée de la SADC était à l'avant-garde et qu'il n'y avait pas de temps pour attendre que la RDC finance les opérations, les pays du SADC ont fini par financer les opérations elles-mêmes ", a déclaré un diplomate anonymement.

Des pays comme le Zimbabwe, en particulier, qui sans ont doute déployé la plus grande force dans la précédente guerre en RDC,ont  peu bénéficié de l'assistance d'autres pays. Après avoir placé des millions de dollars, en signe de solidarité et obtenu une paix relative,le Zimbabwe, s'est retrouvé en grande partie, mis à l'écart des efforts de reconstruction lucratifs en RDC. Au lieu de cela, ces mêmes pays qui sont accusés de fomenter l'instabilité sont ceux qui ont le plus engrangés les dividendes de la paix.

http://www.congo365.com/index.php?option=com_content&view=article&id=516%3Am23lafrique-du-sud-et-langola-vont-deployer-des-troupes-a-lest-du-congo&catid=35%3Alast-24h-news
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Monday, 3 September 2012

Fw: *DHR* La RDC accuse à nouveau le Rwanda d'avoir soutenu le M23

From: agnesmurebwayire <agnesmurebwayire@yahoo.fr>
To: Democracy_Human_Rights@yahoogroupes.fr
Sent: Monday, 3 September 2012, 19:00


une dépêche AFP de ce 3 septembre 2012

http://www.romandie.com/news/n/_La_RDC_accuse_a_nouveau_le_Rwanda_d_avoir_soutenu_le_M2361030920121951.asp

La République démocratique du Congo (RDC) a accusé lundi Kigali d'avoir profité d'une opération de retrait de militaires rwandais de l'est congolais pour exfiltrer des hommes qui, selon Kinshasa, ont attaqué l'armée congolaise avec la rébellion du Mouvement du 23 mars (M23).

Vendredi, quelques centaines de militaires rwandais ont quitté le territoire de Rutshuru (est de la RDC) -en partie contrôlé par les dissidents congolais du M23- pour rentrer chez eux. Ils faisaient partie d'un bataillon congolo-rwandais déployé après l'opération militaire de 2009 des deux pays, destinée à combattre la rébellion hutu des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR).

L'armée rwandaise a profité du retrait de ses officiers de renseignement (...) pour exfiltrer quelques-uns de ses élements entrés en RDC pour attaquer les FARDC (Forces armées de la RDC) aux côtés du groupe pro-rwandais M23, a déclaré à la presse le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende.

Selon le ministère rwandais de la Défense, 357 hommes ont quitté la zone et ont traversé la frontière au niveau de la localité de Kibumba, en présence d'un haut responsable militaire congolais, pour se rendre à Kabuhanga, au Rwanda, où ils sont arrivés vendredi.

Moins de 100 personnes ont été autorisées à venir, mais presque 300 sortent: comprenez qu'il y a un gap (...) qui nous pousse à croire qu'il y a une exfiltration déguisée, visant probablemement à effacer les traces alors que l'ONU pourrait prendre des sanctions contre Kigali, a souligné Lambert Mende.

L'armée congolaise affronte depuis mai le M23, positionné près des frontières rwandaise et ougandaise. Ce mouvement est né d'une mutinerie de soldats congolais, qui sont en majorité issus de l'ex-rébellion du Congrès national pour la défense du peuple (CNDP). Les combattants du CNDP, eux aussi accusés d'être soutenus par le Rwanda, avaient été intégrés dans l'armée congolaise en 2009.

Les FDLR sont actives dans l'est de la RDC, où elles commettent des exactions contre la population. Certains membres de cette rébellion sont recherchés par Kigali pour leur participation présumée au génocide de 1994 contre les Tutsi, qui a fait 800.000 morts, selon l'ONU.



Rwanda: The imprisoned opposition leader Victoire Ingabire again in the Supreme court


  *DHR* Rwanda: The imprisoned opposition leader Victoire Ingabire again in the Supreme court

 
http://www.fdu-rwanda.com/en/english-rwanda-the-imprisoned-opposition-leader-victoire-ingabire-again-in-the-supreme-court#more-1783 

Rwanda: The imprisoned opposition leader Victoire Ingabire again in the Supreme court.

SEPTEMBER 03, 2012  
Kigali, 03 September 2012
 
Today, despite an impressive deployment of heavily armed anti-protest units, in and outside the Supreme Court, near 200 people observed as the incarcerated opposition leader Madame Victoire Ingabire made a new appearance in front of the Supreme Court to hear the status of the filed constitutional review on contentious genocide ideology laws. She has already spent near 2 years in maximum security prison on politically motivated charges concocted by the Paul Kagame's regime  to stifle any dissenting voices. The supreme court verdict is due on 05 October 2012. Ingabire is expecting  this Friday 07 September another High court verdict on charges relating to acts of terrorism, genocide ideology and divisionism.
On 19 July 2012, the Supreme court postponed the hearing in order to allow the defendant to respond to the government submission on the lack of merit of the constitutional review of genocide laws.
The LAW N° 33 BIS/2003 REPRESSING THE CRIME OF GENOCIDE, CRIMES AGAINST HUMANITY AND WAR CRIMES has been repealed in the ORGANIC LAW N° 01/2012/OL OF 02/05/2012 INSTITUTING THE PENAL CODE published in the Official Gazette nº Special of 14 June 2012 (art.765). The controversial aspects of the genocide ideology laws are still intact.
Rwanda seems to be again at crossroads as its current leaders supporting the M23 rebels in North Kivu are expecting tougher sanctions including international criminal charges, freezing of their foreign assets and the country's aid disbursements. Rwandans are forced to contribute their salaries and money to  the newly created "anti-donors" solidarity  fund AGACIRO DEVELOPMENT FUND", which in the eyes of the regime will allow the country to do away without international aid. This illusive concept to extort money from the population will bleed to death the already poor Rwandans instead of giving the dictatorship any meaningful financial independence it's pretending to achieve.
FDU-Inkingi is encouraging the international community to maintain hot pressure on the regime to halt its support to the M23 rebellion in the DRC North Kivu, and to respect the sovereignty of the neighboring states.
FDU-Inkingi
Boniface Twagirimana
Interim Vice President.
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L'opposant rwandais Frank Ntwali, sauvagement agressé à Johannesburg, accuse Paul Kagamé


 
http://www.rfi.fr/afrique/20120903-opposant-rwandais-frank-ntwali-sauvagement-agresse-johannesburg 

AFRIQUE DU SUD / RWANDA - 
Article publié le : lundi 03 septembre 2012 - Dernière modification le : lundi 03 septembre 2012

L'opposant rwandais Frank Ntwali, sauvagement agressé à Johannesburg, accuse Paul Kagamé

Le président rwandais Paul Kagame.
Le président rwandais Paul Kagame.
Reuters

Par RFI
En Afrique du Sud, Frank Ntwali, le président du parti d'opposition rwandais pour l'Afrique, le Congrès national rwandais (RNC), a été poignardé et blessé par neuf coups de couteau le 22 août à Johannesburg. Frank Ntwali est le beau-frère du général Kayumba Nyamwasa, ex-chef d'état-major de l'armée rwandaise (qui s'est réfugié en Afrique du Sud). Nyamwasa a échappé à une tentative d'assassinat en juin 2010. Le procès de trois Rwandais et trois Tanzaniens accusés d'avoir organisé cette tentative d'assassinat doit reprendre ce mercredi. Frank Ntwali doit être prochainement appelé à témoigner dans cette affaire par le juge. Il accuse Kigali de mener une chasse aux opposants.

Encore affaibli et choqué, tout juste sorti de l'hôpital, Frank Ntwali raconte son agression. Il a été frappé de neuf couteaux. Le 22 août dernier, il voyageait dans sa voiture près de l'aéroport de Johannesburg. Trois personnes se faisant passer pour des policiers ont suivi son véhicule, avant de faire signe au chauffeur de s'arrêter et de le poignarder.
« Regardez, ils m'ont poignardé trois fois dans l'épaule, ici aussi dans le coude, et quand j'ai réussi à sortir de la voiture, ils m'ont poignardé juste à côté d'un rein et dans la hanche. Ils m'ont laissé sanguinolant. Tout ce qu'ils ont pris, ce sont les clés de la voiture, alors qu'il y avait mon ordinateur portable à l'arrière. Cela fait 13 ans que je vis en Afrique du Sud, et je me fais agresser quand je commence à m'exprimer contre le régime de Kagamé. Je pense que ça n'a rien à voir avec une coïncidence. »
Le leader du Congrès national rwandais en Afrique est aussi le beau-frère du général Kayumba Nyamwasa, qui a échappé à une tentative d'assassinat en 2010. Frank Ntwali doit témoigner devant le tribunal à ce propos. Comme le général Nyamwasa, il accuse le président Kagamé de vouloir l'éliminer.
« On a tiré sur le général Nyamwasa parce qu'il avait donné l'ordre de l'abattre. Les gens sont emprisonnés quand Kagamé le décide et il donne des ordres pour éliminer tous ses opposants, les gens qui dénoncent son régime. Je pense que cette tentative de meurtre ne peut être que l'exécution d'un ordre donné par le leader suprême, comme il se surnomme maintenant. »
Franck Ntwali
Opposant rwandais
L'ambassade rwandaise ici a bien fait comprendre qu'elle chasse les leaders de l'opposition du RNC
 
03/09/2012 par Sophie Ribstein
Frank Ntwali assure se sentir menacer en permanence. Mais il appelle les membres de son parti à continuer la lutte contre le régime de Paul Kagamé.
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-“The root cause of the Rwandan tragedy of 1994 is the long and past historical ethnic dominance of one minority ethnic group to the other majority ethnic group. Ignoring this reality is giving a black cheque for the Rwandan people’s future and deepening resentment, hostility and hatred between the two groups.”

-« Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre ».

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

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