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Sunday 30 June 2013

Inkingi y'Amahoro: Nta Bwigenge Turi i Shyanga

Nk'uko bisanzwe buri wa mbere, saa mbiri za nimugoroba, isaha ya Washington DC, ishyaka FDU-Inkingi rigenera abakunzi ba Radiyo Itahuka, ikiganiro cyitwa "Inkingi y'Amahoro".

Muri urwo rwego, kuri uyu wa mbere, tariki ya 1 Nyakanga 2013Bwana Nkiko Nsengimana, Umuyobozi wa Komite Mpuzabikorwa ya FDU-Inkingi, azatuganirira ku ngingo ikurikira:

"Nta Bwigenge Turi i Shyanga".

Muzabe muri benshi.

Ni kuwa mbere, tariki ya 1 Nyakanga  2013:
·        saa mbiri za nimugoroba (8:00pm) i Washington DC, Montreal, Ottawa na Toronto.
 
Kuwa kabiri, tariki ya 2 Nyakanga  2013:
·        saa sita z'ijoro (0:00am) i Dakar, Monrovia, Freetown na Abidjan.
·        saa saba zo mu gitondo (1:00am) i Londoni, Abuja, Yaounde, Brazzaville, na Bangui.
·        saa munani zo mu gitondo (2:00am) i Paris, Bruxelles, Frankfurt, Berlin, Hamburg, Munich, Cologne, Amsterdam, Madrid, Kigali, Bujumbura, Goma, Bukavu, Pretoria, Lusaka, Lilongwe, Harare, Maputo, na Johannesburg;
·        saa kumi zo mu gitondo (4:00am) i Kampala, Nairobi, Mombasa, Arusha, Mwanza na Dar-Es-Salam.
·        saa kumi n'ebyiri zo mu gitondo (6:00am) i New Delhi mu Buhindi.
·        saa tanu z'amanywa (12:00am) i Sydney muri Australia.

Ohereza ikibazo cyawe ukoresheje email kuri: radioitahuka@gmail.com, cyangwa facebook kuri: https://www.facebook.com/ijwi.ryihurironyarwanda

Ushobora kandi no guhamagara kuri: +1-347-945-6449.

Rwanda: Message des FDU INKINGI à l’occasion du 51ème anniversaire de l’indépendance du Rwanda


Rwanda: Message des FDU INKINGI à l'occasion du 51ème anniversaire de l'indépendance du Rwanda.

Très chers membres des FDU-INKINGI,
Chers compatriotes,
Il y a 51 ans, le peuple rwandais  décidait de prendre son destin en mains, au terme d'une lutte politique émaillée de violence. Comme aujourd'hui, les tenants du pouvoir déclaraient haut et fort que les aspirations à plus d'espace de liberté étaient sans fondements. Mais la détermination des leaders de l'indépendance a eu raison de l'arrogance de ceux qui voulaient confisquer le pouvoir par la violence et l'intimidation.
Plus d'un demi-siècle après, l'euphorie des premiers jours a cédé la place aux désillusions.
Situation politique
Contrairement au discours officiel, la situation sociopolitique du pays reste préoccupante. En effet, notre pays est le seul de la région à ne tolérer aucune opposition politique, de peur de perdre le monopole de l'action politique.
Le régime refuse obstinément de reconnaître les partis d'opposition démocratique. Trois chefs de partis démocratiques ayant osé défier le pouvoir en affichant leur liberté d'opinion dont madame Victoire Ingabire UmuhozaMushayidi Déogratias et Bernard Ntaganda  sont aujourd'hui derrière les barreaux. A quelques exceptions près, les circonstances de leurs arrestations, le déroulement de leurs procès  et les charges qui pèsent contre eux sont les mêmes.
En dépit des promesses faites aux bailleurs de fonds étrangers, il n'y a aucun signe d'ouverture de l'espace politique. En témoigne la nouvelle loi sur les partis politique qui est taillé sur mesure pour assurer la reconduction au pouvoir du régime en place lors des prochaines élections législatives de 2013.
En effet, la compétence de l'enregistrement et de l'agréation des partis, qui était jusqu'ici du ressort du ministère de l'intérieur, est transférée à l'Office de la Gouvernance (Rwanda Governance Board ) qui est placé sous l'allégeance du gouvernement. Aussi, les motifs d'interdiction des partis politiques (articles 20 à 39) reposent sur des critères délibérément flous tels que : actes divisionnistes, informations pouvant inciter à la division, actes prêtant main forte à l'ennemi, dire la vérité pendant la campagne électorale, éviter des faux contentieux, ternir l'image du Rwanda, déclarations pouvant entraîner toute sorte de discrimination et de division, actes pouvant provoquer la guerre, avoir l'idéologie génocidaire, et cætera
Incapable de répondre aux demandes légitimes de l'opposition démocratique, le gouvernement n'arrive pas à dépasser ses égos et à démystifier l'épineux problème de l'opposition armée.
L'accueil glacial réservé à la proposition courageuse du gouvernement tanzanien de pourparlers directs avec les rebelles des FDLR et le gouvernement rwandais pour trouver une solution globale à la crise dans la sous-région des grands lacs, relève dans le chef du gouvernement, de la politique de l'autruche.
En effet, comme l'a dit le président Tanzanien, après 19 ans de lutte armée sans succès, le gouvernement rwandais devrait penser à changer de fusil d'épaule, dans l'intérêt du peuple rwandais et de la sécurité sous régionale, et à entamer des contacts avec ces rebelles. Ce serait deux poids deux mesures de demander avec insistance au gouvernement congolais de négocier avec son opposition armée, tout en opposant une fin de non-recevoir aux appels de négociations avec les FDLR.
En dépit d'une énorme machine médiatique, payé à prix d'or, la communauté internationale elle-même, qui a longtemps fait preuve  de clémence sur la situation sécuritaire du pays, commence à manifester des signes d'inquiétude. Ainsi, selon le dernier de Global Peace Index Report 2013[1],  le Rwanda pointe à la 135ème place sur 162, soit le pire score dans toute la région est-africaine. De quoi se demander, si l'invocation par le HCR et le gouvernement rwandais à la fameuse clause de cessation pour forcer les réfugiés rwandais à rentrer, a encore un sens.
Situation économique
Sur le plan économique, quel que soit la réalité du taux de croissance économique du Rwanda, il n'en reste pas moins vrai que la situation reste précaire. En effet, « les données de la Banque mondiale sur le Rwanda montrent que les inégalités entre les riches et les pauvres n'ont jamais été aussi élevées que maintenant. Entre 1985 et 2011, la part du produit intérieur brut détenue par la tranche des 10% les plus riches a presque doublé, passant de 24,58% à 43,22%, tandis que celle détenue par les 10% les plus pauvres s'est réduite de plus que la moitié, passant de 4,41% à 2,13% . De par cette situation, le quotidien des rwandais est dramatique : Selon le programme des Nations-Unies pour le développement (PNUD), trois rwandais sur quatre (76,8% exactement) vivent en dessous du seuil de pauvreté avec moins de 1,25$ par jour » [2]En terme beaucoup plus parlants, le salaire d'un enseignant équivaut à quelque 30 kg de riz ou 2 bidons de 5 litres d'huile d'arachideComme il doit en plus payer un loyer compris entre 25000FRW et 70000FRW, payer le minerval, etc.., il est chroniquement en déficit et doit faire preuve d'ingéniosité pour joindre les deux bouts du mois.
A cela s'ajoute une pression fiscale impitoyable, que ce soit directe ou indirecte. A ce titre les FDU INKINGI estiment que les contributions au fonds Agaciro constituent un impôt déguisé, et qui plus est, contamine les autres institutions. Sous le prétexte de « kwihesha agaciro », églises, écoles, et diverses associations demandent à leurs tours des contributions à reverser au fonds Agaciro, ce qui constitue une multiple taxation. Un enseignant par exemple doit céder 1/12 de son salaire, contribuer pour son église, l'école de ses enfants, etc.
Cette situation est le résultat de mauvais choix de politique économique, combiné à un manque de transparence dans la gestion des deniers publics. L'inspection des finances, tout comme le parlement[3], ont à plusieurs reprises épinglé des irrégularités qui n'ont pas été redressées.
L'opposition entre les régions urbaines et la campagne qui abrite plus de 80% de la population, est en soit une source de stabilité. Ceci se reflète dans la part de l'investissement réservé au secteur agricole, qui fournit des moyens de subsistance à plus de 70% de la population rwandaise.
Les raisons à la base du déclin de l'agriculture rwandaise peuvent être résumées en une politique agricole basée sur une régionalisation imposée et mal pensée, l'érosion de l'étendue des surfaces cultivables, ainsi qu'une mauvaise politique des prix agricoles.
L'éducation
Depuis que le Front Patriotique Rwandais est au pouvoir au Rwanda, la qualité de l'enseignement s'est dégradée au profit de la quantité. En effet, beaucoup d'établissements scolaires et académiques, à l'initiative des particuliers, se sont ouverts dans les différentes régions du pays sans cadastre précis de la part des autorités du pays. Et comme les conditions minimales n'étaient pas réunies- personnel pédagogique peu ou pas formé, locaux exigus, manque de matériel didactique, absence de logement, d'eau et d'électricité, de bourse d'études, externat et pauvreté, négligence du Kinyarwanda- la qualité de l'enseignement en a fortement souffert, le gouvernement privilégiant la quantité au détriment de la qualité. La situation est tellement préoccupante que le Parlement a institué une commission d'enquête. Dans ses conclusions, les parlementaires ont déclaré ni moins ni plus que  les étudiants qui terminent leurs études universitaires sont incapables de rédiger une lettre de demande d'emploi! Le Président lui-même en a fait l'écho lors d'une  rencontre avec la jeunesse au stade de Nyamirambo
Il est clair que le taux de passage du primaire au secondaire, dont le gouvernement s'enorgueillit  a  montré ses limites. En effet,  cette mesure s'adresse à la demande d'enseignement sans s'occuper de l'offre d'enseignement, mais aussi elle fait très peu de cas de la qualité de l'enseignement et de la transparence dans la gestion des places disponibles. Le cas de 16 étudiants aujourd'hui demandeurs d'asile en Ouganda, illustre ce malaise. Plutôt que de chercher les racines de ce malaise, le gouvernement a choisi la manière forte pour ramener de force ces étudiants au pays.
A côté de ces problèmes s'ajoute l'érosion de la motivation du personnel enseignant. Avec un salaire autour de 40000RW, un enseignant ne peut plus joindre les deux bouts du mois sans recourir à des activités d'appoint. Le nombre  d'enseignants qui fait aujourd'hui défection  faute de pouvoir survivre avec leurs salaires, est un indice du malaise grandissant dans ce secteur. Les enseignants toute catégorie confondues, qui ont longtemps constitué l'élite du pays et « sa classe moyenne », qui injectaient des liquidités dans la campagne, sont aujourd'hui aux abois. Leurs salaires se sont réduits à une peau de chagrin.
La santé
L'accès aux soins médicaux longtemps considérée comme inviolable, a été un des secteurs prioritaires depuis l'indépendance de notre pays  à tel point que le réseau sanitaire rwandais était le plus dense en Afrique.
Aujourd'hui, on assiste à un glissement déguisé vers la privatisation. En effet, à y regarder de près, tout le programme des « mutuelles »  instauré de force par le gouvernement rwandais ( si quelqu'un ne s'acquitte pas de la somme exigée, il est emprisonné et ses biens sont confisqués et vendus pour obtenir ladite cotisation) n'est qu'une tentative de privatisation de l'accès aux soins. En décortiquant les chiffres, on se rendrait à l'évidence que le ticket modérateur est beaucoup plus élevé que la participation des pouvoirs publics au budget de l'organisme, ce qui est contraire à l'esprit des mutuelles de par le monde. Aussi, la façon dont les remboursements  se font, la carence des médicaments dans les hôpitaux publics et l'absence de certains services spécialisés dans ces hôpitaux, fait qu'un affilié à ces mutuelles paie doublement : aux mutuelles et aux services non couverts par les mutuelles.
Bon voisinage et la cohésion sociale
Après les heurts ethniques consécutifs à la révolution sociale de 1959, le pays avait progressivement retrouvé une cohésion sociale, pendant une trentaine d'années. Il est vrai que le problème des réfugiés est resté comme une épine dans le pied des différents régimes, mais jamais la cohésion sociale n'a été aussi mise à mal que sous l'actuel régime.
En effet, l'héritage des tribunaux Gacaca et son pendant de délation organisée, peine à se cicatriser. L'omniprésence des services de renseignements et leur dissémination à travers tout le pays, a fini par semer la méfiance entre tous les citoyens. Les règlements de compte, les procès d'intention, ainsi que l'hypocrisie  autour de la question ethnique, rendent le climat social très pesant pour la population.
La gestion par le gouvernement, de l'après génocide, est un autre sujet de menace de la cohésion sociale. Si la justice doit être faite pour les victimes et survivants du génocide, elle doit aussi l'être pour tous les crimes de guerre, les crimes contre l'humanité, ainsi que les autres crimes non encore qualifiés par les organes compétents.
Aussi, l'aide aux victimes doit dépasser la barrière ethnique et se baser plutôt sur la précarité des bénéficiaires. Ceci évitera des ressentis pour des personnes qui se verraient exclus sur le seul critère ethnique.
S'agissant du bon voisinage, depuis l'avènement de l'indépendance, jamais le pays n'a été autant sur la sellette pour son implication dans des problèmes de sécurité chez les voisins. Les nombreux rapports de l'ONU sur le rôle de notre pays dans la crise à l'Est de la RDC en témoignent. Même si le Rwanda n'était pas à l'origine de cette crise comme le gouvernement s'en défend, il est de l'intérêt du peuple rwandais et de la sous-région que le Rwanda soit une partie de la solution, comme l'ont demandé à plusieurs reprises un certain nombre de pays européens, dont la Belgique. Dans ce cadre, le Rwanda doit jouer pleinement son rôle dans la mise en application des accords d'Addis-Abeba et montrer ainsi sa bonne foi.
Conclusion
Comme l'a bien souligné madame Suzan Rice lors de sa dernière visite au Rwanda, le bilan économique mis en avant par le régime ne suffira pas à long terme à garantir une stabilité socio-politique. Le gouvernement rwandais doit revoir sa politique sécuritaire et accepter des débats contradictoires sur tous les sujets de société : l'ouverture de l'espace politique, la liberté d'expression, la redistribution des richesses nationale et l'égalité des chances.
Le gouvernement rwandais doit aussi se rendre à l'évidence que la démocratie va au-delà de simples élections, comme l'a dit le président Barack Obama lors de sa première visite en Afrique.  Dans ce cadre, les lois sur les média et sur les partis politiques, doivent être profondément réformées pour être en phase avec les revendications légitimes de la population. Le gouvernement doit enfin libérer tous les prisonniers d'opinion et arrêter l'instrumentalisation de la justice pour harceler l'opposition politique.
C'est à ce seul prix que l'indépendance chèrement acquise en 1962 aura encore un sens.
Vive l'unité et la réconciliation  du peuple rwandais, dans un état de droit.

FDU-Inkingi
Boniface Twagirimana
Vice-Président Intérimaire
 

Saturday 29 June 2013

Museveni,Uhuru hamwe na Kagame baganiriye ku kibazo cy’umutekano mucye urangwa muri Kongo

Mu nama baherutse gukorera mu muhezo, ba Perezida Museveni,Uhuru hamwe na Kagame baganiriye ku kibazo cy'umutekano mucye urangwa muri Kongo

Perezida Kagame akomeje gukangurira aba perezida bo mu karere kugirango bamutera inkunga mu myiteguro ye yo ukugaba igitero simusiga ku birindiro by'ingabo za Loni zibarizwa muri Kongo
Amakuru Umuvugizi ukura ahantu hizewe, yemeza ko ba perezida Yoweli Kaguta Museveni wa Uganda, Uhuru Kenyata wa Kenya, na Paul Kagame w'u Rwanda, baherutse gukora inama mu muhezo, mbere yo gutangariza itangazamakuru ko baganiraga ku bibazo birebana no mu karere hamwe no kumugabane w'isi.
Umuvugizi ukaba warashoboye kubona amakuru yemeza ko ibyo abo bakuru b'ibihugu bitatu bavugaga byarebaga umutekano w'ibihugu byo mu karere, icyo bibagiwe kuvugako baganiriye akaba ari ikibazo kijyanye n'umutekano mucye urangwa muri Repubulika Iharanira Demukarasi ya Kongo, no kurebera hamwe uburyo bazabyitwaramo icyo kibazo kiramutse gihinduye isura, kigaturika cyirenga imbibi z'imipaka yabo.
Iyo nama yahuje aba baperezida uko ari batatu yabereye mu rugo rwa perezida Museveni ruri ahitwa «Entebbe State House», ikaba yari yatumijwe mu nyungu za perezida Kagame, wasabaga inkunga abo ba perezida kubera imyiteguro arimo yo kugaba igitero simusiga ku mutwe w'ingabo za Loni, wiswe «UN Intervention Combat Force»
Iyi myiteguro ya Perezida Kagame yo kugaba igitero ku ngabo za Loni zishinzwe kugarura amahoro muri Kongo yabanjirijwe n'ikindi gikorwa cyo gusebya bamwe mu bakuru b'ibihugu batanze ingabo zigize uwo mutwe wa «UN Intervention Combat Force», iri sebanya rikaba ryarakorwaga hakoreshejwe itangazamakuru riterwa inkunga n'inzego z'ubutasi za perezida Kagame.
Iyi myiteguro kandi yakurikiwe n'ikindi gikorwa cyo kwinjiza no gutoza bamwe mu rubyiruko rw'u Rwanda mu mutwe watojwe gikomando wiswe «M23 Special Force», uyu mutwe utozwa n'ingabo z'u Rwanda ukaba ugomba kuzajya ugoboka inyeshyamba za M23 aho zizaba zinaniriwe kugaba ibitero shuma ku mutwe w'ingabo za Loni.
Ibi bije na none bikurikirana n'ikindi gikorwa Perezida Kagame amazemo iminsi cyo kumvisha no kubuza abakuru b'ibihugu bigize SADC kutazatanga ingabo zabyo mu mutwe wa Loni, ibi perezida Kagame akaba abikora bucece kugirango ace intege igisirikare cya Loni cyashyizweho n'Akanama ka Loni gashinzwe amahoro ku isi, mu cyemezo cyako nomero 2028 cyo gushyiraho uwo mutwe wiswe «UN Intervention Combat Force», ugomba gutabara abaturage ba Kongo bakomeje kwicwa no gukurwa mu byabo n'inyeshyamba za M23, zikomeje guterwa inkunga n'inzego z'ubutasi z'igisirikare cy'u Rwanda kugirango zikomeze gutera akaduruvayo muri Kongo, no mu rwego rwo kubigira ikiraro cyo gusahurira perezida Kagame umutungo kamere wa Kongo, kubera umururumba we wo gushaka gukira vuba no gutunga ibya mirenge.
Ibindi bikorwa bigize imyiteguro ya perezida Kagame byo kugaba ibitero ku ngabo za Loni, birimo no kugenda ashishikariza bamwe mu bakuru b'ibihugu byo ku mugabane wa Afurika, kumufasha guhangana no kugaba ibitero ku ngabo z'umutwe wa Loni ugamije kugarura amahoro muri Kongo. Kagame akaba agenda yigamba ko «agiye kurasa igisirikare cya Loni ku buryo kitazapfa kibyibagiwe».
Twibutse ko nubwo perezida Kagame agenda yigamba ko azagaba ibitero ku ngabo zashyizweho n'Akanama ka Loni gashinzwe umutekano ku isi, u Rwanda rukaba ruherutse gutorwa muri bya bihugu bitanu bifite intebe idahoraho muri aka kanama ka Loni gashinzwe umutekano ku isi.
Gasasira, Sweden.
Byashyizweho na editor on Jun 29 2013. Filed under AhabanzaAmakuru Ashyushye,Politiki. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0. You can leave a response or trackback to this entry

Presidents Yoweli Museveni ,Ihuru Kinyata and Paul Kagame discussed about DR Congo security issue in their recent meetings which recently took place in Uganda


Presidents Yoweli Museveni ,Ihuru Kinyata and Paul Kagame discussed about DR Congo security issue in their recent meetings which recently took place in Uganda.

President Kagame drags regional presidents in his piped conflict of DR Congo simply because of his greedy interests of plundering DR Congo mineral resources in order to satisfy his ego of becoming dollar billionaire
By Gasasira,Sweden
Umuvugizi has reliable leant that three Presidents Yoweli Kaguta Museveni of Uganda ,Paul Kagame of Rwanda and Uhuru Kinyatta of Kenya recently met in closed meetings which took place in Entebbe state house,a meeting they termed as discussing regional and international issues .
According to reliable sources from trusted high circles revealed that the meeting which gathered those three heads of state termed as discussing regional issues indeed discussed regional issues which was none apart from discussing the on going security issues in DR Congo and the way they could handle them selves if at all the DR Congo piped security situations ends up bursting towards their borders.
This meeting was functioning in interests of president Kagame who is tirelessly planning to battle and destroy not only DR Congo National Forces "FARDC" but he is also fiercely mobilizing regional forces to assist him in combating UN Intervention Combat Forces .
This is among president Kagame last phases of preparation to attack UN Intervention Combat Forces which he started by using his financed media in destroying the regional presidents who contributed troops to UN Intervention Combat Brigades .
This also happens when Rwanda is at the same time recruiting for M23 rebel groups reaching an extent of forcing Rwandan youth who could have been resourceful to the nation in other sectors and forcefully recruited and trained as M23 Special Forces unit consisted of trained commandos who are set to reinforce M23 rebels fighting a long RDF battling UN Intervention Forces with shelling armaments .
Another phase was that of mobilizing SADC member states to do not collide and contribute to UN Intervention Forces as another way of weakening and sabotaging the UN Intervention Combat Forces created by the UN Security Council which passed overwhelmingly it's resolution 2028 with intentions of rescuing innocent Congolese civilians who have been murdered and displaced to neighbouring countries , terrorized simply because of president Kagame's selfish and greedy interests of plundering DR Congo mineral resources in order to satisfy his ego of becoming dollar billionaire .
The last phase of president Kagame is that of wandering all over the African continents sabotaging the UN Intervention Brigade and mobilizing regional presidents to join him in his last phases of waging a war against UN Forces which he goes on defining as "remarkable fighting against UN Intervention Forces" , a force which is under the UN Security Council where Rwanda is among it's five non permanent members .
Posted by editor on Jun 28 2013. Filed under Breaking NewsPoliticsTop Stories. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0. You can leave a response or trackback to this entry

Presidents Yoweli Museveni ,Ihuru Kinyata and Paul Kagame discussed about DR Congo security issue in their recent meetings which recently took place in Uganda


Presidents Yoweli Museveni ,Ihuru Kinyata and Paul Kagame discussed about DR Congo security issue in their recent meetings which recently took place in Uganda.

President Kagame drags regional presidents in his piped conflict of DR Congo simply because of his greedy interests of plundering DR Congo mineral resources in order to satisfy his ego of becoming dollar billionaire
By Gasasira,Sweden
Umuvugizi has reliable leant that three Presidents Yoweli Kaguta Museveni of Uganda ,Paul Kagame of Rwanda and Uhuru Kinyatta of Kenya recently met in closed meetings which took place in Entebbe state house,a meeting they termed as discussing regional and international issues .
According to reliable sources from trusted high circles revealed that the meeting which gathered those three heads of state termed as discussing regional issues indeed discussed regional issues which was none apart from discussing the on going security issues in DR Congo and the way they could handle them selves if at all the DR Congo piped security situations ends up bursting towards their borders.
This meeting was functioning in interests of president Kagame who is tirelessly planning to battle and destroy not only DR Congo National Forces "FARDC" but he is also fiercely mobilizing regional forces to assist him in combating UN Intervention Combat Forces .
This is among president Kagame last phases of preparation to attack UN Intervention Combat Forces which he started by using his financed media in destroying the regional presidents who contributed troops to UN Intervention Combat Brigades .
This also happens when Rwanda is at the same time recruiting for M23 rebel groups reaching an extent of forcing Rwandan youth who could have been resourceful to the nation in other sectors and forcefully recruited and trained as M23 Special Forces unit consisted of trained commandos who are set to reinforce M23 rebels fighting a long RDF battling UN Intervention Forces with shelling armaments .
Another phase was that of mobilizing SADC member states to do not collide and contribute to UN Intervention Forces as another way of weakening and sabotaging the UN Intervention Combat Forces created by the UN Security Council which passed overwhelmingly it's resolution 2028 with intentions of rescuing innocent Congolese civilians who have been murdered and displaced to neighbouring countries , terrorized simply because of president Kagame's selfish and greedy interests of plundering DR Congo mineral resources in order to satisfy his ego of becoming dollar billionaire .
The last phase of president Kagame is that of wandering all over the African continents sabotaging the UN Intervention Brigade and mobilizing regional presidents to join him in his last phases of waging a war against UN Forces which he goes on defining as "remarkable fighting against UN Intervention Forces" , a force which is under the UN Security Council where Rwanda is among it's five non permanent members .
Posted by editor on Jun 28 2013. Filed under Breaking NewsPoliticsTop Stories. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0. You can leave a response or trackback to this entry

Rwanda : Et si (par miracle) Kagame négociait...


Rwanda : Et si (par miracle) Kagame négociait...

Par Cecil Kami
Vendredi 28 Juin, 2013

Après les sanctions, les œufs pourris et les crottes de cheval, après les remontrances tanzaniennes, peut-on un seul instant s'imaginer l'homme fort de Kigali recevoir la visite d'une muse lui inspirant de s'asseoir avec ses opposants autour d'une table de négociation ? La politique, on le sait bien, est quelque chose de dynamique et, même quand la surface affiche une sérénité d'Agaciro, les bas-fonds peuvent, eux, cacher des changements tout aussi radicaux qu'imperceptibles (raison des permutations au sein de l'armée par exemple). 

La politique, on le sait aussi, n'est pas synonyme de miracologie, mais essentiellement d'organisation et d'action ; et c'est en cela que la question suggérée en titre revêt son importance. N'est-il pas manifeste qu'au fil des ans, l'organisation mise en place par les stratèges de la dictature afande a cessé de séduire ? N'est-il pas patent que la seule action pour éviter l'implosion de celle-là reste, comme le souhaiterait Joseph Staline, la peur des citoyens vis-à-vis de leurs encadreurs ? Ils peuvent donc être fous, mais les managers au service de la politique de Kagame sont parfaitement conscients de ce constat. Ils ont vu, un à un, les mythes fondateurs de leur suprématie politique s'effondrer et le dernier évangile selon Jakaya Kikwete est en passe d'en pulvériser le tout dernier.

Au commencement était un génocide. Ce dernier amèna le monde entier (les Clinton et autres Verhofstadt) à demander pardon au « stoppeur » de ce Crime. Sauf qu'un jour l'on découvrit le lien entre l'attentat du 6 avril 1994 et le déclenchement des horreurs. Et que le Mapping report vint dévoiler d'autres génocidaires présumés. Et que lestechniciens d'un tribunal à Arusha échouaient dans leur ingéniosité à prouver la planification d'Ishyano. Le premier mythe vacilla. C'est alors que Sweetie se mit à assassiner ses compatriotes exilés et que, toute honte bue, ses sicaires planifièrent des empoisonnements à grande échelle. Et que ses chiens de guerre pillèrent les voisins du Congo. Las de cette arrogance persistante, certains amis du système Kagame lui coupèrent les vivres. D'une façon timide et symbolique, mais le message est toutefois passé. Le deuxième mythe venait de tomber à l'eau... Restait donc la contestation du régime. Fustiger la cupidité des affairistes de Kigali valait aux opposants l'étiquette de « génocidaires ». Sauf que d'une part, Ingabire n'en est pas une, Mushayidi et Ntaganda non plus ; et que d'autre part Rwarakabije a été débauché pendant que les écrits racistes de Rucagu dans Kangura étaient absouts. Négociez donc ouvertement avec vos opposants, dixit le prochain hôte de Barack Obama. Et le troisième mythe s'écroula, entama ainsi la surrection de tout l'édifice qui en est maintenant à lorgner vers un troisième mandat de qui-vous-savez...

Et si Kagame négociait donc... Ça ne ressemble pas du tout à l'homme, du moins à son outrecuidance légendaire, mais les états-majors de l'opposition feraient mieux de considérer cette hypothèse. L'histoire est pleine d'exemples éloquents à propos des dictatures militaires qui ont terrorisé (dans un semblant de nationalisme) et leurs peuples et tous ceux qui rêvaient liberté. La clique ethniste de Bururi au Burundi, la kléptocratie ngbandi au Zaïre, les Boers racistes d'Afrique du sud, le colonel trublion de Libye, etc. A un moment ou à un autre de leurs tristes gloires, ces régimes se croyaient indéboulonnables et, en cela, ils étaient confortés par le soutien économique et/ou militaire que leur octroyaient des alliés étrangers. Puis un jour, le vent a tourné (le miracle s'est produit), le monde a ouvert les yeux et l'idolâtré est, du jour au lendemain, devenu le pestiféré. Bien malins comme Pierre Buyoya qui ont su s'organiser une sortie, évitant ainsi un séjour soit dans les poubelles de l'histoire, soit des circonstances de fin de règne inversement proportionnelles aux fastes de la vie qu'ils ont menée. En donnant l'impression d'acculer sérieusement la politique afande, le lieutenant-colonel Jakaya Kikwete confirme la règle qui veut que seuls des vrais officiers savent militer pour la paix. En sera-t-il de même du général Kagame ?

Rêvons donc un peu : à l'appel tanzanien, le président rwandais réalise qu'il ne pourra tenir sa ligne dure (et suicidaire) pendant longtemps et que même ses voisins commencent à imaginer un après-Kagame, du moins une transition le poussant vers la sortie. Il prend les devants et délivre un visa à Faustin Twagiramungu avant de le recevoir avec Semushi Karangwa, puis il libère coup sur coup le trio Ingabire-Mushayidi-Ntaganda, il accepte de prendre officiellement (officieusement c'est fait depuis très longtemps) langue avec les Fdlr et envoie ses émissaires auprès de tous les autres leaders de l'opposition en exil. Que se passe-t-il alors ? Le peuple exulte et une partie de l'armée panique. Celle qui a impunément utilisé l'uniforme pour porter poison et deuil dans les familles rwandaises, prouvant ainsi fausse fidélité et coupable loyauté au chef. Soit elle se comporte à la Bikomagu et... rebelote, soit elle prend courageusement note des changements et méritent la République. Ce dernier scénario pousserait obligatoirement, mais minutieusement les politiciens à agir sans relâche pour inventer le Rwanda de nos... rêves : sans dictature ni discriminations, sans bellicisme ni repli sur soi. Oui, essayez d'imaginer une grande table avec tout autour Kagame, Rukokoma, Ingabire, Kayumba, Habyarimana, Mushayidi, Ntaganda (et tous les autres) ainsi que des représentants de la société civile. Une grande partie de la vraie victoire est là : d'oser, de se permettre un rêve inaccessible encore il y a 10 ans...

Avec des "si", on mettrait Paris en bouteille, dit-on. Avec des "si", oui, le Rwanda aurait déjà cessé d'être ; de justesse, le pire a été évité en 1994 déjà, ce qui n'a pas empêché un général de déclarer que SI il avait pu bénéficier d'assez de temps, il aurait réglé le sort d'un million de ses concitoyens. Rêver permet donc s'évader des réalités autrement plus dures. De s'inventer une suite. Après la toute puissance vantée des services secrets (beaucoup ont su tromper leur vigilance et leurs échecs ne se comptent plus), l'invincibilité de l'armée (incapable d'éradiquer les Fdlr), après la sympathie des Occidentaux coupables/complices (il y a une réelle inflexion dans leur rapports avec l'Afandie), après la discipline des dirigeants (le Mapping report a mis à nu le sérieux du régime), quelle suite écrire pour le Rwanda si, dans son égarement, le fou trébuche sur la vérité (aramutse asaze akagwa kw'ijambo) ? C'est-à-dire s'il se résout (malgré lui) à négocier. Poser la question c'est, bien des fois, y répondre et, la mienne de réponse, est que si demain par la grâce de saint Gihanga, le général consentait à négocier, cela prendrait terriblement de court beaucoup de ceux qui réclament son effacement de la scène politique rwandaise. Se présenteraient-ils en bon ordre ou dispersé ? Auront-ils les mêmes visées ou leur compétition impliquera des croc-en-jambes regrettables puisque profitable au has been Kagame ? Les réponses divergeront autant qu'elles susciteront moult polémiques.

Rassurez-vous : il ne s'agissait là que d'un rêve, sauf que, comme l'a un jour écrit le romancier Réjean Bonenfant, « à trop rêver le monde, on en vient à préférer le rêve au monde ». La psychologue Victoria Torey Lynn Hayden (dit Torey Hayden) disait quant à elle : « Heureux ceux qui cultivent des rêves. Mais, les rêves exigent des sacrifices et peu de rêveurs survivent ».

Exclusive: Fearing death, Congo's 'Terminator' fled with help of family

Exclusive: Fearing death, Congo's 'Terminator' fled with help of family


Congolese warlord Bosco Ntaganda looks on during his first appearance before judges at the International Criminal Court in the Hague March 26, 2013. REUTERS/Peter Dejong/Pool
Congolese warlord Bosco Ntaganda looks on during his first appearance before judges at the International Criminal Court in the Hague March 26, 2013.
Credit: Reuters/Peter Dejong/Pool
By Michelle Nichols and Louis Charbonneau
UNITED NATIONS | Fri Jun 28, 2013 4:29pm EDT
(Reuters) - Facing defeat by a rival rebel and fearing death at the hands of Rwandan troops, Congolese warlord Bosco Ntaganda quietly slipped into Rwanda on a small path with a single escort to turn himself in at the U.S. Embassy in Kigali, according to a U.N. report.
Details of the March 18 surrender of Ntaganda, who evaded arrest on international war crimes charges for seven years, were contained in the confidential interim report by the U.N. Group of Experts to the Security Council's Congo sanctions committee. The report was seen by Reuters on Friday.
Ntaganda, a Rwandan-born Tutsi rebel known as "the Terminator," is accused of murder, rape, sexual slavery and recruiting child soldiers during 15 years of rebellion in resource-rich eastern Democratic Republic of Congo.
It was not known how Ntaganda made his way from eastern Congo to the Rwandan capital, where he had simply walked into the U.S. Embassy and asked diplomats to transfer him to the International Criminal Court in The Hague.
The U.N. experts said his secret three-day journey followed after a violent split in the M23 rebel group weeks earlier. Ntaganda's defeat by rival M23 commander Sultani Makenga was aided by Rwandan officials and demobilized Rwandan soldiers, said the report.
Ntaganda "clandestinely crossed the border into Rwanda using a small path in the Gasizi area with one escort," it said.
"He reached Kigali with the help of his family and arrived at the United States Embassy on 18 March where he requested to be transferred to the ICC without prior knowledge of Rwandan authorities," according to the 43-page report.
Rwanda subsequently arrested an individual accused of helping Ntaganda escape and interrogated the warlord's wife and brother, the experts said.
The career of Ntaganda, who has fought for rebels, militias and armies in both Rwanda and Congo in the last 20 years, reflects the tangled and shifting allegiances of a territory that has been repeatedly traumatized by genocide and violence.
Ntaganda said he was not guilty of war crimes during his first appearance at the International Criminal Court in March.
M23 is a Tutsi-dominated group of former Congolese soldiers that has demanded political concessions from President Joseph Kabila's government.
M23 CRIPPLED AFTER NTAGANDA DEFEAT
The U.N. experts report in October named Ntaganda as the leader controlling the M23 rebellion on the ground and added that he and other commanders received "direct military orders" from senior Rwandan military figures acting under instructions from Defense Minister James Kabarebe.
Rwanda vehemently denied supporting the M23, accusing the world of trying to blame it for Congo's unremitting troubles.
The latest experts report found "continuous - but limited - support to M23 from within Rwanda" and cooperation between elements of the Congolese military and a Rwandan Hutu rebel group against the M23 rebels.
Ntaganda had a network of contacts within Rwanda that he used to support his M23 faction against Makenga after the pair had disagreed over the management of M23, the experts said.
"To halt Ntaganda's activities, Rwandan authorities arrested some of the individuals who were part of this network," the experts said.
"Some Rwandan officers also provided limited material support to Makenga as he sought to defeat Ntaganda," found the report. "While some Rwandan officers had ensured Ntaganda of their assistance, in reality they had decide to support Makenga.
"Rwandan officers also fed disinformation to Ntaganda which precipitated his defeat. Former M23 soldiers who fought alongside Ntaganda reported that soldiers of the (Rwandan Defense Force) special forces that were deployed along the border provided Ntaganda with ammunition at the outset of fighting, which made him believe that he enjoyed RDF support."
As his troops began to run low on ammunition after two weeks of fighting, Ntaganda fled into Rwanda, where he feared Rwandan soldiers deployed on the border would kill him. The U.N. experts said that Makenga had also ordered his troops kill Ntaganda.
It was estimated that about 200 rebels from both sides were killed during the M23 split, the report said. Almost 800 rebels loyal to Ntaganda also fled into Rwanda after their defeat. The experts said Makenga was left with some 1,500 fighters spread across a 270 square mile area (700 sq km).
"Moreover M23 has lost the support of leaders and communities which had supported Ntaganda in northern Rwanda and stopped benefiting from the recruitment and financial networks he had established," the report said.
"The movement is unable to control its entire territory and suffers from poor morale and scores of desertions," it said.


-“The root cause of the Rwandan tragedy of 1994 is the long and past historical ethnic dominance of one minority ethnic group to the other majority ethnic group. Ignoring this reality is giving a black cheque for the Rwandan people’s future and deepening resentment, hostility and hatred between the two groups.”

-« Ce dont j’ai le plus peur, c’est des gens qui croient que, du jour au lendemain, on peut prendre une société, lui tordre le cou et en faire une autre ».

-“The hate of men will pass, and dictators die, and the power they took from the people will return to the people. And so long as men die, liberty will never perish.”

-“I have loved justice and hated iniquity: therefore I die in exile.

-“The price good men pay for indifference to public affairs is to be ruled by evil men.”

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